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By La redaction de Mondafrique -1 mai 2020
Dans une sortie d’une rare violence, les médias saoudiens s’en sont pris hier mercredi au royaume du Maroc
Dans une vidéo publiée sur Youtube, Fahid Chamari, un des hommes de médias les plus en vue du royaume wahhabite, a chargé les Marocains qu’il a qualifié de « fainéants vivant du tourisme qui n’est qu’une sous-activité économique ».
Poursuivant ses attaques de bas niveau, le journaliste saoudien a affirmé que l’économie marocaine se basait sur les transferts des Marocains résidant à l’étranger dont une bonne partie provenaient de la « prostitution de ses femmes expatriées». « Pourquoi le Maroc ne bâtit pas son économie sur l’agriculture ou l’industrie au lieu de choses humiliantes pour ses citoyens comme le tourisme ou l’immigration ? », se demande, dans un excès de haine, le journaliste saoudien.
Un point de non retour
Cette sortie sans précédent dans les annales des relations maroco-saoudiennes démontre que les relations entre les deux monarchies, longtemps amies, semblent avoir atteint un point de non-retour.
Le royaume wahhabite, dont l’économie dépend exclusivement de la rente pétrolière et du tourisme religieux (grand et petit pèlerinages), est aujourd’hui empêtré dans une crise violente crise économique, notamment à cause de la baisse vertigineuse des prix du pétrole et des choix déraisonnables de Mohamed Bin Salmane, l’homme fort du pays qui tente de s’imposer comme l’héritier, malgré la contestation grandissante dont il est l’objet au sein des familles rêgnantes.
Dans une sortie d’une rare violence, les médias saoudiens s’en sont pris hier mercredi au royaume du Maroc
Dans une vidéo publiée sur Youtube, Fahid Chamari, un des hommes de médias les plus en vue du royaume wahhabite, a chargé les Marocains qu’il a qualifié de « fainéants vivant du tourisme qui n’est qu’une sous-activité économique ».
Poursuivant ses attaques de bas niveau, le journaliste saoudien a affirmé que l’économie marocaine se basait sur les transferts des Marocains résidant à l’étranger dont une bonne partie provenaient de la « prostitution de ses femmes expatriées». « Pourquoi le Maroc ne bâtit pas son économie sur l’agriculture ou l’industrie au lieu de choses humiliantes pour ses citoyens comme le tourisme ou l’immigration ? », se demande, dans un excès de haine, le journaliste saoudien.
Un point de non retour
Cette sortie sans précédent dans les annales des relations maroco-saoudiennes démontre que les relations entre les deux monarchies, longtemps amies, semblent avoir atteint un point de non-retour.
Le royaume wahhabite, dont l’économie dépend exclusivement de la rente pétrolière et du tourisme religieux (grand et petit pèlerinages), est aujourd’hui empêtré dans une crise violente crise économique, notamment à cause de la baisse vertigineuse des prix du pétrole et des choix déraisonnables de Mohamed Bin Salmane, l’homme fort du pays qui tente de s’imposer comme l’héritier, malgré la contestation grandissante dont il est l’objet au sein des familles rêgnantes.
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