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Tebboune s'exprime sur la liberté d'expression

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  • Tebboune s'exprime sur la liberté d'expression


  • #2
    C'était hier.. lors d'un entretien avec des membres de la presse !

    C'est une première..
    Le président assume ouvertement sa position à l'égard d'un certain journalisme..

    Curieux de connaitre la question qui lui a été posée..
    L'entretien a duré 1h30..
    Pas encore visionné !

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    • #3
      tafust tabarranit

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      • #4
        Liberté d'expression

        Dans le cadre de la garantie de la liberté d'expression, le Président Tebboune a assuré que la liberté d'expression était garantie en Algérie mais dans les limites du respect de la loi et loin de tout alarmisme, affirmant qu’il s’appuie dans son rapport avec la presse nationale sur "le dialogue continu et l’effort de persuasion".

        Tebboune a relevé que depuis son accession à la présidence de la République, le siège de la Présidence est ouvert à tous les médias publics ou privés.

        Néanmoins, a-t-il tenu à préciser "il existe des choses inadmissibles tant pour nous que pour les journalistes qui dénoncent, eux aussi, cette confusion entre la notion de liberté et l'anarchie".

        Covid-19

        Evoquant la situation sanitaire dans le pays, le président de la République a affirmé que "notre mission et notre engagement sont avant tout la protection du peuple".

        "Si certains pays préfèrent l’économie à la vie du citoyen, nous faisons nous, contrairement à eux, prévaloir la vie du citoyen sur l’économie, car la vie de l’Algérien est au-dessus de toutes les considérations", a assuré le président de la République.

        Par ailleurs, M. Tebboune n’a pas écarté une fermeture éventuelle des commerces autorisés à reprendre l’activité au début du Ramadan, s’il s’avère qu’ils sont à l’origine d'une hausse dans la propagation de la pandémie du Covid-19.

        Concernant les personnes impactées par les mesures de confinement, M. Tebboune a rassuré que l'Etat prendra en charge les industriels, les commerçants et les artisans ayant enregistré des pertes en raison de la pandémie du covid-19 ainsi que toute personne ayant perdu sa source de revenu du fait de cette pandémie.

        Agenda politique

        Abdelmadjid Tebboune a affirmé que l’agenda politique décliné au début de son mandat est maintenu et sera réalisé dans les délais fixés. « Le projet de la nouvelle constitution est prêt. Il sera imprimé la semaine prochaine et envoyé à la presse nationale, les partis politiques ainsi que les différents acteurs politiques et sociaux », a-t-il insisté. Il a également rappelé qu’une commission est à pied d’œuvre pour l’élaboration de la nouvelle loi électorale. C’est dans ce sens que le président promet de nouvelles institutions avant la fin de l’année comme prévu. Pour rappel, le président avait promis d’organiser des élections législatives et locales avant la fin de l’année 2020.

        A ce propos, le chef de l’Etat semble maintenir le même agenda malgré la crise sanitaire en cours.

        Social et Situation financière

        Au volet social, le Président de la République s’est engagé à prendre en charge toutes les préoccupations sociales après la crise sanitaire, et ce "loin de la politique d’achat de consciences".

        Il s’est engagé, en outre, à résoudre les problèmes de toutes les catégories, à l'instar du personnel du secteur de l'éducation, et ce selon un programme déterminé", préconisant des tripartites, à l'avenir, pour examiner tous les dossiers.

        Mettant en garde contre "toute velléité d'infiltration sur injonction d’outre mer concernant certaines revendications", M. Tebboune a affirmé que "la loi est au-dessus de tous".

        Sur un autre chapitre, le Président de la République a affirmé que l'examen du baccalauréat pour l'année scolaire en cours "sera maintenu et il n'y aura pas d'année blanche", ajoutant que les mesures à prendre à cet effet restent tributaires de l'évolution de la situation sanitaire.

        Par ailleurs, M. Tebboune a assuré que les projets de logement ne seront pas arrêtés en dépit des difficultés financières auxquelles fait face le pays, suite à la chute des cours du pétrole. Affirmant que la crise pétrolière que traversent l'Algérie et le reste des pays producteurs de pétrole est "une crise très conjoncturelle et non structurelle", le Président de la République a rassuré que l'Etat ne recourra ni à l'endettement extérieur ni à la planche à billets pour ses besoins financiers face à la chute des prix du pétrole, mais plutôt à "l’emprunt auprès des citoyens".

        Par ailleurs, le président Tebboune a affirmé que la loi de finances complémentaire 2020 prévoit un allégement de certains impôts et la suppression d'autres avec un durcissement du contrôle sur le commerce extérieur.

        Concernant les réserves de change, le président récuse les thèses de la fin de cette manne financière vers 2021. « Certains analystes estiment que les réserves de change actuelles suffiront uniquement pour 9 mois d’importation. C’était vrai lorsque la rationalisation des dépenses n’était pas au rendez-vous », a-t-il déclaré en déplorant le politique d’importation au détriment des capacités nationales de production.

        Il a rappelé les interdictions d’importation des produits agricoles et alimentaires en plein saison de récolte en Algérie. Pour lui, 30% des montants d’importations allaient dans les comptes des importateurs exerçants la surfacturation. « Nous avons éradiqué ce phénomène de surfacturation, ce qui nous permettra d’économiser 30% de nos devises », a-t-il révélé. Tebboune a également dénoncé la surévaluation financière des projets réalisés annonçant le contrôle strict des coûts pour réduire les dépenses de l’Etat. A ce propos, il a martelé son engagement de maintenir les projets de logement en assurant la maîtrise des coûts et évitant les surcoûts.

        Sur le même registre relatif aux finances du pays, il a écarté le recours au FMI et à l’endettement extérieur en affirmant que des pays ont affiché leur volonté d’aider financièrement l’Algérie. « Nous leur avons dit que nous vous contacterons une fois nous en aurons besoin », a-t-il détaillé pour rassurer quant à la situation financière du pays.
        Sucre et l’huile

        Tebboune n’a pas manqué de rappeler son engagement de relancer la production agricole nationale surtout celle qui participe à l’industrie agroalimentaire.

        « Nous allons produire la matière première en Algérie. Nous allons mettre en place notamment la culture du Soja et de la betterave au Sud pour la production du sucre et de l’huile. Les essais sont concluants », a-t-il promis.

        Pour lui, la facture réelle des importations des produits alimentaires doit se stabiliser à 9 milliards de dollars. Il considère que le reste est possible de le produire localement à court terme.

        « La crise sanitaire a libéré les initiatives. Des respirateurs sont désormais produits en Algérie. Les tests du covid-19 vont être produits la semaine prochaine à Bouira. C’est la preuve que nous avons des capacités de production nationale ignorées jusque-là », a précisé le chef de l’Etat.

        Le président a également abordé d’autres pistes économiques en cours pour relancer la machine économique.

        Libye

        Abordant le dossier libyen, M. Tebboune a réaffirmé la disponibilité de l’Algérie à poursuivre son appui au peuple libyen, déplorant, par la même, "les graves dérives" en cours dans ce pays, notamment en ce mois sacré.
        "Nous sommes en faveur de la légitimité populaire en Libye et nous souhaitons que la solution soit libo-libyenne", a-t-il soutenu.

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        • #5
          salam

          c'est une partie a cause l'à-plat-ventrisme des médias/journalistes que le règne de Boutef a durée 20 ans ...que la Issaba s'est installée et que l'Algérie est dans une position peu confortable aujourd’hui...et périlleuse demains

          Il est vrai que depuis un moment, a RAdioM on entend un seul son de cloche, les débats pratiquement dans un seul sens , hostile a n'importe quelle action du gouvernement... moi je dis ...c'est dommage ...et ... et alors ? Le risque pour l’Algérie ce n'est pas RadioM, mais des médias comme el nahar, el chrouk, el Bilad ...وَهَلُمَّ جَرّاً ...
          وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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          • #6
            Rien de nouveau, comme à Pékin et Moscou, une dictature.

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            • #7
              RadioM a raté le coach.. je ne crains !
              Et même sa vocation si l'on peut se permettre cette critique..
              Inutile de revenir là-dessus..

              N'en reste, par un curieux timing, elle avait diffusé un sujet très intéressant en début de Hirak..
              15 mois plus tard, et hier précisément, ce même même sujet revient sur les lèvres de Tebboune..

              C'est à croire que ce pays est d'accord sur l'essentiel


              Le sujet : Les terres rares




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              • #8
                RadioM a raté le coach.. je ne crains !
                Et même sa vocation si l'on peut se permettre cette critique..
                Inutile de revenir là-dessus..
                Donc mbrouk 3lina el bilad & co ? désolé je prends pas.
                toute proportion gardée, il y a un ancien adage algérien qui dit : أسمع الراي الي بكيك ماشي الي يضحكك
                وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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                • #9
                  Saha Bouberita

                  C'est une mauvaise guerre, oui !
                  Mais n'oublions pas le cours des événements passés..
                  Si la transaction de Rebrab avait réussi au niveau d'Al Khabar et KBC, Kadi Ihsan serait à la tête du plus grand empire médiatique en Algerie

                  Je dis cela, je dis rien..
                  Comme stipulé plus haut.. à quoi bon revenir là-dessus

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                  • #10
                    Il a traité un journaliste (actuellement en prison ) de "Khabarji",faisait-il allusion à Khaled Drareni ?


                    il dit:

                    " juste après sa première interpellation, un journaliste indépendant est parti directement à l'ambassade de France pour remettre le procès verbale de son entretien avec les juges "


                    Il parle aussi de RSF et de son ex président Robert Menard


                    minute : (1:04:30)


                    Dernière modification par sako, 02 mai 2020, 13h25.

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