Le protocole thérapeutique « à base d’Hydroxychloroquine et d’Azithromycine a connu une évolution » en Algérie, a révélé, ce samedi 2 mai, à Santé Algérie, Abderrahmane Benbouzid, ministre de la Santé.
« La physiopathologie a évolué. Actuellement, on parle aussi de l’altération de l’hémoglobine et de la possibilité de thrombose et d’embolie pulmonaire. Pour les thromboembolies, on met en marche la thromboprophylaxie (…) et on fait de la thrombolyse. Dès l’apparition des signes respiratoires, on met le patient sous corticoïdes. Donc en plus de la corticothérapie, (selon les cas), la bithérapie est associée aux anticoagulants », détaille-t-il.
Le ministre a également assuré que le protocole thérapeutique à base d’Hydroxychloroquine et de l’Azithromycine a permis de réduire les décès liés au Covid-19 en Algérie. « Le nombre réduit de décès est certainement lié (du moins en partie) à l’Hydroxychloroquine », a-t-il souligné.
Hausse des cas : les raisons
Le ministre a, par ailleurs, indiqué que « ce sont les sites de dépistage nouvellement installés qui ont fait que les chiffres ont été élevés ».
« Ce qui nous rassure est le nombre réduit des décès. On n’est jamais rassuré avec un décès, mais enfin, le nombre réduit des décès signifie moins de cas graves et moins de cas en réanimation. Toutefois, on doit rester vigilants », poursuit-il.
Enfin, le ministre a affirmé que « le personnel soignant est déterminé et mobilisé ». « Le corps médical a montré à l’occasion de cette pandémie qu’il est au front et à l’avant-garde », dit-il. « Les chiffres rassurants liés aux nombre de patients en réanimation et aux décès montrent une bonne mobilisation du personnel médical. Il y a beaucoup de malades qui guérissent et qui quittent les hôpitaux », conclut-il, rassuré.
Santé Algérie
« La physiopathologie a évolué. Actuellement, on parle aussi de l’altération de l’hémoglobine et de la possibilité de thrombose et d’embolie pulmonaire. Pour les thromboembolies, on met en marche la thromboprophylaxie (…) et on fait de la thrombolyse. Dès l’apparition des signes respiratoires, on met le patient sous corticoïdes. Donc en plus de la corticothérapie, (selon les cas), la bithérapie est associée aux anticoagulants », détaille-t-il.
Le ministre a également assuré que le protocole thérapeutique à base d’Hydroxychloroquine et de l’Azithromycine a permis de réduire les décès liés au Covid-19 en Algérie. « Le nombre réduit de décès est certainement lié (du moins en partie) à l’Hydroxychloroquine », a-t-il souligné.
Hausse des cas : les raisons
Le ministre a, par ailleurs, indiqué que « ce sont les sites de dépistage nouvellement installés qui ont fait que les chiffres ont été élevés ».
« Ce qui nous rassure est le nombre réduit des décès. On n’est jamais rassuré avec un décès, mais enfin, le nombre réduit des décès signifie moins de cas graves et moins de cas en réanimation. Toutefois, on doit rester vigilants », poursuit-il.
Enfin, le ministre a affirmé que « le personnel soignant est déterminé et mobilisé ». « Le corps médical a montré à l’occasion de cette pandémie qu’il est au front et à l’avant-garde », dit-il. « Les chiffres rassurants liés aux nombre de patients en réanimation et aux décès montrent une bonne mobilisation du personnel médical. Il y a beaucoup de malades qui guérissent et qui quittent les hôpitaux », conclut-il, rassuré.
Santé Algérie
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