C’est un véritable signal de détresse qu’a envoyé aujourd’hui lundi, le président du Forum des chefs d’entreprises, (FCE) Sami Agli, aux pouvoirs publics s’agissant de la situation des entreprises algériennes.
«La situation des entreprises est extrêmement difficile avec la conjonction de la chute des cours du pétrole et les implications de la crise sanitaire qui impacte 80% dont les chiffres d’affaires ont subit une chute sans précédent». C’est le triste constat qu’a dressé ce lundi le patron des patrons,l’invité de la radio chaine 1.
Pour Sami Agli, les pouvoirs publics doivent aider les entreprises à traverser sans trop de casse cette période, à travers notamment, plaide-t-il, des crédits sans intérêt «pour sauvegarder les emplois».
Dans le même ordre d’idées, le chef du FCE estime que le gouvernement devrait «accompagner» les entreprises touchées par l’épidémie du coronavirus, et «accélérer le passage à un nouveau modèle économique basé sur la libéralisation des investissements, la levée des restrictions bureaucratiques, la numérisation et la réforme du système bancaire».
Une réforme qui système bancaire qui passe selon lui par l’absorption de la masse monétaire qui circule sur le marché parallèle qui se situerait entre 60 et 80 milliards de dollars.
A1
«La situation des entreprises est extrêmement difficile avec la conjonction de la chute des cours du pétrole et les implications de la crise sanitaire qui impacte 80% dont les chiffres d’affaires ont subit une chute sans précédent». C’est le triste constat qu’a dressé ce lundi le patron des patrons,l’invité de la radio chaine 1.
Pour Sami Agli, les pouvoirs publics doivent aider les entreprises à traverser sans trop de casse cette période, à travers notamment, plaide-t-il, des crédits sans intérêt «pour sauvegarder les emplois».
Dans le même ordre d’idées, le chef du FCE estime que le gouvernement devrait «accompagner» les entreprises touchées par l’épidémie du coronavirus, et «accélérer le passage à un nouveau modèle économique basé sur la libéralisation des investissements, la levée des restrictions bureaucratiques, la numérisation et la réforme du système bancaire».
Une réforme qui système bancaire qui passe selon lui par l’absorption de la masse monétaire qui circule sur le marché parallèle qui se situerait entre 60 et 80 milliards de dollars.
A1
Commentaire