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La Tunisie a été classée 1er pays arabe et africain en matière de progrès social, par l’Indice de Progrès Social 2019, publié par Social Progress Imperative.
L’Indice du progrès social est publié annuellement par l’américain Social Progress Imperative. Il a couvert 149 pays en 2019, où la Tunisie se trouve au 51e rang mondial en réalisant un score de 72,33 points sur 100. La Norvège est classée 1er au rang mondial, suivie de la Suède et la Suisse.
L’indice en question repose sur des indicateurs économiques liés à l’environnement social, en fonction de critères tels que les télécommunications et les conditions environnementales, les besoins en eau, logement et nutrition, et le bien être lié aux connaissances de base. Un autre critère et non des moindres est celui des possibilités offerte en lutte contre la discrimination, en enseignement supérieur, en tolérance et liberté, et en droit politique.
Sur la base de ce qui précède, la Tunisie devance de loin la Turquie, et se rapproche de l’Albanie (54e) et du Monténégro (58e) au plan méditerranéen.
Dans la sphère arabo-africaine, la Tunisie a réussi en 2019 à se positionner confortablement en tête de liste des pays arabes, suivie des Emirats arabes unis (61e mondial sur 149 pays), du Qatar (64e), d’Oman (66e), de l’Algérie (79e), et du Maroc (82e).
Comparée au pays africains, la Tunisie est également largement en tête de liste, elle est suivie de l’Afrique du Sud (73e), du Botswana (84e), du Ghana 95e), ou encore du Sénégal (104e), pour ne citer que quelques uns.
Le pays a réalisé 5 bons scores parmi les indicateurs cités précédemment: l’accès à l’eau et l’assainissement (94,46 points sur 100), la nutrition et l’accès aux soins médicaux de base (93,71 / 100), le logement (92,19 / 100), les droits du citoyen tunisien (85,77 / 100), et l’accès aux TICs (79,93).
Le pays doit toutefois faire des efforts pour améliorer son score encore faible, dans 5 indicateurs, qui sont l’accès à un enseignement supérieur de qualité (31,41 points sur 100), l’inclusion sociale (49,35 / 100), la qualité de l’environnement (54,77 / 100), la santé et le bien-être (70,48 / 100), et la sécurité du citoyen (65,88 / 100).
Voici, par ailleurs, le classement relatif aux pays arabes et africains
Tunisie (51ème à l’échelle mondiale)
Émirats Arabes Unis (61ème à l’échelle mondiale)
Jordanie (63ème à l’échelle mondiale)
Qatar (64ème à l’échelle mondiale)
Oman (66ème à l’échelle mondiale)
Afrique du Sud (73ème à l’échelle mondiale)
Algérie (79ème à l’échelle mondiale)
Maroc (82ème à l’échelle mondiale)
Botswana (84ème à l’échelle mondiale)
Liban (87ème à l’échelle mondiale)
Arabie Saoudite (90ème à l’échelle mondiale)
Ghana (95ème à l’échelle mondiale)
Égypte (96ème à l’échelle mondiale)
Sénégal (104ème à l’échelle mondiale)
Kenya (109ème à l’échelle mondiale)
Rwanda (110ème à l’échelle mondiale)
Gambie (111ème à l’échelle mondiale)
Tanzanie (112ème à l’échelle mondiale)
Swaziland (115ème à l’échelle mondiale)
Bénin (116ème à l’échelle mondiale)
A titre d’information, l’indice de la Harvard Business School prend en compte l’environnement social des pays, les indicateurs économiques (PIB ou revenu par habitant), accès aux connaissances, situation des télécommunication, etc.).
Amina Mkada
Kapitalis
L’Indice du progrès social est publié annuellement par l’américain Social Progress Imperative. Il a couvert 149 pays en 2019, où la Tunisie se trouve au 51e rang mondial en réalisant un score de 72,33 points sur 100. La Norvège est classée 1er au rang mondial, suivie de la Suède et la Suisse.
L’indice en question repose sur des indicateurs économiques liés à l’environnement social, en fonction de critères tels que les télécommunications et les conditions environnementales, les besoins en eau, logement et nutrition, et le bien être lié aux connaissances de base. Un autre critère et non des moindres est celui des possibilités offerte en lutte contre la discrimination, en enseignement supérieur, en tolérance et liberté, et en droit politique.
Sur la base de ce qui précède, la Tunisie devance de loin la Turquie, et se rapproche de l’Albanie (54e) et du Monténégro (58e) au plan méditerranéen.
Dans la sphère arabo-africaine, la Tunisie a réussi en 2019 à se positionner confortablement en tête de liste des pays arabes, suivie des Emirats arabes unis (61e mondial sur 149 pays), du Qatar (64e), d’Oman (66e), de l’Algérie (79e), et du Maroc (82e).
Comparée au pays africains, la Tunisie est également largement en tête de liste, elle est suivie de l’Afrique du Sud (73e), du Botswana (84e), du Ghana 95e), ou encore du Sénégal (104e), pour ne citer que quelques uns.
Le pays a réalisé 5 bons scores parmi les indicateurs cités précédemment: l’accès à l’eau et l’assainissement (94,46 points sur 100), la nutrition et l’accès aux soins médicaux de base (93,71 / 100), le logement (92,19 / 100), les droits du citoyen tunisien (85,77 / 100), et l’accès aux TICs (79,93).
Le pays doit toutefois faire des efforts pour améliorer son score encore faible, dans 5 indicateurs, qui sont l’accès à un enseignement supérieur de qualité (31,41 points sur 100), l’inclusion sociale (49,35 / 100), la qualité de l’environnement (54,77 / 100), la santé et le bien-être (70,48 / 100), et la sécurité du citoyen (65,88 / 100).
Voici, par ailleurs, le classement relatif aux pays arabes et africains
Tunisie (51ème à l’échelle mondiale)
Émirats Arabes Unis (61ème à l’échelle mondiale)
Jordanie (63ème à l’échelle mondiale)
Qatar (64ème à l’échelle mondiale)
Oman (66ème à l’échelle mondiale)
Afrique du Sud (73ème à l’échelle mondiale)
Algérie (79ème à l’échelle mondiale)
Maroc (82ème à l’échelle mondiale)
Botswana (84ème à l’échelle mondiale)
Liban (87ème à l’échelle mondiale)
Arabie Saoudite (90ème à l’échelle mondiale)
Ghana (95ème à l’échelle mondiale)
Égypte (96ème à l’échelle mondiale)
Sénégal (104ème à l’échelle mondiale)
Kenya (109ème à l’échelle mondiale)
Rwanda (110ème à l’échelle mondiale)
Gambie (111ème à l’échelle mondiale)
Tanzanie (112ème à l’échelle mondiale)
Swaziland (115ème à l’échelle mondiale)
Bénin (116ème à l’échelle mondiale)
A titre d’information, l’indice de la Harvard Business School prend en compte l’environnement social des pays, les indicateurs économiques (PIB ou revenu par habitant), accès aux connaissances, situation des télécommunication, etc.).
Amina Mkada
Kapitalis