1-Bagrat elyatama, tafounast igoujilènes ou la vache des orphelins
La mère d'Aïcha et d'Ali tombe malade. Sentant la mort venir, elle fait promettre à son mari de ne jamais vendre la vache qu'elle a léguée à ses deux enfants. Ne pouvant s'occuper seul des enfants, le père se remarie. À partir du jour où la marâtre donne naissance à sa fille Djohra, elle se met à détester les deux orphelins, les bat et les affame. Mais les orphelins grandissent et conservent leur bonne santé car tandis qu'ils sont dans les champs, ils se nourrissent du lait de la vache.
La marâtre gave sa fille Djohra de bonnes nourritures ; mais cette dernière reste chétive et laide. Jalouse de la beauté des orphelins, la marâtre conseille à Djohra de les suivre afin de découvrir le secret de leur bonne santé. Quand Djohra désire elle aussi téter les mamelles de la vache, l'animal la rejette en lui donnant un coup de sabot. Furieuse la marâtre ordonne au père des enfants de vendre la vache. L'homme se rend plusieurs fois au marché mais personne ne veut acheter la vache. Tous craignent de subir la malédiction des orphelins. Devant cet échec, la marâtre ordonne à son mari et avec succès, d'égorger la vache.
En pleurs, les orphelins se rendent sur la tombe de leur mère. Deux roseaux poussent miraculeusement sur la tombe ; l'un donne du beurre, l'autre du miel. Les orphelins sucent la nourriture produite par les roseaux, continuant ainsi à bien s'épanouir. Rongée par la jalousie, la marâtre ordonne à la chétive Djohra de sucer les roseaux. Mais pour elle, les roseaux ne produisent que fiel et sang. Hors d'elle, la marâtre fait brûler la tombe.
Désespérée, l'adolescente Aïcha décide de partir en exil en emmenant avec elle son jeune frère. Ils errent plusieurs jours puis arrivent dans une forêt. La nuit, ils trouvent refuge dans un palmier-dattier. Le lendemain quand Ali boit l'eau d'une source, il se transforme en gazelle.
Le sultan aperçoit Aïcha et la gazelle. Il ordonne à ses hommes de les capturer. Mais Aïcha trouve refuge dans les branchages d'un gigantesque palmier-dattier. Le sultan ordonne alors de faire abattre l'arbre. Mais Settoute la vieille sorcière intervient en demandant de ne rien faire. La vieille, rusée, décide de cuisiner des galettes sur un feu allumé sous l'arbre. Mais la vieille fait semblant de ne pas savoir s'y prendre. Du haut de son arbre, Aïcha constate la maladresse de la vieille. Elle décide alors de descendre de l'arbre pour l'aider. Mais la vieille se saisit d'elle et les soldats emmènent la captive vers le palais du sultan.
Le sultan épouse Aïcha qui tombe enceinte. Mais cette grossesse éveille la jalousie des autres femmes du harem. L'une d'elle fait tomber Aïcha dans un vieux puits. Son frère-gazelle la voit tomber. Comme Ali ne cesse de faire le tour du puits en bramant, la femme jalouse ordonne à ses serviteurs de l'égorger. Mais aucun ne peut le faire voyant dans les yeux de la gazelle qu'il s'agit en fait d'un être humain.
Aïcha, au fond du puits, est recueilli par une fée qui finalement l'aide à mettre au monde son enfant. Durant ce temps, chaque matin, Ali la gazelle chante autour du puits et chaque matin Aïcha lui répond. Un jour, l'iman de la mosquée entend ces chants fraternels. Le religieux rapporte immédiatement ce prodige au sultan. Le lendemain matin, le sultan aperçoit Aïcha et son enfant au fond du puits. Il les fait sortir puis ordonne la décapitation de la sultane jalouse. L'imam fait ensuite boire de l'eau magique à Ali la gazelle qui aussitôt retrouve son apparence humaine.
La mère d'Aïcha et d'Ali tombe malade. Sentant la mort venir, elle fait promettre à son mari de ne jamais vendre la vache qu'elle a léguée à ses deux enfants. Ne pouvant s'occuper seul des enfants, le père se remarie. À partir du jour où la marâtre donne naissance à sa fille Djohra, elle se met à détester les deux orphelins, les bat et les affame. Mais les orphelins grandissent et conservent leur bonne santé car tandis qu'ils sont dans les champs, ils se nourrissent du lait de la vache.
La marâtre gave sa fille Djohra de bonnes nourritures ; mais cette dernière reste chétive et laide. Jalouse de la beauté des orphelins, la marâtre conseille à Djohra de les suivre afin de découvrir le secret de leur bonne santé. Quand Djohra désire elle aussi téter les mamelles de la vache, l'animal la rejette en lui donnant un coup de sabot. Furieuse la marâtre ordonne au père des enfants de vendre la vache. L'homme se rend plusieurs fois au marché mais personne ne veut acheter la vache. Tous craignent de subir la malédiction des orphelins. Devant cet échec, la marâtre ordonne à son mari et avec succès, d'égorger la vache.
En pleurs, les orphelins se rendent sur la tombe de leur mère. Deux roseaux poussent miraculeusement sur la tombe ; l'un donne du beurre, l'autre du miel. Les orphelins sucent la nourriture produite par les roseaux, continuant ainsi à bien s'épanouir. Rongée par la jalousie, la marâtre ordonne à la chétive Djohra de sucer les roseaux. Mais pour elle, les roseaux ne produisent que fiel et sang. Hors d'elle, la marâtre fait brûler la tombe.
Désespérée, l'adolescente Aïcha décide de partir en exil en emmenant avec elle son jeune frère. Ils errent plusieurs jours puis arrivent dans une forêt. La nuit, ils trouvent refuge dans un palmier-dattier. Le lendemain quand Ali boit l'eau d'une source, il se transforme en gazelle.
Le sultan aperçoit Aïcha et la gazelle. Il ordonne à ses hommes de les capturer. Mais Aïcha trouve refuge dans les branchages d'un gigantesque palmier-dattier. Le sultan ordonne alors de faire abattre l'arbre. Mais Settoute la vieille sorcière intervient en demandant de ne rien faire. La vieille, rusée, décide de cuisiner des galettes sur un feu allumé sous l'arbre. Mais la vieille fait semblant de ne pas savoir s'y prendre. Du haut de son arbre, Aïcha constate la maladresse de la vieille. Elle décide alors de descendre de l'arbre pour l'aider. Mais la vieille se saisit d'elle et les soldats emmènent la captive vers le palais du sultan.
Le sultan épouse Aïcha qui tombe enceinte. Mais cette grossesse éveille la jalousie des autres femmes du harem. L'une d'elle fait tomber Aïcha dans un vieux puits. Son frère-gazelle la voit tomber. Comme Ali ne cesse de faire le tour du puits en bramant, la femme jalouse ordonne à ses serviteurs de l'égorger. Mais aucun ne peut le faire voyant dans les yeux de la gazelle qu'il s'agit en fait d'un être humain.
Aïcha, au fond du puits, est recueilli par une fée qui finalement l'aide à mettre au monde son enfant. Durant ce temps, chaque matin, Ali la gazelle chante autour du puits et chaque matin Aïcha lui répond. Un jour, l'iman de la mosquée entend ces chants fraternels. Le religieux rapporte immédiatement ce prodige au sultan. Le lendemain matin, le sultan aperçoit Aïcha et son enfant au fond du puits. Il les fait sortir puis ordonne la décapitation de la sultane jalouse. L'imam fait ensuite boire de l'eau magique à Ali la gazelle qui aussitôt retrouve son apparence humaine.
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