Khénifra maroc: une belle-mère torture son enfant

[tindouf]

L’histoire de la belle-mère tortionnaire n’a pas fini de livrer tous ses secrets. On apprend aujourd’hui que cet enfant de 8 ans, habitant à Khenifra, avait été soumis par sa belle-mère à des séances de tortures par le feu, en plein confinement.

À en croire le site Rue20, le scandale a éclaté quand l’oncle de la jeune victime avait découvert des traces de brûlures sur son corps, sans parvenir à savoir à quand remontent ses supplices.

Muni des photos des ecchymoses, appuyées par les aveux de son petit-neveu, l’homme s’est empressé de déposer une plainte auprès des services de la gendarmerie royale de la ville, qui ont ouvert une enquête judiciaire.

Pour l’instant, le mystère reste entier. On ignore encore à quand remontent ces actes barbares, ainsi que les mobiles qui avaient poussé la belle-mère à agir de la sorte. En attendant les résultats de l’enquête, celle-ci a été placée en détention sur ordre du parquet général.
bladi net

[Cell]

Ça va ?? Fait pas trop chaud sous la tente.....oeilfermé

[hakimcasa]

Mdrrrrrrrrrrrr

[alibigoud]

Quel évènement international !
Il faudra créer une rubrique "faits divers sordides" afin de satisfaire les penchants de certains.

[rago]

" Il faudra créer une rubrique "faits divers sordides" afin de satisfaire les penchants de certains."

Absolument!

Quel est l'intérêt de la presse électronique marocaine à faire cas de sujets si salaces comme celui-ci:

Espagne : Soupçon d’agression sexuelle sur une saisonnière marocaine à Huelva

Dans une propriété agricole de fruits rouges à Lucena del Puerto (Huelva), une travailleuse saisonnière marocaine aurait été agressée sexuellement, jeudi dernier, par un responsable de la firme.

Selon le site d’information La Mar De Onuba, l’ouvrière de 39 ans a été prise en charge à l’hôpital Juan Ramón Jiménez pour des blessures causées par son agresseur, dans sa tentative de l’amener avec lui, loin des champs. Pour se défendre contre son agresseur, la saisonnière marocaine lui aurait porté des coups.

Selon le témoignage de la femme, relayé sur Facebook par Diego Cañamero du Syndicat andalous des travailleurs (SAT), l’agresseur est en effet un superviseur de la ferme. Lors de la campagne précédente, «il avait déjà tenté d’abuser d’elle et d’autres femmes».

Des sources consultées par le média espagnol indiquent que le dossier de cette récente agression devait être soumis au parquet de Huelva, mais l'accusation initiale aurait été changée, passant d’agression sexuelle à «agression physique mutuelle».

Le syndicat y voit l’influence du lobby patronal dans la région, qui a déjà taxé la SAT d’alimenter de «fausses plaintes», au lendemain des révélations sur le scandal sexuel des champs de fraises à Huelva.

L'association patronale Interfresa décrit auprès du média espagnol ce qui s’est passé justement comme «un cas d’agression physique mutuelle».

«De l’avis du conseil PRELSI (Plan éthique, social et de responsabilité sociale d’Interfresa) qui a été informé de l'affaire, il n’a pas été jugé nécessaire d’activer un protocole à cet égard», note encore la même source.

Cherchant à éviter un nouveal épisode du Huelva Gate, Interfresa argue par ailleurs que l’homme en question ne serait pas impliqué dans une agression sexuelle, mais a été licencié.

A rappeler que les procès impliquant les exploitants de fraises à Huelva dans des affaires d'agression sexuelle sur les saisonnières agricoles marocaines sont toujours au point mort. Deux affaires impliquant une dizaine de saisonnières sont toujours devant les juges.


Ya...bi