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kmsnews.org. Islamabad, 13 mai (KMS): Le président de l'Institut des relations internationales du Cachemire (KIIR), Altaf Hussain Wani, exprimant sa vive inquiétude face aux crimes haineux de plus en plus nombreux contre les musulmans en Inde, a déclaré qu'il incombait au secrétaire de l'ONU Général, Antonio Gutters pour prendre une action stricte contre l'Inde qui a pratiqué et promu la politique de la haine pour accomplir son sinistre programme.
Altaf Wani, dans un communiqué publié à Islamabad, a déclaré: «La nouvelle vague de xénophobie, de racisme et d'intolérance en Inde est devenue une grande menace pour les minorités, en particulier pour les musulmans qui ont subi de plein fouet les crimes de haine post-corona.»
Il a déploré qu'une campagne systématique ait été lancée pour diaboliser les musulmans en les accusant de la propagation du coronavirus. Il a noté que le parti au pouvoir en Inde, le BJP, était fortement impliqué dans des incitations à la haine qui avaient provoqué une vague de lynchage populaire dans le pays.
Faisant référence à la situation dans le Jammu-et-Cachemire occupé, il a déclaré: «Le meurtre de civils innocents, la torture, l'humiliation et le refus des cadavres des martyrs à leurs proches sont des exemples flagrants de racisme religieux dans le territoire contesté.»
Altaf Wani a appelé le chef de l'ONU à utiliser ses bons offices pour empêcher le gouvernement indien de promouvoir la haine anti-musulmane en Inde et au Cachemire occupé.
Altaf Wani, dans un communiqué publié à Islamabad, a déclaré: «La nouvelle vague de xénophobie, de racisme et d'intolérance en Inde est devenue une grande menace pour les minorités, en particulier pour les musulmans qui ont subi de plein fouet les crimes de haine post-corona.»
Il a déploré qu'une campagne systématique ait été lancée pour diaboliser les musulmans en les accusant de la propagation du coronavirus. Il a noté que le parti au pouvoir en Inde, le BJP, était fortement impliqué dans des incitations à la haine qui avaient provoqué une vague de lynchage populaire dans le pays.
Faisant référence à la situation dans le Jammu-et-Cachemire occupé, il a déclaré: «Le meurtre de civils innocents, la torture, l'humiliation et le refus des cadavres des martyrs à leurs proches sont des exemples flagrants de racisme religieux dans le territoire contesté.»
Altaf Wani a appelé le chef de l'ONU à utiliser ses bons offices pour empêcher le gouvernement indien de promouvoir la haine anti-musulmane en Inde et au Cachemire occupé.