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Produits agricoles : Les exportations marocaines se poursuivent, et augmentent même

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  • Produits agricoles : Les exportations marocaines se poursuivent, et augmentent même

    Face à un contexte international difficile caractérisé par l’épidémie COVID-19, les opérateurs marocains du secteur des exportations des produits alimentaires agricoles ont doublé d’efforts pour maintenir leur activité au niveau de toute la chaine de valeur, de la production au niveau des vergers jusqu’à la commercialisation au niveau des marchés d’exportation en passant par le conditionnement et la transformation.
    Dans ce sens, et afin de contrecarrer la propagation de ce fléau, les consignes de sécurité et d’hygiène ont été renforcées au niveau des unités d’exportation des produits agro-alimentaires afin de contenir tout risque de contamination du COVID-19.

    Ces mesures concernent, entre autres, le renforcement du dispositif d’hygiène du personnel au sein des structures de conditionnement et de transformation, la désinfection fréquente des locaux et des moyens de transport, le contrôle de la température corporelle des employés, la dotation du personnel des moyens de protection (masques, visières et gants), le respect des distances de sécurité nécessaires entre le personnel, etc.
    Malgré le contexte difficile, le secteur des exportations des produits agro-alimentaires a enregistré de bonnes performances. En effet, Les exportations des produits maraîchers ont atteint durant cette saison au 9 mai 2020 (selon le calendrier adopté par Morocco Foodex du 1er septembre au 09 mai correspondant au calendrier agricole) un volume de l’ordre de 1 077 000 tonnes, enregistrant ainsi une croissance de 6% par rapport à la saison dernière arrêtée à la même date (1 012 000 tonnes).

    Les exportations de la tomate ont connu au 9 mai 2020 une augmentation de l’ordre de 4% par rapport à la saison précédente en passant de 492 000 tonnes à 514 000 tonnes à la même date.
    Les exportations des haricots verts ont atteint durant cette saison au 09 mai 2020 un volume de l’ordre de 112 000 tonnes, contre environ 102 000 tonnes pendant la saison antérieure, enregistrant ainsi une augmentation de 10%.
    Les fruits rouges ont enregistré une croissance remarquable durant cette campagne. En effet, les exportations des fruits rouges à l’état frais ont atteint durant cette campagne un volume de l’ordre de 82 500 tonnes au 9 mai 2020, enregistrant ainsi une croissance de 25% par rapport à la dernière campagne à la même date (66 000 tonnes).

    A noter également la bonne performance enregistrée au niveau de l’export de la pastèque dont le volume a atteint environ 104 400 tonnes durant cette campagne au 9 mai 2020, soit une croissance de l’ordre de 61% par rapport à la campagne précédente à la même date (65 000 tonnes).
    Les exportations de l’avocat ont atteint durant cette saison au 9 mai un volume de l’ordre de 32 800 tonnes, soit pratiquement le triple du volume enregistré durant la saison antérieure à la même date (11 200 tonnes).

    Concernant les agrumes, et tout en notant le maintien d’un bon niveau des prix sur les marchés internationaux, un repli des volumes d’exportation de l’ordre de 28% a été enregistré durant cette campagne à cause du recul de la production.
    Les exportations des produits agricoles transformés hors sucre et ses préparations ont atteint durant cette saison au 9 mai un volume de l’ordre de 299 000 tonnes, contre 255 800 tonnes durant la saison dernière, soit une croissance de l’ordre de 17%.

    Infomédiaire



    F

  • #2
    Les exportations de l’avocat ont atteint durant cette saison au 9 mai un volume de l’ordre de 32 800 tonnes, soit pratiquement le triple du volume enregistré durant la saison antérieure à la même date (11 200 tonnes).
    Je sais ce que ça vaut :

    j'ai longuement discuté avec des agriculteurs dans la région du Gharb , et j'etais agréablement surpris du marché de l'avocat .

    Sur un hectare , la possibilité de cultiver jusqu'à 400 arbres , et +- après 4 ans on peut avoir des chiffres allant jusqu'à 40.000 € / hectare / année .

    la Région de Larache-Moulay bousselham- Kenitra - Jusqu'à Rabat à très bien investi dans l'avocat . et énormément de gens ont fait des fortunes .

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    • #3
      Malgres la sécheresse et l'absence de la pluie surtout durant les mois de décembre janvier février et Mars qui a impacté la production des céréales (seulement 3.5 millions tonnes ) La production des fruits et légumes a été épargné (à part un repli pour les agrumes) . Cela a été possible grâce aux eaux stockées dans les barrages (a peu prêt 7,8 Milliards mètres cubes ) .
      Les Exportation des produits agro-alimentaires: la campagne s'annonce "prometteuse" surtout on aura un surplus à exporter en raison de l'absence de touristes (donc la consommation des produits agro-alimentaires devraient sensiblement baisser ) .
      Cependant il faut signaler un problème : la capacité des centres de stockage et de refroidissement des aliments est insuffisante donc il faut accélérer les mesures contribuant à faciliter l'exportation sinon on aura beaucoup de pertes et un grand manque à gagner ....

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      • #4
        L'Algérie peut aussi importer pas mal de produits agricoles aux pays qui auront la famine
        Il suffit d'une volonté réelle et du travail sur le terrain

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        • #5
          Ou est la logique depuis la fermeture des frontières le Maroc exporte plus ?

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          • #6
            L’embargo est sur la circulation des personnes pas sur la
            Marchandise
            La haine aveugle

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            • #7
              L'embargo est surtout sur la presse marocaine

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              • #8
                Ports marocains : Trafic en hausse à fin avril

                Le trafic transitant par les ports gérés par l’Agence nationale des ports (ANP) a atteint un volume global de 31,3 millions de tonnes (MT) à fin avril, en augmentation de 6,9% par rapport à la même période un an auparavant.Par nature de flux, ce trafic est dû à la hausse des importations de 6,3% à 19,4 MT, des exportations de 8,4% à environ 10,8 MT et du volume du cabotage de 1,6% à 1 MT, précise l’ANP dans sa récente note de synthèse sur l’activité portuaire.

                La répartition du trafic par port fait ressortir que les ports de Casablanca, Mohammedia et Jorf Lasfar ont assuré le transit de 24,8 MT, ce qui représente environ 80,1% du trafic des ports gérés par l’ANP, indique la même source.

                Représentant environ 33,7% du trafic global, le port de Casablanca a enregistré un trafic d’environ 10,4 MT à fin avril, en hausse 6% par rapport aux quatre premiers mois de 2019, porté essentiellement par le fort rebond des importations des céréales (+23,5%), des aliments de bétails (+32,3%) et le trafic conteneurisé (+3,9%).

                Par contre, les principales variations à la baisse ont concerné les produits sidérurgiques (-5,4%) et les exportations du sel. De son côté, le port de Jorf Lasfar, chiffré à 12,7 MT (+13%) à fin avril, confirme sa première place avec une quote-part de 41% du trafic global. Cette performance est due principalement aux exportations des engrais (+60,2%), aux importations des céréales (+52,5%) et de l’ammoniac (+30,1%).


                L’activité du port de Mohammedia a, en revanche, accusé une baisse de 7,8% à 1,6 MT, pénalisée principalement par la diminution du trafic du gasoil (-17%), a fait savoir l’ANP. De même, les ports de Nador, Safi et Laâyoune ont enregistré un trafic en recul respectivement de 3,3%, 13,1% et 15,2%, tandis que celui d’Agadir a amélioré son activité de 9% à 2,2 MT.

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                • #9
                  Bonjour

                  L'activité des ports est restée intacte pour exporter les marchandises et importer aussi Les besoins du pays

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                  • #10
                    argumenter des simples choses avec des trucs comme l'autre là est juste une perte de temps...

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                    • #11
                      Agriculture/souveraineté alimentaire : Le Maroc a vu juste

                      22 avril 2020


                      La crise du nouveau coronavirus a remis sur la place publique le débat autour de “la souveraineté alimentaire” des pays, ébranlée par l’étirement des sources d’approvisionnement et la relégation au deuxième plan de l’agriculture, généralement au profit des services et de l’industrie.

                      La place que devra occuper l’économie réelle dans l’après-crise est au cœur des réflexions de penseurs et d’experts de tous bords, dont plusieurs analyses prophétisent déjà l’avènement à terme d’une économie moins portée par la financiarisation et une révision de la mondialisation dans le sens d’une recomposition des chaînes de production et de valeur.

                      ....

                      infomediaire

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                      • #12
                        Si on veux augmenter la capacité de production d’aliments stratégiques tel le blé,

                        il faut fermer les terrains de golf , remplacer la production du melon par le blé

                        Ces 2 activités nous prennent beaucoup d’eau

                        C’est juste 2 exemples partis d’autres
                        La haine aveugle

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                        • #13
                          il faut fermer les terrains de golf , remplacer la production du melon par le blé
                          Le melon n'est pas un bon exemple. Le melon est semé au début du printemps alors que le blé est semé en automne. Et d'autre part, la surface cultivée du melon est insignifiante comparée à celle du blé.

                          L'eau utilisée pour arroser les terrains de golf est impropre à l'irrigation.

                          Ce qu'il nous faut c'est moins de gaspillage de pain et un changement de nos habitudes alimentaire. On consomme trop de pain comme on consomme trop de sucre.

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                          • #14
                            Le melon est irrigué en goute a goute, une technique qui se prete mal au blé, il faut intensifié la recherche pour devellopé un blé qui donne plus de résultat dans des climats semi-arride.

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                            • #15
                              Ce qu'il nous faut c'est moins de gaspillage de pain et un changement de nos habitudes alimentaire. On consomme trop de pain comme on consomme trop de sucre.
                              entièrement d'accord, je le voie au gaspillage de ces des deux produits en Algérie à cause des prix bas (produits subventionnés) des habitudes alimentaires ( un café avec trois ou 4 morceaux de sucres...) c'est dangereux même pour la santé.

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