Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Bull part s’installer au Maroc

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Bull part s’installer au Maroc

    Bull part s’installer au Maroc

    Bull a prévu d’ouvrir un centre de services dans le parce d’affaires dédié aux activités d’offshoring à Casashore, au Maroc, dont l’ouverture est prévue pour juillet 2007.

    C’est désormais sur, dès l’ouverture du centre au Maroc en juillet, Bull implantera un centre de services et prévoit de créer 200 emplois à l’horizon 2009.

    Bull Maroc compte déjà une centaine d’employés sur place, mais ce nouveau centre sera exclusivement réservé aux clients externes de Bull, qui proviendront du marché local et de l’international. De passage au Maroc la semaine dernière pour la signature du contrat avec le gouvernement, Didier Lamouche, président de Bull International, n’a pas souhaité révéler le chiffre d’affaires sur lequel il tablait.

    Bull ne sera pas le seul à aller s’implanter dans cette région du Maroc puisque Cap Gemini, Logica CMG et la filiale du groupe français Akka ont également opté pour cette plate-forme. Les entreprises bénéficieront d’une fiscalité avantageuse et d’aides gouvernementales spéciales.

    A noter que ce centre sera le deuxième ouvert par Bull à l’international, après celui situé en Pologne.


    Ecrit par Emilien Ercolani

  • #2
    C'est une bonne nouvelle, la zone de Casashore est considérée comme étant la plus grande zone offshore francophone.

    Commentaire


    • #3
      Maroc- Externalisation: la SSII Sopra Group s’installe

      La montée en puissance de l’externalisation de services informatiques français profite au Maroc.
      Poussé par la pression actuelle sur les prix, les grandes SSII (sociétés de services en ingénierie informatique) de l’Hexagone mettent le cap sur le Maroc.
      Sopra Group, SSII française, s’implante au Maroc dans le sillage de Cap Gemini, de Steria, et d’Atos Origin. Cette SSII française n’est pas en terrain inconnu, car dernièrement, elle a accompagné la fondation Zakoura et l’association AL Amana, chacune dans son développement respectif, suite à un appel d’offres.
      En effet, acteur majeur du conseil et des services informati¬ques en Europe, Sopra Group propose un ensemble de prestations utiles aux entreprises pour faire évoluer leur organisation et Leurs systèmes d’information.
      Le groupe compte aujourd’hui 9.200 collaborateurs.

      Source: Challenge Hebdo

      Commentaire


      • #4
        C'est une bonne nouvelle et des débouchés nouveaux pour nos jeunes ingénieurs.

        Commentaire


        • #5
          et des microprocesseurs aussi au maroc

          STMicro : des têtes chercheuses au Maroc STMicro : des têtes chercheuses au Maroc


          L'Expansion
          Après avoir exporté une partie de sa fabrication en Asie, le groupe confie le design de ses puces à des ingénieurs de Rabat.



          La mappemonde du champion des microprocesseurs, STMicroelectronics, s'est enrichie depuis peu d'un nouveau nom. Après Crolles, aux portes de Grenoble, Agrate, près de Milan, et Catane, en Sicile, le groupe a planté un fanion à Rabat. En catimini, ou presque, car le sujet est sensible. Il s'agit d'une nouvelle implantation qui porte le joli nom de « centre de conception de circuits intégrés ». Une mise sur orbite d'un nouveau type, puisque ST a décidé de faire dessiner au Maroc des microprocesseurs adaptés aux besoins précis de ses clients. Du sur-mesure, en somme. D'ordinaire, dans ces cas-là, il faut une usine et un client final à proximité. Au Maroc, les choses se passeront différemment. A Casablanca, les 4 900 employés du groupe ne fabriquent que des boîtiers, une activité de back end, dans le jargon du métier. Des microprocesseurs venus de Malte, de France ou de Singapour sont incorporés dans les boîtiers, qui sont ensuite réexpédiés vers l'Europe, principalement à des fabricants de téléviseurs et de lecteurs DVD numériques.
          Or le nouveau bébé, qui n'a que 18 mois et a été installé dans les locaux de l'Ecole Mohammadia d'ingénieurs (EMI) de Rabat, la plus prestigieuse du pays, fera de la conception. Le centre de Rabat emploie déjà une centaine d'ingénieurs. Et l'EMI, qui a signé avec le groupe un accord privilégié sur la formation et les stages de ses lauréats, devrait alimenter ST en cerveaux. « A terme, les effectifs employés sur place ne dépasseront pas 400 personnes, dans un horizon non défini », minimise Alain Dutheil, le nouveau directeur général de ST. Reste que, de sources marocaines, le groupe a mis en place un plan de recrutement à cinq ans et qu'il construit en ce moment même à Rabat un bâtiment dédié, livrable fin juillet 2005, et... extensible.
          Rampant, ce phénomène de « relocalisation » de matière grise est moins voyant en tout cas que le départ à Singapour de son usine de fabrication rennaise de microprocesseurs, en septembre 2003. Un départ coûteux en emplois - 600 postes supprimés - et accompagné de mois de chahut social. L'ouverture du centre de Rabat n'a pas soulevé de tempête car ce n'est pas demain que le groupe licenciera ses 4 000 ingénieurs-concepteurs travaillant à Grenoble et à Catane pour transférer l'intégralité de son développement sous d'autres cieux. Mais encore quelques années et le design des puces vendues en Europe pourrait ne plus être réalisé par les ingénieurs français ou italiens, mais par leurs homologues marocains. L'objectif du centre de Rabat vise « en partie à réduire le coût du design », admet Alain Dutheil. Au Maroc, un directeur de la R&D est payé 42 000 euros, contre 160 000 en France en moyenne.
          Le Maroc, troisième patrie du groupe franco-italien
          De plus les deux hommes forts de ST, le président Pasquale Pistorio et son dauphin Alain Dutheil, croient à la mondialisation. Et tous deux prêchent la fin de la fracture numérique. Dès lors, sans surprise, le Maroc est devenu la troisième patrie du groupe franco-italien. Dès la fin des années 80, Dutheil - il présidait alors SGS-Thomson Maroc - a promu le royaume de feu Hassan II. C'est lui qui y délocalisera les premières lignes d'assemblage de boîtiers, basées à l'époque à Aix-en-Provence. L'arrivée de l'activité design en est la suite logique. « Ils avaient aussi étudié la possibilité d'ouvrir ce centre en Inde », précise Jamal-Eddine Jillal, directeur adjoint de l'EMI. Comme bon nombre d'industriels attirés par les cerveaux de Bangalore. En s'installant au Maroc, STMicroelectronics ne cherche pas à adapter ses produits à des besoins locaux et en lien avec les usines du pays d'accueil. Une démarche « atelier » différente de celle de Valeo, par exemple. Pour son usine de Wuhan, en Chine, l'équipementier a recruté sur place 100 ingénieurs afin de développer des éclairages pour le marché local.
          Certes, le coeur du dispositif créatif n'est pas encore touché. La recherche « fondamentale » des groupes français et européens échappe toujours à la mondialisation. Chez ST, les travaux sur les nouveaux processus de fabrication du silicium ou les procédés innovants de nanoélectronique restent confinés à Agrate et à Crolles. Les deux sites emploient quelque 2 000 chercheurs. « Je ne connais encore aucun industriel qui soit prêt à envoyer sa recherche fondamentale en Inde ou au Maghreb. C'est une activité bien trop stratégique qui exige une extrême confidentialité et une législation solide sur la propriété industrielle », assure Stéphane Albernhe, associé et spécialiste de l'ingénierie chez Roland Berger Consultants. Pour l'instant...
          http://www.lexpansion.com/art/6.0.79291.2.html

          Commentaire


          • #6
            L'article date un peu.

            Commentaire


            • #7
              oui je sais ils ont ouvert ce centre a l'école mohemmadia d'ingénieurs en 2004 ce qui veut dire que nos chercheurs sont bien expérimentés mtn en 2007.

              Commentaire


              • #8
                Bonne chose pour le Maroc. Il faut juste savoir que Bull est une entreprise informatique en déclin. Elle est soutenue par l’Etat français mais jusqu'à quand ?
                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                Commentaire


                • #9
                  Bonne chose pour le Maroc. Il faut juste savoir que Bull est une entreprise informatique en déclin. Elle est soutenue par l’Etat français mais jusqu'à quand ?
                  Derniérement depuis 2000 Bull a retrouvé un nouveau souffle, qui fait de cette entreprise une des grands acteurs européens son CA est de 1.2 milliards €.

                  Beaucoup d'entreprises française mise sur l'informatique au Maroc comme l'exemple de digimind

                  http://www.leconomiste.com/article.html?a=77721
                  Dernière modification par tamurt, 19 avril 2007, 17h11.

                  Commentaire


                  • #10
                    Envoyé par tamurt
                    Derniérement depuis 2000 Bull a retrouvé un nouveau souffle
                    Le Groupe BULL a renoué avec la croissance qu'en 2006. C'est la première année de croissance pour les revenus de Bull depuis 1999. Ce résultat s'explique par l'intervention en 2004 de l'Etat français qui a injecter 500 millions d'euros (non remboursables) dans le groupe BULL.

                    Lis cet article:

                    http://www.01net.com/article/236800.html
                    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                    Commentaire


                    • #11
                      Le Groupe BULL a renoué avec la croissance qu'en 2006. C'est la première année de croissance pour les revenus de Bull depuis 1999. Ce résultat s'explique par l'intervention en 2004 de l'Etat français qui a injecter 500 millions d'euros (non remboursables) dans le groupe BULL.
                      Merci Shadok pour cette information que je n'avais pas. Oui d'aprés ce que j'ai lu le groupe Bull à un bon gros soucis financier, il s'appuie sur l'état car il sait que c'est le dernier groupe européen dans l'informatique avec Siemens Nixdorf (je sais pas si ils sont encore allemand ?).

                      Donc ça explique pourquoi Bull va délocaliser 200 emplois et (d'apès un ami qui connait le projet) compte créer 1500 emplois au Maroc en recrutant sur place et ne plus remplacer les gens qui partent en retraite en France. La concurrence américaine et asiatique et de plus en plus rude et oblige les européens à se réorganiser.

                      Commentaire


                      • #12
                        La Bangalore des pays francophones

                        Un article intéressant.
                        Le lien : http://www.01net.com/editorial/34123...re-au-maroc-./


                        C'est le moment de faire carrière au Maroc !
                        La stratégie volontariste du Maroc attire les SSII françaises.
                        Celles-ci entraînent dans leur sillage des informaticiens qui donnent
                        ainsi un nouvel élan à leurs parcours professionnels.


                        « En quinze jours, j'ai recruté 16 personnes. Et ce n'est pas fini.
                        Nous serons une cinquantaine à la fin du mois de mars. Il faut faire
                        vite, car nous ne savons pas ce qu'il adviendra du marché de l'emploi
                        au printemps ! » Hassan Abdellaoui est le patron de la nouvelle
                        filiale marocaine de la petite SSII française Telys. Ce
                        Franco-marocain de 43 ans a effectué toute sa carrière en France.

                        Son diplôme de l'Ecole centrale en poche en 1986, il travaille d'abord
                        en SSII, puis dans le secteur de l'assurance et de la banque. En 2004,
                        il rejoint Telys en tant que directeur associé, avec la ferme
                        intention de créer une offre offshore . Après quelques mois de test
                        avec une société marocaine, il participe à la création d'un
                        joint-venture local. « C'est pour moi une excellente opportunité, se
                        félicite-t-il. Le Maroc se développe si vite ! Quand on vit à Casa
                        (Casablanca), on a envie de participer à la dynamique. C'est un
                        chantier extraordinaire. Du coup, j'ai atteint mon objectif : revenir
                        au Maroc, tout en gardant un pied en France. »

                        Aujourd'hui, il sait que le temps presse : les mastodontes du service,
                        notamment français, se ruent au Maroc. En particulier à Casablanca, la
                        capitale économique.

                        « La Bangalore des pays francophones »

                        Les SSII sont incitées par la stratégie volontariste du gouvernement
                        et, surtout, du roi Mohammed VI, visant à faire du Maroc une grande
                        destination offshore. « Casa deviendra la Bangalore des pays
                        francophones », prédit Hassan Bernoussi, le directeur d'Investir au
                        Maroc, une organisation gouvernementale de promotion économique, lors
                        de sa tournée de communication en France. Capgemini vient d'ailleurs
                        d'arriver.

                        Après de longs mois de palabres et de tergiversations, le géant
                        français loue des locaux en attendant la livraison, prévue pour
                        juillet prochain, de la plate-forme flambant neuve du fameux
                        Casashore. L'objectif annoncé est clair : monter une équipe de 500
                        personnes dans les trois prochaines années. Rien à voir, bien sûr,
                        avec les 10 000 ingénieurs de la SSII en Inde. Mais, toutes
                        proportions gardées, l'arrivée du leader français risque fort
                        d'assécher le marché de l'emploi. C'est là que le bât aurait pu
                        blesser. « Le point crucial qui a déterminé notre décision
                        d'implantation au Maroc est l'engagement du Royaume de tout faire pour
                        accroître la quantité d'ingénieurs disponibles dans le pays »,
                        poursuit Philippe Donche-Gay, le directeur général de Capgemini
                        France.

                        Profiter de l'expérience en France pour évoluer vite

                        Souriante, avenante, mais déterminée, Farida prend une pause de
                        quelques minutes pour raconter son parcours. Après un diplôme
                        d'ingénieur à l'école Mohammedia (l'équivalent marocain de
                        Polytechnique), elle part faire ses armes en France. Quatre ans et
                        demi en SSII, dont deux en Allemagne, et Farida se construit une belle
                        spécialité dans les télécoms. Lorsque son employeur, Unilog, lui
                        propose de rejoindre l'équipe marocaine en plein développement, elle
                        n'hésite pas une seconde. Aujourd'hui, à 27 ans, installée à Rabat,
                        elle est aux commandes d'une équipe d'une dizaine de personnes, qui
                        développe une application de facturation. Et elle ne s'arrêtera
                        sûrement pas là.

                        « Je réalise mon rêve : mettre à profit les acquis de mon expérience
                        en France pour évoluer rapidement dans mon pays d'origine. » Un
                        parcours qui se banalise, surtout depuis quelques mois. Pour créer les
                        nouvelles structures et apprendre aux jeunes diplômés marocains les
                        méthodes de travail si cruciales dans les centres offshore, rien de
                        tel qu'un management composé essentiellement de Marocains chevronnés,
                        rompus aux pratiques des SSII françaises.

                        Ainsi Mohammed Lakhlifi, le patron de la nouvelle entité d'Unilog à
                        Casablanca, a-t-il passé dix-huit ans en France, au sein de la SSII.
                        C'est donc en toute logique qu'il a été choisi pour créer la
                        plate-forme de Casa. Et la SSII française a choisi de ne pas attendre
                        un an la livraison des locaux de Casashore. Le 1er juillet dernier,
                        Mohammed Lakhlifi a inauguré un espace tout neuf dans un autre centre
                        d'affaires de Casa. Equipement des locaux, recrutement, construction
                        de toutes pièces de la nouvelle structure, etc. Le dirigeant
                        franco-marocain a dû tout créer ex nihilo.

                        Même scénario chez Atos Origin. La grande majorité du management
                        arrive de France. « Je fais partie des anciens élèves de l'Insa Lyon.
                        C'est grâce à ce réseau que j'ai trouvé ce job. » Mounir est, lui
                        aussi, venu de France pour participer au développement d'Atos au
                        Maroc. Déjà présente dans le développement de projets pour les clients
                        marocains, la SSII construit également sa structure offshore. Elle
                        vise le recrutement d'une centaine d'ingénieurs, qu'il faudra former
                        aux méthodes de la TMA - en particulier à CMMI. Voilà bien le point
                        fort des ingénieurs et consultants rodés en France : leur maîtrise des
                        processus de développement de maintenance des applications.

                        Retourner au Maroc après plusieurs années d'expérience en France. La
                        perspective en séduit plus d'un. Mais à une condition non négligeable
                        : accepter de réduire son salaire, globalement de moitié ! Un
                        sacrifice que tous ne sont pas prêts à consentir. Les discours
                        officiels ne gomment pas ce point. « Qu'ils soient nés au Maroc ou en
                        France, les ingénieurs d'origine marocaine sont les bienvenus chez
                        nous. Mais les écarts de salaire sont importants, et subsisteront »,
                        prévient Adil Douiri, le ministre de l'Artisanat et de l'Economie
                        sociale, venu porter la bonne parole de l 'offshore en France.

                        Un inconvénient qu'il convient néanmoins de relativiser. En France,
                        les ingénieurs marocains subissent encore souvent les discriminations,
                        et peinent à évoluer. Au Maroc, ce plafond de verre se transforme en
                        tapis rouge. Ils deviennent porteurs d'une connaissance indispensable.
                        Sans compter que, comme dans toute nouvelle activité, de nombreuses
                        places sont à prendre très rapidement.

                        Pour ce faire, les réseaux se multiplient. Dans la lignée de celui des
                        anciens élèves des Insa, se sont créés des réseaux particulièrement
                        opérationnels. A l'instar d'Académia, qui a pour cofondateur le
                        ministre Adil Douiri. Lequel milite depuis 1997 en faveur du retour au
                        Maroc des étudiants les plus brillants, notamment par le biais de
                        l'aide à l'insertion professionnelle. Tout un programme.

                        Des écoles d'ingénieurs à la qualité reconnue

                        Et ce n'est pas tout : chaque année, le Forum Rhône-Alpes accueille le
                        Carrefour maghrébin. Un salon de recrutement dédié aux entreprises
                        d'Afrique du Nord - et surtout marocaines -, en quête de profils de
                        haut niveau résidant en France. Une occasion à ne pas manquer - la
                        prochaine édition se tiendra les 7 et 8 mars prochains. « Nous avons
                        lancé cette rencontre pour les étudiants d'origine marocaine, dont une
                        grande partie souffre de discrimination en France. Le pays est en
                        pleine évolution, et de nombreuses opportunités leur sont offertes »,
                        affirme Yasmina Benchekroun, une étudiante de 21 ans, en quatrième
                        année de l'Insa Lyon et responsable de la communication du salon.

                        Le moment est donc opportun pour profiter de cette formidable
                        expansion. D'autant que la relève ne tardera pas à prendre le relais.
                        « C'est une grande chance pour moi de travailler dans une entreprise
                        française : j'y apprends la rigueur, les méthodes de travail, la
                        discipline, l'autonomie. Et nous voyons le client, qui se rend ici
                        tous les trois mois. » A 22 ans, le jeune Faris a été recruté par GFI
                        Maroc, l'été dernier, à la sortie de son école d'ingénieurs à Casa. Le
                        prestataire l'a invité à rejoindre sa première équipe offshore . Une
                        aubaine. Dans quelques mois, l'espace offshore de GFI comptera
                        plusieurs dizaines d'ingénieurs. Recrutés localement, cette fois,
                        puisque c'est le but de ces plates-formes.

                        Atout indéniable du Maroc sur le terrain de l'informatique : le pays
                        entretient depuis de nombreuses années une forte culture mathématique.
                        Ses ingénieurs sont réputés pour leurs fortes compétences. Ajoutons à
                        cela une motivation rare en Europe, et le cocktail produit des équipes
                        particulièrement efficaces. Reste tout de même une inconnue, et de
                        taille. Les prochaines élections marocaines, en juin 2007, risquent de
                        voir la tendance islamiste dominer... Qu'en sera-t-il alors de cette
                        prodigieuse ouverture ?
                        bOnNe rEfLeXiOn!!!

                        Commentaire


                        • #13
                          L'épouse du ROI est une ingénieure des NTIC
                          .
                          .
                          ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                          Napoléon III

                          Commentaire


                          • #14
                            Siemens Nixdorf (je sais pas si ils sont encore allemand ?).

                            C' est la boite la plus allemandes en Allemagne !
                            A propos, son Manager Von Pierer doit dans quelques jours annoncer sa demission suite a une immense affaire de detournement de fonds par des grarnds dirigeants du groupe. On parle des sommes superieurs a 500 millions Euro.

                            Commentaire


                            • #15
                              C' est la boite la plus allemandes en Allemagne !
                              A propos, son Manager Von Pierer doit dans quelques jours annoncer sa demission suite a une immense affaire de detournement de fonds par des grarnds dirigeants du groupe. On parle des sommes superieurs a 500 millions Euro.
                              Oh pas bon pour l'Allemagne je savais que des boîtes allemendes étaient en difficultés comme la branche portable de Siemens, Deutsche Telekom etc...

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X