Le Front pour la justice et le développement (FJD) d’Abdellah Djaballah estime que la conjoncture du pays, empreinte d’une crise sanitaire aiguë des suites de la pandémie de coronavirus, n’est pas propice à mettre en débat un projet aussi capital que celui de la révision de la première loi du pays.
Dans un communiqué rendu public hier, le parti que préside Abdallah Djaballah rejoint son compère de la mouvance islamiste, le MSP, en considérant que ce texte ne tranche pas la nature du régime que les constitutions passées ont imposé. Et de s’interroger sur les «arrière-pensées» et les «non-dits» de ce timing «inapproprié».
Le Front a mis en avant six axes politiques à l’effet d’éplucher cet avant-projet de révision constitutionnelle dont notamment sa conformité avec le Livre Saint et la sunna, la déclaration du 1er Novembre 1954 qui parle de l’instauration d’un État algérien démocratique et social dans le cadre des valeurs de l’Islam , en sus du respect du pouvoir des aspirations du peuple que le mouvement populaire du 22 février 2019 n’a cessé de proclamer plus d’une année durant, et la préservation de la souveraineté de l’État et son unité territoriale.
Aussi, le FJD n’a pas manqué de renouveler, à l’occasion, ses réserves quant au caractère technique limité de la composante du comité d’experts chargés d’élaborer cet avant-projet.
@ Réflexion - date : 16-05-2020 |
Dans un communiqué rendu public hier, le parti que préside Abdallah Djaballah rejoint son compère de la mouvance islamiste, le MSP, en considérant que ce texte ne tranche pas la nature du régime que les constitutions passées ont imposé. Et de s’interroger sur les «arrière-pensées» et les «non-dits» de ce timing «inapproprié».
Le Front a mis en avant six axes politiques à l’effet d’éplucher cet avant-projet de révision constitutionnelle dont notamment sa conformité avec le Livre Saint et la sunna, la déclaration du 1er Novembre 1954 qui parle de l’instauration d’un État algérien démocratique et social dans le cadre des valeurs de l’Islam , en sus du respect du pouvoir des aspirations du peuple que le mouvement populaire du 22 février 2019 n’a cessé de proclamer plus d’une année durant, et la préservation de la souveraineté de l’État et son unité territoriale.
Aussi, le FJD n’a pas manqué de renouveler, à l’occasion, ses réserves quant au caractère technique limité de la composante du comité d’experts chargés d’élaborer cet avant-projet.
@ Réflexion - date : 16-05-2020 |
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