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Le président égyptien Hosni Moubarak a estimé lundi "que les relations entre la France et l'Egypte à l'avenir ne changeront pas", malgré le départ de l'Elysée de Jacques Chirac.
"Sous le président Mitterrand, sous le président Chirac, les relations sont allées en s'améliorant entre nos deux pays", a-t-il rappelé à l'issue d'un déjeuner de travail avec le président français. Et "je pense qu'il sera très difficile que la politique française change au Proche et au Moyen-Orient". Pour le reste, "je ne dis pas au revoir à un ami", a-t-il dit au sujet de Jacques Chirac. "Je suis certain qu'il viendra nous rendre visite en Egypte".
Hosni Moubarak doit s'entretenir mardi matin avec Nicolas Sarkozy au palais de Marigny, selon l'entourage du candidat UMP.
De son côté, le président français s'est réjoui lundi "de cette nouvelle occasion de (...) poursuivre la concertation très étroite que la France et l'Egypte ont pris l'habitude de nourrir sur l'ensemble de ces questions", selon son porte-parole Jérôme Bonnafont.
Interrogé sur la proposition israélienne d'une conférence de paix régionale avec les pays arabes, le président égyptien a estimé qu'il "ne sera pas possible de normaliser les relations (avec Israël) avant que la paix ne s'instaure entre les pays arabes et Israël".
Sur la question des réfugiés en particulier, "on peut parvenir à une solution à travers les négociations, mais il n'est pas possible de normaliser, et ensuite d'entamer des pourparlers", a-t-il ajouté. Car "si les peuples de la région voient qu'il y a une normalisation alors qu'il y a encore des territoires qui sont occupés, là nous aurons vraiment de très graves problèmes".
Jacques Chirac a de son côté "confirmé que la France appuie le président de l'Autorité palestinienne et souhaite qu'une solution soit très rapidement trouvée à la question de l'aide aux populations". Selon M. Bonnafont, "c'est dans cet esprit" que Jacques Chirac recevra mardi à l'Elysée Mahmoud Abbas.
Jacques Chirac et Hosni Moubarak ont aussi évoqué la situation au Liban, alors que le Premier ministre libanais Fouad Siniora a écrit au secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon pour approuver la création d'un tribunal international chargé de juger les meurtriers présumés de l'ancien chef du gouvernement Rafic Hariri.
Le président français a jugé "nécessaire maintenant que l'ONU réagisse à la lettre du Premier ministre Siniora", selon son porte-parole. Il a souligné "le caractère capital de l'établissement du tribunal à caractère international, pour des raisons de justice et pour des raisons de dissuasion" et "exprimé l'espoir que la situation puisse évoluer rapidement sur ce point".
Par Reuters
"Sous le président Mitterrand, sous le président Chirac, les relations sont allées en s'améliorant entre nos deux pays", a-t-il rappelé à l'issue d'un déjeuner de travail avec le président français. Et "je pense qu'il sera très difficile que la politique française change au Proche et au Moyen-Orient". Pour le reste, "je ne dis pas au revoir à un ami", a-t-il dit au sujet de Jacques Chirac. "Je suis certain qu'il viendra nous rendre visite en Egypte".
Hosni Moubarak doit s'entretenir mardi matin avec Nicolas Sarkozy au palais de Marigny, selon l'entourage du candidat UMP.
De son côté, le président français s'est réjoui lundi "de cette nouvelle occasion de (...) poursuivre la concertation très étroite que la France et l'Egypte ont pris l'habitude de nourrir sur l'ensemble de ces questions", selon son porte-parole Jérôme Bonnafont.
Interrogé sur la proposition israélienne d'une conférence de paix régionale avec les pays arabes, le président égyptien a estimé qu'il "ne sera pas possible de normaliser les relations (avec Israël) avant que la paix ne s'instaure entre les pays arabes et Israël".
Sur la question des réfugiés en particulier, "on peut parvenir à une solution à travers les négociations, mais il n'est pas possible de normaliser, et ensuite d'entamer des pourparlers", a-t-il ajouté. Car "si les peuples de la région voient qu'il y a une normalisation alors qu'il y a encore des territoires qui sont occupés, là nous aurons vraiment de très graves problèmes".
Jacques Chirac a de son côté "confirmé que la France appuie le président de l'Autorité palestinienne et souhaite qu'une solution soit très rapidement trouvée à la question de l'aide aux populations". Selon M. Bonnafont, "c'est dans cet esprit" que Jacques Chirac recevra mardi à l'Elysée Mahmoud Abbas.
Jacques Chirac et Hosni Moubarak ont aussi évoqué la situation au Liban, alors que le Premier ministre libanais Fouad Siniora a écrit au secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon pour approuver la création d'un tribunal international chargé de juger les meurtriers présumés de l'ancien chef du gouvernement Rafic Hariri.
Le président français a jugé "nécessaire maintenant que l'ONU réagisse à la lettre du Premier ministre Siniora", selon son porte-parole. Il a souligné "le caractère capital de l'établissement du tribunal à caractère international, pour des raisons de justice et pour des raisons de dissuasion" et "exprimé l'espoir que la situation puisse évoluer rapidement sur ce point".
Par Reuters
ON appel ces gens des copurtois de l oncle sam, lui, le petit roi de jordanie et le roi des saouds, veulent parler aux noms des palestiniens et des autres, qu elle est cette strategie d occulter les interesses et devenir leurs parrains du jour au lendemain.
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