Par Khaled Alouache- 22 mai 20200
Dans un entretien au quotidien “El Hiwar”, le ministre de l’Industrie et des Mines, Ferhat Ait Ali Braham, a déclaré que le gouvernement “n’a pas abandonné l’industrie automobile”.
Dans un entretien au quotidien arabophone “El-Hiwar“, le ministre de l’Industrie et des Mines a expliqué que les nouvelles mesures et procédures incluses dans la Loi de Finances Complémentaire de 2020 supprimant le régime préférentiel et adoptant le retour à l’importation “ne signifient pas que le gouvernement abandonne l’industrie automobile mais plutôt le contraire, ces mesures sont les premières étapes stratégiques de la création d’une véritable industrie à l’avenir”.
Pour le ministre de l’industrie, la “priorité de l’État est de mettre en place une batterie de nouvelles règles solides qui créeront de véritables industries dans plusieurs domaines, selon des critères et un cahier des charges qui servent l’intérêt de l’économie nationale et profitent au Trésor public”. Ait Ali a révélé que le cahier des charges en préparation “comprend les détails les plus précis concernant cette activité, afin d’établir une véritable industrie automobile”, soulignant que les comités ministériels concernés travaillant à sa préparation “ont pris en compte le moindre détail afin de combler les lacunes constatées précédemment et éviter que les erreurs du passé ne se reproduisent”, avant d’ajouter que “ce cahier des charges ne permettra à aucun investisseur de postuler si les conditions et les critères spécifiques ne sont pas remplis. Aussi, ceux qui souhaitent se lancer dans de vrais projets de production de véhicules doivent apporter de l’argent et des preuves palpables d’un taux d’intégration dès la première phase”.
Industrie automobile : De nouvelles usines en perspective ?
Pour rappel, le Projet de Loi de Finances Complémentaire 2020 comprend un nouveau régime préférentiel qui exclut les collections destinées à l’industrie de l’assemblage et montage automobiles (CKD) visant à relancer les industries mécanique, électronique et électrique, à travers des exonérations fiscales et l’exemption des droits de douane.
Dans un entretien au quotidien “El Hiwar”, le ministre de l’Industrie et des Mines, Ferhat Ait Ali Braham, a déclaré que le gouvernement “n’a pas abandonné l’industrie automobile”.
Dans un entretien au quotidien arabophone “El-Hiwar“, le ministre de l’Industrie et des Mines a expliqué que les nouvelles mesures et procédures incluses dans la Loi de Finances Complémentaire de 2020 supprimant le régime préférentiel et adoptant le retour à l’importation “ne signifient pas que le gouvernement abandonne l’industrie automobile mais plutôt le contraire, ces mesures sont les premières étapes stratégiques de la création d’une véritable industrie à l’avenir”.
Pour le ministre de l’industrie, la “priorité de l’État est de mettre en place une batterie de nouvelles règles solides qui créeront de véritables industries dans plusieurs domaines, selon des critères et un cahier des charges qui servent l’intérêt de l’économie nationale et profitent au Trésor public”. Ait Ali a révélé que le cahier des charges en préparation “comprend les détails les plus précis concernant cette activité, afin d’établir une véritable industrie automobile”, soulignant que les comités ministériels concernés travaillant à sa préparation “ont pris en compte le moindre détail afin de combler les lacunes constatées précédemment et éviter que les erreurs du passé ne se reproduisent”, avant d’ajouter que “ce cahier des charges ne permettra à aucun investisseur de postuler si les conditions et les critères spécifiques ne sont pas remplis. Aussi, ceux qui souhaitent se lancer dans de vrais projets de production de véhicules doivent apporter de l’argent et des preuves palpables d’un taux d’intégration dès la première phase”.
Industrie automobile : De nouvelles usines en perspective ?
Pour rappel, le Projet de Loi de Finances Complémentaire 2020 comprend un nouveau régime préférentiel qui exclut les collections destinées à l’industrie de l’assemblage et montage automobiles (CKD) visant à relancer les industries mécanique, électronique et électrique, à travers des exonérations fiscales et l’exemption des droits de douane.
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