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Brahim ghali s’écrit un message à lui-même et l’attribue au président mauritanien

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  • Brahim ghali s’écrit un message à lui-même et l’attribue au président mauritanien

    Le président mauritanien, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a félicité vendredi soir certains chefs d’Etat dont les pays ont fêté l’Aïd El Fitr, samedi 23 mai. La direction du Polisario en a profité pour demander à ses médias de lui tisser un mensonge de félicitations depuis Nouakchott. Amateurisme.

    Ould Oumeirould Beye, ke directeur général de l’Agence mauritanienne de presse (AMI-officielle), a sûrement passé un mauvais quart d’heure samedi matin, jour de fête en Mauritanie. Une activité présidentielle aurait-elle échappé à la vigilance de l’agence officielle d’Etat qu’il dirige, pour avoir la primeur d'être publiée sur un site du Polisario?



    En effet, un article paru dans les colonnes d’un site séparatiste le samedi 23 mai à 10h40 nous apprend que «Brahim Ghali a reçu un message de félicitations de son homologue mauritanien». A quelle occasion? Dans le texte qui suit, il est précisé que ce message intervient à l’occasion de l’Aïd El Fitr. Sauf que la date dudit message est intrigante, puisque Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani aurait envoyé ce prétendu message à Brahim Ghali dès le 22 Ramadan (15 mai), c’est-à-dire une semaine avant la fête d’El Fitr!



    En rembobinant la rubrique «Activités présidentielles» de l’Agence mauritanienne de presse (AMI-officielle), où sont consignés tous les gestes et faits de Ould El Ghazouani à travers textes, images et vidéos, cette infox pondue par le Polisario ne résiste pas au recoupement le plus élémentaire.



    Depuis le début de cette année 2020, et jusqu’au moment où ces lignes ont été écrites ce dimanche 24 mai, pas la moindre trace d’un seul message de Ould El Ghazouani à Brahim Ghali.



    De quoi s’agit-il au juste? Rien de moins qu’un tissu de mensonges confectionné par le média du Polisario à des fins de propagande.

    Le Polisario s’en prend à nouveau au président mauritanien


    Même dans les derniers numéros des quotidiens mauritaniens gouvernementaux, Chaab (en arabe) et son alter ego Horizons (en français), édités en PDF par l’AMI, on ne trouve pas un traître mot de ce message fantomatique.



    Il faut dire que ce n’est pas la première fois que les médias de Brahim Ghali agissent de la sorte. Dans la longue liste de leurs mensonges, leur précédent forfait du genre remonte à pas plus loin que le mois d’avril dernier. Suite au décès du dirigeant du Polisario M’hamed Khadad, un message de condoléances adressé à Brahim Ghali a été faussement attribué au président mauritanien. Mais sachant que les officiels mauritaniens ne perdent jamais leur temps à démentir ces ragots, le Polisario continue à en faire un outil fréquent de propagande. Pour exister.



    Il n’y rien d’étonnant à ce que les médias du Polisario fassent du mensonge et de la propagande leur pain favori. Ils ont été formés à une grande école de désinformation: l’agence d’Etat officielle de l’Algérie.

  • #2
    Propagande

    Fakou, tu fais la propagande pour nous faire avaler la Maro---- du sahara. Heureusement qu'il y a un peuple et le Polisario qui va vous boter le derriere pour vous deguerper du sahara.

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    • #3
      fan

      le sujet concerne la supercherie du polisario.

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      • #4
        Tout en rappelant que Nouakchott reconnaît la «RASD» depuis 1984, il a défendu la «neutralité positive» observée par la Mauritanie vis-à-vis du différend territorial «eu égard des relations entre les différentes parties, de la sensibilité du dossier et de l'importance de la solution pour l'État mauritanien». Le président a insisté, par ailleurs, sur la «complexité du dossier».Tout en rappelant que Nouakchott reconnaît la «RASD» depuis 1984, il a défendu la «neutralité positive» observée par la Mauritanie vis-à-vis du différend territorial «eu égard des relations entre les différentes parties, de la sensibilité du dossier et de l'importance de la solution pour l'État mauritanien». Le président a insisté, par ailleurs, sur la «complexité du dossier».
        Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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