Malgré la décision de l’Organisation mondiale de la santé OMS de suspendre « temporairement » les essais cliniques de la chloroquine, l’Algérie ne compte pas renoncer au protocole thérapeutique basé sur cette molécule.
Dans une déclaration à l’AFP, le docteur Mohamed Bekkat, membre du comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie de Covid-19 a indiqué que l’Algérie « a traité des milliers de cas avec ce médicament avec beaucoup de succès à ce jour. Et nous n’avons pas noté de réactions indésirables ». précisant que les autorités sanitaires n’ont « enregistré aucun décès lié à l’utilisation de la chloroquine ».
Dr Bekkat Berkani considère que cette étude « prête à confusion ». Elle semble, selon lui, « concerner des cas graves pour lesquels l’hydroxychloroquine n’est d’aucun secours ». Il explique en outre, « qu’il y a lieu de constater que l’utilisation de la chloroquine par des pays arabes et africains s’est révélé efficace quand elle est utilisée précocement ».
Dans une déclaration à l’AFP, le docteur Mohamed Bekkat, membre du comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie de Covid-19 a indiqué que l’Algérie « a traité des milliers de cas avec ce médicament avec beaucoup de succès à ce jour. Et nous n’avons pas noté de réactions indésirables ». précisant que les autorités sanitaires n’ont « enregistré aucun décès lié à l’utilisation de la chloroquine ».
Dr Bekkat Berkani considère que cette étude « prête à confusion ». Elle semble, selon lui, « concerner des cas graves pour lesquels l’hydroxychloroquine n’est d’aucun secours ». Il explique en outre, « qu’il y a lieu de constater que l’utilisation de la chloroquine par des pays arabes et africains s’est révélé efficace quand elle est utilisée précocement ».
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