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L’ancien Premier ministre Abderrahmane Youssoufi n’est plus

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  • L’ancien Premier ministre Abderrahmane Youssoufi n’est plus

    Condoléances à sa famille.

    - Le Premier ministre qui aura mené le gouvernement d’alternance, Abderrahmane Youssoufi, s’est éteint ce vendredi matin à l’âge de 96 ans, des suites d’une longue maladie.

    Avocat, militant des droits humains, ancien opposant dans les années 1970, ce natif de Tanger aura marqué l’histoire du Maroc par ses prises de position en faveur d’une transition démocratique, au sein des deux gouvernements qu’il aura guidés.

    Premier secrétraire de l’Union socialiste des forces populaires (USFP), Driss Lachgar a annoncé ce décès via ses réseaux sociaux, où il a par ailleurs présenté ses condoléances à la famille politique du défunt ainsi qu’aux Marocains.

    Il a par ailleurs rappelé qu’Abderrahmane Youssoufi a été, avant cela, «un grand moujahid nationaliste» en allusion à son action son le Protectorat français-.

    Ya...bi

  • #2
    Allaho akbar, lahi rahmo

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    • #3
      Rabi yarahmou ! paix à son âme !
      L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

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      • #4
        Abderrahmane el-Youssoufi est un grand politicien.
        "inna li Allahi wa inna ilayhi raaji'un"
        Amin
        Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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        • #5
          ina li lah wa2ina ilayhi raji3oun

          une époque se referme derrière lui.
          Droite des Valeurs
          Gauche du Travail
          Centre "Intérêt de Mon Pays"

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          • #6
            Espérons qu'une délégation algérienne se rendra au Maroc pour rendre hommage à ce grand Monsieur qui s'était exilé en Algérie pendant un certain temps.

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            • #7
              الله اكبر ان لله وان اليه راجعون. ربي يرحمو ا.
              If you want to go fast go alone, if you want to go far go together....
              You have to have a dream so you can get up in the morning....

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              • #8
                http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=365307

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                • #9
                  M. Youssoufi avait fait partie des plus illustres Marocains de tous les temps et dont Moumen Diouri entre autres.

                  - L’histoire de Moumen Diouri, compagnon de lutte de Cheikh El Arab, et camarade de Mehdi Ben Barka, a commencé en juin 1963 car il a été arrêté lors du premier “faux complot” imputé par le régime à l’UNFP (Union nationale des forces populaires). Des dizaines de militants sont pris dans cette rafle massive. Parmi eux, un certain Abderrahmane Youssoufi et Ahmed Benjelloun, actuel secrétaire général du Parti de l’avant-garde démocratique et socialiste.

                  Moumen Diouri est condamné à mort en mars 1965 pour complot contre la monarchie. Cette année avait vu l’explosion de la première insurrection casablancaise, réprimée dans le sang. Moumen Diouri précise : « Un millier de morts dans Casablanca seule ».

                  C’est grâce à l’amnistie prononcée en avril 1965 et qui bénéficiait aux émeutiers casablancais qu’il sera libéré : « Cette amnistie, contrairement à celle dont ont bénéficié les collaborateurs acoquinés avec le Pacha Thami El Glaoui ou le sultan potiche, Mohamed Ben Arafa, n’a pas été publiée au Journal officiel ». Ici commence une parenthèse assez floue dans la vie de Moumen Diouri, qui reste lui-même discret sur ces années 1965-1971. Il a certainement bourlingué, car on le voit mal se convertir à l’inaction.

                  On ne le retrouvera donc « officiellement » qu’en 1971, en France. Moumen Diouri, qui publie brûlot après brûlot contre la monarchie et le roi Hassan II, entre définitivement dans la peau de l’opposant irréductible qui ne cessera jamais d’activer. D’abord sous la bannière de l’UNFP, puis de l’Option révolutionnaire et même sous des couleurs insolites, celles de l’islamisme. Toutefois, Moumen Diouri restera toujours une espèce de franc-tireur, un exilé atypique. Il écrit, par exemple, cela est une lutte individuelle-.

                  Ya...bi

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