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Après l’identification de Merouane Boudina, 28 ans, alias Mouâad Ben Jabal, vendeur à la sauvette du quartier de Bach Djarrah, un des kamikazes impliqué dans les attentats meurtriers du mercredi dernier ayant ciblés le palais du gouvernement, les services de sécurités auraient entrepris des investigations auprès des la famille du second kamikaze, Chahab Mouloud, Alias, El Hussein, qui serait originaire selon, les informations distillées, hier, par notre confrère arabophone, Echrrouk El Youmi, de Téleémly, alors que son frère jumeau se trouve actuellement en prison pour agression sexuelle sur un mineur. La police avance qu’il a disparu depuis le 25 août 1994, et ce, après sa sortie de prison. La maman du kamikaze, âgé de 85 ans, affirmait au même journal, que son fils, membre d’une famille de 5 enfants, est toujours en fuite après avoir fait un séjour pénitencier aux prisons de Berouaguia, Serkadji et Ouargla. Il a été emprisonné pour des délits de droit commun à savoir, la consommation et le trafic de la drogue, ajoute le quotidien.
Dans la maison familiale trônait une photo, annoté de la date de la disparition de celui par qui l’horreur arriva le 11 avril. Interrogé par la journaliste, la vieille maman du kamikaze s’est refusé de s’étaler sur les explosions ayant secoué le cœur de la capitale, en proclamant l’innocence de son fils. " Certes, Il est pratiquant, mais il est loin d’être fanatique ", raconte sa mère.
Par ailleurs, les investigations des services de la police ont révélé que la voiture, dont les papiers n’ont pas été encore régularisé, utilisé pour faire exploser le commissariat de la police de Bab Ezzouar, dans la banlieue Est de la capitale, aurait été acheté par une personne qui habitait le même quartier duquel est issu le kamikaze El Hussein. Le même quotidien arabophone souligne que l’enquête suit son cours pour tenter de récolter le plus d’informations possibles qui pourraient remonter la piste des trois kamikazes ayants mis la capitale à feu et à sang, un certain mercredi noir.
Par La Dépêche de Kabylie
Dans la maison familiale trônait une photo, annoté de la date de la disparition de celui par qui l’horreur arriva le 11 avril. Interrogé par la journaliste, la vieille maman du kamikaze s’est refusé de s’étaler sur les explosions ayant secoué le cœur de la capitale, en proclamant l’innocence de son fils. " Certes, Il est pratiquant, mais il est loin d’être fanatique ", raconte sa mère.
Par ailleurs, les investigations des services de la police ont révélé que la voiture, dont les papiers n’ont pas été encore régularisé, utilisé pour faire exploser le commissariat de la police de Bab Ezzouar, dans la banlieue Est de la capitale, aurait été acheté par une personne qui habitait le même quartier duquel est issu le kamikaze El Hussein. Le même quotidien arabophone souligne que l’enquête suit son cours pour tenter de récolter le plus d’informations possibles qui pourraient remonter la piste des trois kamikazes ayants mis la capitale à feu et à sang, un certain mercredi noir.
Par La Dépêche de Kabylie
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