Sibel Can - Kanasın

[katiaret]

Qu'elle saigne

C'est la combientième saison?
C'est le combientième printemps?
Que signifie ce sourire faux
N'as-tu pas le courage de me regarder dans les yeux
Ou bien y'a-t-il quelque chose que tu me caches?

C'est la combientième saison?
C'est le combientième printemps?
Que signifie ce sourire faux
N'as-tu pas le courage de me regarder dans les yeux
Ou bien y'a-t-il quelque chose que tu ne me dis pas?

Je suis une mariée sans péché
Toi, un faux amant
Je ne croirais plus en tes mots infidèles
C'est le combientième adieu et la combientième fausse séparation
Même si tu le veux, même si tu dis viens
Je n'ai plus la force pour ça

Qu'elle saigne, qu'elle saigne
Que ma plaie saigne
Si c'est mon destin d'aimer ainsi
Laissez ma mère pleurer

Je n'ai plus la force d'endurer cela
J'ai aimé mais n'étais pas aimée
Passer des nuits sans toi
Qui peut me comprendre
Qu'elle saigne, qu'elle saigne
Laissez ma mère pleurer

[katiaret]

sibel can berivan

Ma Berivan

Comme une rose au sommet d'une montagne
Ma pauvre malheureuse
Qui plante des épines dans mon coeur chagrin

Une fois me suis-je consacré à elle
Je me suis oublié moi-même
Je me suis brûlé avec ton amour, il m'a réduit en cendres. (2x)

Berivan, ma Berivan, ma pauvre gazelle
Berivan, ma Berivan, ma gazelle qui sent bon la campagne

Ma Berivan, ma fleur des montagnes
Un jour, je reviendrai vers toi
Je surmonterai les coutumes de la tribu pour toi

Une fois me suis-je consacré à elle
Je me suis oublié moi-même
Je me suis brûlé avec ton amour, il m'a réduit en cendres. (2x)

Berivan, ma Berivan, ma pauvre gazelle
Berivan, ma Berivan, ma gazelle qui sent bon la campagne

[katiaret]

Sibel Can - Eloğlu

L'étranger

Il a dix doigts noirs
N'est-ce pas l'étranger* qui laisse ostensible
De toute manière tes affaires ne tournent pas bien
Même si tu t'étonnes, ce n'est pas mon ombre même si j'ai mes soupires

Mes malheurs ne diminuent pas, ne s'accroissent pas
Les années passent avec ce que je fais
Nous sommes à la merci seulement de Dieu
J'ai cru que j'étais à ta merci ahh ma tête

De ma mère, de mon père, de la vie que je connais
j'y suis passée pour être avec toi
Puisse-t-il se faire sans consentement, puisse-t-il se vouloir de manière licite ?
Ce n'est pas une chose à faire même à l’ennemie
De ma mère, de mon père, de la vie que je connais
j'y suis passée pour être avec toi

Ni moi je n'étais quelque chose cette chose appelée amour
Il m'a rendu cendre à cet étranger (mari)
Les vies peuvent s'accrocher dans des lieux que l'on ne connait pas
La vie passe comme ça
Une des extrémités du fil est toujours à l'amour
Et quand il se casse tu restes accroché aux rêves

Mes malheurs ne diminuent pas, ne s'accroissent pas
Les années passent avec ce que je fais
Nous sommes à la merci seulement de Dieu
J'ai cru que j'étais à ta merci ahh ma tête

De ma mère, de mon père, de la vie que je connais
j'y suis passée pour être avec toi
Puisse-t-il se faire sans consentement, puisse-t-il se vouloir de manière licite ?
Ce n'est pas une chose à faire même à l’ennemie
De ma mère, de mon père, de la vie que je connais
j'y suis passée pour être avec toi

Ni moi je n'étais quelque chose cette chose appelée amour
Il m'a rendu cendre à cet étranger (mari)

De ma mère, de mon père, de la vie que je connais
j'y suis passée pour être avec toi
Puisse-t-il se faire sans consentement, puisse-t-il se vouloir de manière licite ?
Ce n'est pas une chose à faire même à l’ennemie