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Ils ont répondu par la calomnie et l’invective au livre-enquête de Bensaâda Les valets des officines étrangères aux abo

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  • Ils ont répondu par la calomnie et l’invective au livre-enquête de Bensaâda Les valets des officines étrangères aux abo

    Les noms cités dans le livre-enquête du docteur Ahmed Bensaâda sont avérés, les documents sont têtus, mais lesdites personnes citées jouent le jeu de brouillamini savamment entretenu pour fuir la véritable question de leur implication dans une nébuleuse à la solde des agendas étrangers.

    Le livre-enquête du docteur Ahmed Bensaâda «Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak algérien?», ne cesse de susciter la polémique et des débats contradictoires. Un signe d'engouement et une ruée sans précédent vers un livre qui fait l'événement et qui s'impose comme actualité cruciale de par ce qu'il charrie comme documents et révélations saillantes sur une cohorte de gens qui se sont «autoproclamés» comme les «dépositaires» de la volonté populaire du Hirak. Le mérite du livre-enquête du docteur Ahmed Bensaâda, c'est qu'il vient à point nommé, c'est-à-dire dans un contexte où les énoncés et les connotations politiques inhérents au processus en cours que traverse le pays ont été pervertis par certaines nébuleuses dont l'objectif est de faire dans les trouble-fêtes et accélérer la cadence de l'imposture en guise de dénaturer le processus politique et le dévier de sa trajectoire.
    Ahmed Bensaâda a écrit un livre, le mérite lui revient de droit étant donné qu'il apporte une contribution aussi manifeste qu'importante dans une situation teintée de tiraillements et d'ambivalences profonds au sein de la classe politique et de la société civile a propos d'un Mouvement populaire qui a imposé sa réalité politique à travers son élan salvateur et salutaire un certain 22 février 2019.
    Mais ledit processus n'est pas uniforme ni unilatéral, il est l'objet de tiraillements et «manipulations» sur fond d'une approche idéologique qui ne veut pas afficher son nom ni ses objectifs. Mais sur le terrain les choses sont claires comme de l'eau limpide. D'ailleurs, le mérite du livre-enquête du docteur Ahmed Bensaâda réside à ce niveau de la démarcation intellectuelle, en approchant la problématique de l'élan populaire du 22 février 2019 en le disséquant et en l'analysant dans la perspective de comprendre sa genèse et aussi son évolution et ses contradictions à la fois.
    Le travail du docteur Bensaâda a provoqué des réactions qui sont dans certains cas épidermiques de la part de certaines «confréries» et «castes» qui se dissimulent derrière le Mouvement populaire dont les visées et les objectifs sont aux antipodes de l'esprit et de la démarche initiale dudit Mouvement populaire. Bensaâda n'a fait que son travail de recherche en sa qualité d'académicien, il a abordé la problématique de financement de certaines ONG et nébuleuses. Mais ce travail est loin de faire dans l'amateurisme et le vindicatif saugrenu et puéril. Le livre ne s'attaque pas aux personnes, il dresse un tableau rigoureux d'une nébuleuse aux ramifications supranationales avérées. Les documents attestent on ne peut plus clairement en la matière.
    Les voix haineuses et pétries de nuisance à l'égard du pays et les solutions dans le cadre de la souveraineté nationale, n'ont pas eu le courage de répondre au livre-enquête du docteur Bensaâda. Elles ont préféré se murer dans un silence des hyènes en mal de proie et ne pas répondre quant à leur implication dans des organismes financés par la CIA et autres succédanés aux multiples appellations et connotations.
    Les noms cités dans le livre-enquête du docteur Ahmed Bensaâda sont avérés, les documents sont têtus, mais lesdites personnes citées jouent le jeu de brouillamini savamment entretenu pour fuir la véritable question de leur implication dans une nébuleuse à la solde des agendas étrangers. Le paradoxe est grand quand on s'aperçoit que le sociologue et professeur de surcroît, Lahouari Addi, qui est cité dans le livre-enquête de Bensaâda, ne fait pas recours à une réponse académique et dans le cadre d'une approche de recherche assumée et sans ambages comme celle du docteur Bensaâda. Ce professeur en sociologie qui a travaillé pour la NED pendant des années, n'a trouvé que le mot «doubab» comme réponse hautement «académique», c'est le summum de la «régression féconde» de Lahouari Addi qui fuit les réponses quant à son implication mordicus dans les officines américaines dont les visées consistent en la destruction des Etats-nations. L'histoire est là pour nous renseigner sur les tenants et les aboutissants de ces officines impérialo-colonialistes. Le pays aura beaucoup à gagner si les protagonistes de la scène politique nationale lancent des échanges et des débats contradictoires, mais sur la base des arguments solides et fondés et non pas en recourant à la calomnie et à l'invective.
    Aucun des noms cités dans le livre-enquête de Ahmed Bensaâda n'a osé répondre sur ses accointances avec les nébuleuses et les officines étrangères. Ce qui explique que le livre les a terrassés et réduit à leur juste valeur d'instruments au service des organismes étrangers. Advienne que pourra! L'Expression

  • #2
    Dès le début le slogan "yetnahaw gaa" m'avait intrigué. De là, j'ai soupçonné une manipulation. Le livre-enquête de Bensaada vient de mettre les choses au point.

    Après la destruction de l'Iraq, de la Syrie et de la Libye, les américano-sionistes veulent
    détruire l'Algérie à travers le détournement du hirak.

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    • #3
      J'adore le journalisme algérien, insinuation sur insinuation et jamais l'ombre d'une source ni d'une preuve.

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