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Bar de Sevran prétendument interdit aux femmes : Pujadas et Ernotte seront jugés pour diffamation 21/06/2020

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  • Bar de Sevran prétendument interdit aux femmes : Pujadas et Ernotte seront jugés pour diffamation 21/06/2020

    salam

    Un reportage de 2016, diffusé dans le 20 Heures de David Pujadas et qui affirmait que les femmes n’étaient pas les bienvenues dans un bar de Sevran, avait créé la polémique.

    Trois ans après un reportage assurant que les femmes étaient « indésirables » dans un bar de Sevran, quatre personnes dont la présidente de France Télévisions et le présentateur du journal de France 2, sont renvoyées en procès pour diffamation, selon une ordonnance rendue le 3 juin.

    Amar Salhi, le patron du Jockey Club de Sevran (Seine-Saint-Denis), avait déposé plainte pour diffamation en raison de la race et de l'origine contre la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, le présentateur du journal, David Pujadas, la journaliste autrice du reportage, Caroline Sinz, et la militante Nadia Remadna, qui avait filmé en caméra cachée des clients de son établissement.

    Tous les quatre ont été mis en examen et renvoyés devant le tribunal correctionnel de Paris. En matière de diffamation, la mise en examen est quasi automatique et les débats de fond se déroulent à l'audience.
    Le sujet avait été repris à l'étranger

    Le 7 décembre 2016, France 2 avait diffusé au JT de 20 heures un reportage dans lequel deux militantes féministes de la Brigade des mères se rendaient en caméra cachée dans ce bar-PMU, pour dénoncer les lieux publics où les femmes seraient « indésirables ».

    « Dans ce café il n'y a pas de mixité », « On est à Sevran, pas à Paris […]. Ici, c'est une mentalité différente, c'est comme au bled », leur assènent des clients. « Aller dans un bar, ici, c'est braver un interdit pour une femme », dit la voix off.

    Le sujet agite très vite les réseaux sociaux, où certains érigent le lieu en symbole de la mainmise supposée des islamistes sur les banlieues. Les caméras du monde entier se succèdent devant ce café français supposément « interdit » aux femmes.
    Le patron du bar veut «retrouver son honneur»

    Dans les semaines qui suivent, plusieurs médias publient toutefois des contre-enquêtes montrant que les femmes ne sont pas plus bannies du Jockey Club que les jeux d'argent ou l'alcool.

    Sollicité, le groupe France Télévisions a indiqué ne « pas faire de commentaires car la procédure est en cours ». Pour Me Farid Bouzidi, l'avocat du patron du bar, ce reportage est « une supercherie », « un reportage en caméra caché pour dénoncer des faits que l'on savait faux ». « La journaliste de France 2 n'est jamais allée sur place », dénonce-t-il.

    leparisien

  • #2
    salam

    la betise et l'ignorance à son paroxysme : un BAR PMU SALAFISTE

    celle là même dans un journal satirique, elle ne serait pas passée

    Commentaire

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