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Cheikh Adda Bentounès « Le maitre soufi » film biographique HD
Un film biographique relatant la vie du Cheikh Hadj Adda Bentounès, né en octobre 1898 à Tigditt, faubourg de la ville de Mostaganem.
L'enfant se fit remarquer dès son enfance par une spiritualité ardente. En effet, très jeune, il ne ratait aucun rappel spirituel (moudakara) du Cheikh al-Alawi. Alors qu'il n'avait pas encore atteint ses vingt ans, il devint l’un des plus sincères disciples, jouissant désormais de la confiance absolue de son maitre.
Apres la mort du Cheikh al-Alawi, Cheikh Adda Bentounès le succéda à la tête de la zaouïa de Mostaganem et devient le nouveau maître spirituel de la confrérie Alâwiyya Darqâwiyya Châdhiliyya.
A partir de 1934 et jusqu’à son décès en 1952, il prit sérieusement ses responsabilités et géra les affaires de la zaouïa avec fermeté, perpétuant l’enseignement spirituel de son maitre avec une fidélité totale. Les nouveaux disciples occidentaux n’ont jamais été aussi nombreux qu’à partir de son époque et cela allait se poursuivre jusqu’à aujourd’hui.
Mais depuis longtemps le Cheikh Adda était miné par le diabète et des difficultés de toutes nature et en particulier lors de la 2ème guerre mondiale, et les longues tournées à travers le pays finirent par l'épuiser.
Ses livres nous révèlent une autre facette de sa personnalité, un maître spirituel attentif aux préoccupations et aux problèmes de son époque comme c’était le cas de son maitre Cheikh al-Alawi. Ecrivain et poète, il laissa plusieurs livres et notamment un Diwan (recueil de poésie).
À peine âgé de 54 ans, le Cheikh Adda Bentounès décéda à la zaouïa de Mostaganem le vendredi 4 juillet 1952.
Je demande à tous les fouqaras et faqirates de me pardonner si j’ai failli dans cette tache ô combien difficile, comme l’a si bien mentionnée son arrière petit fils, notre Cheikh Khaled Bentounès : « Présenter le Cheikh Hadj ‘Adda Bentounès et son œuvre n’est pas une entreprise aisée. Sa fidélité et sa proximité avec son maître, le Cheikh Ahmed Al-Alawi, jusqu’à ses derniers instants ont façonné, poli et pacifié son âme. Il est devenu un cristal pur, aux multiples facettes dont chacune brillait d’un éclat singulier. »
L'enfant se fit remarquer dès son enfance par une spiritualité ardente. En effet, très jeune, il ne ratait aucun rappel spirituel (moudakara) du Cheikh al-Alawi. Alors qu'il n'avait pas encore atteint ses vingt ans, il devint l’un des plus sincères disciples, jouissant désormais de la confiance absolue de son maitre.
Apres la mort du Cheikh al-Alawi, Cheikh Adda Bentounès le succéda à la tête de la zaouïa de Mostaganem et devient le nouveau maître spirituel de la confrérie Alâwiyya Darqâwiyya Châdhiliyya.
A partir de 1934 et jusqu’à son décès en 1952, il prit sérieusement ses responsabilités et géra les affaires de la zaouïa avec fermeté, perpétuant l’enseignement spirituel de son maitre avec une fidélité totale. Les nouveaux disciples occidentaux n’ont jamais été aussi nombreux qu’à partir de son époque et cela allait se poursuivre jusqu’à aujourd’hui.
Mais depuis longtemps le Cheikh Adda était miné par le diabète et des difficultés de toutes nature et en particulier lors de la 2ème guerre mondiale, et les longues tournées à travers le pays finirent par l'épuiser.
Ses livres nous révèlent une autre facette de sa personnalité, un maître spirituel attentif aux préoccupations et aux problèmes de son époque comme c’était le cas de son maitre Cheikh al-Alawi. Ecrivain et poète, il laissa plusieurs livres et notamment un Diwan (recueil de poésie).
À peine âgé de 54 ans, le Cheikh Adda Bentounès décéda à la zaouïa de Mostaganem le vendredi 4 juillet 1952.
Je demande à tous les fouqaras et faqirates de me pardonner si j’ai failli dans cette tache ô combien difficile, comme l’a si bien mentionnée son arrière petit fils, notre Cheikh Khaled Bentounès : « Présenter le Cheikh Hadj ‘Adda Bentounès et son œuvre n’est pas une entreprise aisée. Sa fidélité et sa proximité avec son maître, le Cheikh Ahmed Al-Alawi, jusqu’à ses derniers instants ont façonné, poli et pacifié son âme. Il est devenu un cristal pur, aux multiples facettes dont chacune brillait d’un éclat singulier. »
La pratique de l’invocation dans le soufisme se fonde sur de nombreux versets coraniques et paroles prophétiques. Ce petit ouvrage du cheikh Adda Bentounès est une lettre didactique visant à expliciter les fondements traditionnels et scripturaires de la pratique soufie de l‘invocation, face aux attaques dont elle faisait l‘objet de la part des salafistes de l‘époque. Cette lettre est suivie d’une autre, destinée à des disciples de Jérusalem, plus centrée sur les fondements de la voie spirituelle de la confrérie. Adda Bentounès (1898-1952), successeur du cheikh al-‘Alawî à la tête de la confrérie Alawiyya de Mostaganem, nous explique dans cet ouvrage l’importance, le but et les fondements de la pratique de l’invocation dans le soufisme.
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