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Si nous étions tous parèilS.
Et que pas de place à la différence.
Y'aurait-il un médecin?
Y'aurait-il un Vizir?
Y'aurait-il:
Un qui cultive le raisin, un le blé
Un le riz et un le zéphir(nada)
Y'aurait-il:
Des sages et d'autres qui suivent le mirage.
Si nous étions tous paréils
Pas d'envie, pas de plaisir.
Pas de curiosité, pas d'EUREKA .
Hier comme aujourd'hui
Aujourd'hui comme demain
Pas de souvenirs , pas d'avenir.
Tous des AMIS et pas d'amis.
Nous avons tous les mêmes affinités.
Nous avons tous les mêmes hobbies.
Nous avons tous les mêmes trais de caractère.
Affinité, hobbies et trais de caractére.
Que des mots alignés.
Qui n'ont pas de sens.
Quand on est indifférent, à tout ce qui est différent.
Quand on est indifférent,à tous ceux qui sont différents.
Quand on est indifférent.
On ne vit plus.
On subit la vie.
On a goût à rien.
On se détruit.
Puisque pas de plaisir, pas de désir.
Après tout ce que je viens de citer.
Je voudrais dire ,
Que ce n'était pas le paradis d'EDEN que j'ai pointé du doigt,
Dans mon premier poème "LE PARADIS".
Car avec les moyens dont je me suis dotés.
Par la générosité de DIEU tout puissant, par sa bonté.
Je n'y songerais pas.
Je n'y pourrais pas.
Je n'y saurais pas.
Au-dessus de mon bon sens,il est.
Plus loin et plus loin que je ne pourrais.
Imaginer, deviner ou même rêver.
MOI;.
Je parlais du paradis ici bas.
Celui, qu'avec notre intelligence,
on pouvait y accéder.
Celui oû, avec notre volonté et notre bienveillance,
on pourrait goûter.
Celui d'accepter dans la joie et la bonne humeur,
nos différences.
Ce serait bête et dommage,
A soi comme à notre entourage.
De refuser de croire à la diversité.
De fermer nos coeurs nos âmes à l'adversité.
Le comble et L'ENFER ce serait?
Si avec notre ignorance,notre haine et nos bêtises,
On la combatait.
SIN et SAIN
ORIFARDI
Et que pas de place à la différence.
Y'aurait-il un médecin?
Y'aurait-il un Vizir?
Y'aurait-il:
Un qui cultive le raisin, un le blé
Un le riz et un le zéphir(nada)
Y'aurait-il:
Des sages et d'autres qui suivent le mirage.
Si nous étions tous paréils
Pas d'envie, pas de plaisir.
Pas de curiosité, pas d'EUREKA .
Hier comme aujourd'hui
Aujourd'hui comme demain
Pas de souvenirs , pas d'avenir.
Tous des AMIS et pas d'amis.
Nous avons tous les mêmes affinités.
Nous avons tous les mêmes hobbies.
Nous avons tous les mêmes trais de caractère.
Affinité, hobbies et trais de caractére.
Que des mots alignés.
Qui n'ont pas de sens.
Quand on est indifférent, à tout ce qui est différent.
Quand on est indifférent,à tous ceux qui sont différents.
Quand on est indifférent.
On ne vit plus.
On subit la vie.
On a goût à rien.
On se détruit.
Puisque pas de plaisir, pas de désir.
Après tout ce que je viens de citer.
Je voudrais dire ,
Que ce n'était pas le paradis d'EDEN que j'ai pointé du doigt,
Dans mon premier poème "LE PARADIS".
Car avec les moyens dont je me suis dotés.
Par la générosité de DIEU tout puissant, par sa bonté.
Je n'y songerais pas.
Je n'y pourrais pas.
Je n'y saurais pas.
Au-dessus de mon bon sens,il est.
Plus loin et plus loin que je ne pourrais.
Imaginer, deviner ou même rêver.
MOI;.
Je parlais du paradis ici bas.
Celui, qu'avec notre intelligence,
on pouvait y accéder.
Celui oû, avec notre volonté et notre bienveillance,
on pourrait goûter.
Celui d'accepter dans la joie et la bonne humeur,
nos différences.
Ce serait bête et dommage,
A soi comme à notre entourage.
De refuser de croire à la diversité.
De fermer nos coeurs nos âmes à l'adversité.
Le comble et L'ENFER ce serait?
Si avec notre ignorance,notre haine et nos bêtises,
On la combatait.
SIN et SAIN
ORIFARDI
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