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  • ]Le gouvernement approuve la création d'un organe de relance du barrage vert

    Le gouvernement approuve la création d'un organe de relance du barrage vert

    APS
    Mercredi, 01 Juillet 2020 19:29




    ALGER- Le gouvernement, réuni mercredi sous la présidence du Premier ministre, Abdelaziz Djerrad, a adopté un projet de décret exécutif portant création d’un organe de coordination de la relance du Barrage vert et de la lutte contre la désertification.

    Le projet de texte, présenté par le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, entre dans le cadre de la relance et la réhabilitation du Barrage vert, avec la mise en place d’un dispositif permanent chargé de la préparation, la concrétisation et du suivi permanent de cette opération, précise un communiqué des services du Premier ministre.

    Cet organe de coordination est pensé comme un catalyseur dans l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation du programme d’action national de la lutte contre la désertification et l’atténuation de la sécheresse et la relance du Barrage vert.

    Il s’inscrit, notamment, dans la politique de décloisonnement sectoriel décidé par le gouvernement en vue d’assurer la cohérence nécessaire dans l’élaboration et la gestion des politiques publiques.

    Selon l'exposé du ministre, la lutte contre la désertification est en réalité une lutte contre la pauvreté, à travers la protection des ressources naturelles, l’adaptation aux changements climatiques, le développement rural intégré et la promotion de l’économie forestière au profit d’un développement local durable, base de toute sécurité alimentaire.

  • #2
    Je me demande pourquoi ce méga projet a été arrêté ???
    Pourtant il me parait vachement bénéfique pour tout le nord du pays.

    C'était les appelés qui le faisaient au temps de CHADLI, je pense.
    Donc 30 à 40 ans. Non ? Car depuis ce temps, on aurait pu avoir plein des forets immenses sur tous les hauts plateaux.
    Et peut-être on aurait eu de meilleurs micros climats propices à l'agriculture et à l'élevage !!!

    Je pense qu'il faut absolument créer aussi des Barrages verts et des ceintures :
    - autour et à l'intérieur des villes, et des villages, et aussi sur les trottoirs.
    - aux bordures des routes et autoroutes
    - et des terres agricoles !

    Et surtout pas de gazon dans nos villes. Le gazon est trop couteaux en eau et en entretien.
    Plutot des arbres et des arbustes dans nos rues. Oui.

    Et il ne faut pas seulement boiser. Il faut s'en occuper. Ca demande de l'entretien régulier. Continue...

    Le reboisement et l'entretien des bois dans le pays, doit être massif, continue et à un rythme soutenu. Et pas seulement dans certains endroits.
    Donc, toute une stratégie et toute une politique de reboisement sérieuse à définir, et doit être rigoureusement suivi dans tous le pays.

    Car le nord du pays ainsi que nos villes sont devenus de véritables déserts. Toutes nos villes et villages aussi ! Que du béton ....:22:

    D'ailleurs, les seules routes boisés que je connais, sont la plupart celles des anciennes routes au temps de la colonisation. Ce qui n'est pas du tout normal.

    Pourquoi un tel laissez-aller dans nos villes depuis l'indépendance ?

    Dernière modification par Pomaria, 02 juillet 2020, 19h06.
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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    • #3
      Bonjours Pomaria,

      C'était les appelés qui le faisaient au temps de CHADLI. Non ?
      Le projet avait débuté au début des années 70 sous la présidence de Boumédiène et c'étaient bien les appelé qui y étaient, mais pas seulement les appelé ...les actifs aussi .

      Pourquoi un tel laissez aller depuis l'indépendance ?
      Pomaria, je lis avec intérêt presque tout tes messages /////////////

      OK ! hors sujet !
      Dernière modification par wahrani, 02 juillet 2020, 20h08.

      Commentaire


      • #4
        Bonjour wahrani
        Le projet avait débuté au début des années 70 sous la présidence de Boumédiène et c'étaient bien les appelé qui y étaient, mais pas seulement les appelé ...les actifs aussi .
        Donc, c'est bien avant que ca a commencé.
        Et pourquoi ce méga projet a été arrêté ?
        Des couacs ? Problème de Budget ?

        wahrani
        je lis avec intérêt presque tout tes messages et je te comprend, mais cependant j'aimerais te dire qu'il ne faut pas tout dramatiser , l'histoire de l’Algérie post indépendance est également très riches dans divers domaines culturels, industriels , sociales et avait une notoriété internationale reconnue. Chadli avait même été reçu à Washington , à la maison blanche par Ronald Reagan ....et bien d'autres choses !

        STP ! Ne me fait pas dire ce que je n'ai pas dit.
        Je parle de politique de reboisement ici. Et seulement reboisement. Et pas autre chose.Et s'il y a des faussetés dans ce que j'ai dis avant, éclaire-moi STP.

        Pour moi, le constat est là. Il y a un loupée monumentale à ce propos.
        Nos campagnes, nos villes et nos villages sont envahis par le béton et pas d'arbres. Et s'il y a des arbres qui sont planté ici et là, il n'y a presque, aucun suivi.

        J'ai lu qu'en Europe et ailleurs, la politique de reboisement est dans le plan de tous gouvernement. C'est comme le nettoyage des égouts qui doit se faire continuellement, et chaque semaine pour éviter qu'ils se boucher par les crues et les orages.
        Ainsi, chez eux, la vitesse de reboisement des terres doit se faire plus rapidement que le déboisement.

        Chez nous, il y a chaque année un déboisement de dizaines de milliers d'hectares des forets résiduelles dans le pays (généralement par des feux de forets), sans qu'il n'y a aucune politique sérieuse ou suffisante pour les reconstituer. Encore moins pour en créer d'autres.
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #5
          Donc, c'est bien avant que ca a commencé.
          Et pourquoi ce méga projet a été arrêté ?
          Des couacs ? Problème de Budget ?
          https://fr.wikipedia.org/wiki/Barrage_vert

          Pour moi, le constat est là. Il y a un loupée monumentale à ce propos.
          http://blog.bio-ressources.com/2020/...rt-en-algerie/


          http://www.aps.dz/economie/90767-le-...esertification


          http://alger-roi.fr/Alger/agricultur...rrage_vert.htm

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          • #6
            Redonner vie au barrage vert :Une « rénovation intelligente et innovante»

            Publication : 1 octobre 2019
            Signe éclatant d’une prise de conscience précoce en matière de lutte contre le phénomène de la désertification et de protection des ressources naturelles, l’Algérie a lancé , dans les années 70 , les travaux du « barrage vert » dans les zones arides et semi-arides. La ceinture forestière visait à stopper l'avancée du désert vers le Nord. Mais depuis, la grande « muraille verte » a été relégué au second plan, voire aux oubliettes. Des brèches ont été ouvertes tout au long de cette barrière de verdure.

            Pour rattraper le temps perdu et ressusciter cet ouvrage, le ministère de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche a lancé, Mardi, au centre international des conférences le projet de sa réhabilitation.

            Intervenant à l'ouverture d'une Journée d'information sur le Barrage vert face aux changements climatiques », le ministre a affirmé que celui-ci est un ouvrage « planétaire » d’une dimension « universelle » et constitue une « expérience pionnière » qui témoigne du réveil prématuré de notre pays par rapport à l’urgence de lutter contre le phénomène de la désertification, la restitution des couverts végétaux et la protection des terres et l’environnement. Il a fait remarquer que le barrage n’a pas été gâté par la nature, ni préservé par l’homme. Il a mis en avant les dégradations structurelles observées sous l’influence directe des conditions défavorables des milieux, essentiellement du climat et des usages dus à l’homme. Omari a fait savoir la stratégie de réhabilitation du barrage a été établie après avoir identifié et classé les problèmes environnementaux causant sa dégradation. Il a annoncé la création d'une structure consultative avec tous les ministères concernés par ce projet vital. Il aussi question de désigner une entreprise qui se chargera de réalisation des travaux de réhabilitation sans omettre l’implication de tous les acteurs et intervenants nationaux ou internationaux. Pour lui, la réhabilitation se fera d’une manière « innovante » et « intelligente » pour assurer sa pérennisation. Chérif Omari a exprimé la farouche volonté des pouvoirs publics à préserver l’équilibre de l’écosystème et la protection de l’environnement a travers la mise en œuvre d’une stratégie « ambitieuse » de restauration des paysages forestiers, des terres et la protection des richesses végétales ». Il dira que la réussite de cette politique dépendra du degré de la mobilisation de tout un chacun, institutions, administrations, opérateurs économiques, chercheurs et mouvement associatif.

            Reboisement tous azimuts

            L’heure est au reboisement intensif. En plus de la réhabilitation du barrage vert, le ministre de l’agriculture a donné le coup d’envoi du plan national de reboisement sous le slogan : « un arbre pour chaque citoyen ». Omari a indiqué que cette action se veut avant tout une initiative « ambitieuse » pour garantir la survie de la flores, préserver et promouvoir la biodiversité et la transformation des terres dégradées et déboisées en écosystème multifonctionnelle afin de s’assurer des services liés à ces derniers(écosystème) dans les politiques locales. Le ministre a soutenu que l’Etat a mis en place une myriade de projets pour lutter de la manière la plus efficace contre le phénomène de la désertification et l’élargissement des terres agricole. Il a rappelé, dans ce sens, l’adoption par le gouvernement dernièrement du plan national du climat qui est une véritable « feuille route claire et éclairée » en matière de protection de l’environnement. Il a affirmé que notre pays dispose d’une vision « prospective » et « perspicace » en matière de protection de l’environnement, de préservation des terres et les services fournis par les écosystèmes. Il dira que la mise en œuvre du programme de reboisement nécessite un sursaut national et l’implication de tous les intervenants, chacun à son niveau.

            Pour sa part, le ministre des Ressources en eau, Ali Hammam a fait savoir que son département s'attelle à la concrétisation d'un programme de reboisement important pour protéger bassins, barrages et cours d'eau. Il a rappelé les larges campagnes de plantation de l'Agence nationale des barrages et des transferts (ANBT). « Entre 2016 et 2017, elle a planté plus de 1.2 millions d’arbustes sur les pourtours des barrages ». Il a fait savoir que nombre d'arbustes plantés par l'Agence s'élève actuellement à 2.2 millions d'unités.

            Le ministre a fait savoir que l'ANBT avait également contribué à l'élaboration du Programme national de reboisement (PNR) dont l’ objectif est le reboisement de plus de 1.24 millions d'hectares dont plus de 500.000 dans le cadre de la protection et la sécurisation des cours d'eau se déversant dans les barrages se trouvant en zones montagneuse. Il a affirmé que son secteur avait réussi à aménager et reboiser près de 25.000 hectares dans le cadre de la protection des cours d'eau. Le ministre plaidera aussi pour une exploitation rationnelle des ressources en eau. Selon lui, « l’Algérie est un pays semi- aride qui ce caractérise par un écosystème fragile et vulnérable ou la pluviométrie a reculé ces dernières années de 40% à l’ouest du pays, 30% au centre et 20% à l’Est du pays ». « La relance du barrage vert est un moyen de lutter contre la désertification et la dégradation des écosystèmes », a-t-il fait remarquer.

            Enfin, le Directeur- général des forêts, Ali Mahmoudi a insisté sur l'impératif de conférer un caractère économique au barrage Vert afin de contribuer à la diversification durable de l'économie nationale, à travers son exploitation dans le reboisement de plantes aromatiques, médicinales et d’arbres fruitiers. Il a également souligné l'importance d'une intervention efficace et d'une collaboration avec le groupement d'ingénierie rural relevant du ministère de l'agriculture pour créer des ateliers spécialisés dans la réhabilitation du barrage.

            Amokrane H

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            • #7
              Mémoires d'Algérie - Le barrage vert et le service national , en 1975


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              • #8
                6 Novembre 2012Publié par Revue de web NOUARA
                "Echec "Barrage vert"
                Par Djedjiga Rahmani (El-Watan 03/11/2012)


                Le projet de réhabilitation et d’extension du Barrage vert sera lancé dans les tout prochains jours.
                La création de l’Entreprise nationale de génie rural ainsi que 9 autres entreprises régionales de développement forestier sont prévues dans le programme.
                Pour rappel, le Barrage vert est une immense ceinture de 1200 km de long sur 20 km de large devant protéger la partie nord de l’Algérie de l’inévitable avancée du désert.De l’avis des experts et des responsables de la direction des forêts, ce rempart contre la désertisation, lancé au début des années 1970, est actuellement en état de dégradation avancée. D’après la direction générale des forêts (DGF), une étude portant sur le nouveau plan d’action pour sa réhabilitation ainsi que son extension a été lancée en 2010.
                L’opération de réhabilitation portera essentiellement sur les sites qui se sont sensiblement détériorés, ainsi que sur la consolidation du patrimoine existant à travers l’entretien des plantations forestières sur 1120 ha et la mise en défens de 235 500 ha. Ce nouveau plan de réhabilitation prévoit surtout l’implication des riverains, une option écartée lors du lancement du Barrage vert dans les années 1970. Il convient de rappeler que la réalisation du Barrage vert a été décidée de manière centralisée à partir d’Alger. Une faille qui, selon des experts, a entravé sa réussite.
                En ce sens que la population locale, dont l’activité essentielle demeure le pastoralisme, s’est sentie spoliée de son unique richesse, à savoir l’élevage. Dans ce plan de réhabilitation, la DGF tente d’y remédier à travers des actions «réfléchies et concertées avec la population riveraine», a déclaré M. Noual, directeur général des forêts à l’APS. Les plantations pastorales sont prévues sur 1347 ha, contrairement au projet de départ basé essentiellement sur une seule essence, à savoir le pin d’Alep. Ce choix a, d’après les experts, entraîné plusieurs dysfonctionnements. Du point de vue scientifique, le pin d’Alep est sensible à l’attaque de la chenille processionnaire, un insecte qui provoque un affaiblissement important des arbres. Du point de vue socioéconomique, le manque de plantations pastorales a pénalisé les populations locales qui voyaient d’un mauvais œil ce projet de grande envergure. C’est pourquoi le programme de réhabilitation vise à concilier, d’une part les populations, d’autre part l’amélioration du potentiel productif des terres.
                La problématique portant sur l’impact de l’élément humain sur le Barrage vert semble bien prise en charge cette fois-ci. Le directeur général des forêts n’écarte pas la possibilité de son extension dans la mesure du possible. A ce propos, 418 projets de proximité de développement rural intégrés, dont 232 de proximité visant la lutte contre la désertification, ont été lancés dans 215 communes et 387 localités. Le plan de réhabilitation va privilégier des programmes de développement rural intégré visant à faire participer la population.
                Lancé il y a plus de 40 ans, le projet de lutte contre la désertification a toujours été entravé par les pressions climatiques. N’empêche que les initiateurs de la Grande muraille verte africaine (GMV) s’appuient sur l’expérience de l’Algérie (sa réussite et ses lacunes) dans leur projet de création d’une ceinture d’arbres de 15 km de largeur allant du Sénégal à Djibouti sur 7100 km.
                Djedjiga Rahmani (El-Watan 03/11/2012)

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                • #9
                  Voilà Pomaria, je pense que tu as réponses à tes questions ...

                  Salutations .

                  Commentaire


                  • #10
                    : « un arbre pour chaque citoyen »
                    40 millions d'arbres
                    ils vont faire planter par qui ?

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                    • #11
                      Pour clôturer, le Barrage Vert a été lancé au début des années 1970. Environ une centaine d'appelés ont laissé leur vie (accidents). Une stèle en leur mémoire a été érigée à Tamanrasset (78 ou 79)
                      « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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                      • #12
                        Je te remercie grandement tes partages Wahrani !

                        Ce nouveau plan de réhabilitation prévoit surtout l’implication des riverains, une option écartée lors du lancement du Barrage vert dans les années 1970. Il convient de rappeler que la réalisation du Barrage vert a été décidée de manière centralisée à partir d’Alger. Une faille qui, selon des experts, a entravé sa réussite.

                        Ainsi, la grossière erreur étaient que les décisions ont prises en haut lieu.
                        L'erreur fatale dans tout projet, de faire ainsi.
                        Associer les riverains du barrage vert à une telle entreprise, étant la meilleur manière et l'unique solution pour faire adopter et réussir ce méga-projet.

                        J'espère que nos responsables doivent en prendre de la graine. Mais à ce que je vois dans le gouvernement actuel, il continue avec ces mêmes erreurs fatales....:22:

                        Bref, pour réussir tout projet dans le pays, l'état et les autorités se doivent d'associer les premiers concernés et/ou impliqués dans les prises de décisions.
                        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                        • #13
                          Intéressants retours d'expérience sur ce méga-projet du barrage vert (Localité Rogassa, El Bayadh)

                          Dernière modification par Pomaria, 03 juillet 2020, 10h28.
                          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                          Commentaire


                          • #14
                            ce qu'il dit dans la video concernant les aiguiles du pin d'alep est finalement infondé . elles sont ni toxique , ni change le ph de la terre . mais il est vrai que peu de chose pousse en dessous , voir rien , chose que j'ai eu a constaté du coté de medea . mais ca ne change rien au fait que ca a ete reellement mal etudié . ils ont appliqué les consignes a la lettre , cad érigé un barrage , et non des forets . et un barrage n'est pas fait durer dans le temps

                            Commentaire


                            • #15
                              c est les appelés du contingent à l époque qui plantée les arbres

                              Commentaire

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