travailler dur et tard ou semblant le faire ,c'est avoir l'illusion de la liberte et regner sur un monde ephemere en creusant son sillon . surtout on essaye d'eviter de penser a l'incountournable deception qui accompagne , le plus souvent la relecture des feuillets griffonnes .on se laisse porter par l'enthousiasme ; on octroie genereusements le qualificatuf de fulgurantes a des lignes en realite mediocre et promises a d'incessants reamenagements , voire a un simple et pur abondon
quand la fatugue vient; quand elle se fait tenace et demoralisanter , alors il faut savoir ruser et trouver la parade .a defaut il faut se faire du bien en assemblant qlques mots pour dire l'impression du moment : on tape le texte et on l'envoie sans vraiment reflechir et on regrettes encore plus qu'on n'a aucune reponse et on se sent blesse par tant d'indifference .... une indifference qui mutile et te laisse ebahi par un tel comportement ....
quand la fatugue vient; quand elle se fait tenace et demoralisanter , alors il faut savoir ruser et trouver la parade .a defaut il faut se faire du bien en assemblant qlques mots pour dire l'impression du moment : on tape le texte et on l'envoie sans vraiment reflechir et on regrettes encore plus qu'on n'a aucune reponse et on se sent blesse par tant d'indifference .... une indifference qui mutile et te laisse ebahi par un tel comportement ....
Commentaire