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Amnesty répond au Maroc, lui rappelle son sinistre bilan des droits de l’homme

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  • Amnesty répond au Maroc, lui rappelle son sinistre bilan des droits de l’homme

    Publié Le : Dimanche, 05 Juillet 2020
    LONDRES- L’ONG Amnesty International a réagi samedi à la campagne de diffamation orchestrée à son encontre par le gouvernement marocain, lui rappelant dans la foulée son sinistre bilan des droits de l’homme.

    "Les attaques des autorités marocaines contre la crédibilité d'Amnesty International et la campagne de dénigrement orchestrée contre le bureau d'Amnesty à Rabat montrent à quel point elles (les autorités) sont devenues intolérantes à l'égard de l'examen et des critiques légitimes de leur bilan en matière de droits humains", déplore l’ONG.

    Les attaques contre Amnesty se sont accentuées depuis la publication le 22 juin dernier d’une enquête sur le piratage du téléphone d'Omar Radi, journaliste et fervent détracteur du bilan des droits humains au Maroc.

    L’ONG a découvert que le téléphone d’Omar Radi avait été la cible de plusieurs attaques au moyen d’une nouvelle technique sophistiquée permettant d’installer de façon invisible Pegasus, logiciel espion produit par la firme israélienne NSO Group.

    Lire aussi: Maroc: Amnesty International dénonce la restriction de la liberté d'expression et des procès "iniques"

    " Les preuves techniques extraites du téléphone d'Omar Radi indiquent clairement que Pegasus a été installé avec une forme particulière d'attaque numérique identifiée comme une injection réseau ", affirme l’ONG.

    Acculé au mur, le gouvernement marocain s’agite pour repousser ces accusations confirmées. Des sources gouvernementales qui se sont confiées à des médias marocains évoquent une prochaine fermeture du bureau d’Amnesty à Rabat, lui rappelant au passage la suspension de leur coopération.

    L’ONG dit avoir été faussement accusée par le gouvernement marocain. Ce dernier a prétendu qu’Amnesty lui a refusé un droit de réponse aux conclusions du rapport.



    Obstruction aux activités d’Amnesty



    Dans son communiqué, l’Organisation révèle qu’elle a informé les autorités marocaines du contenu de l’enquête le 9 juin, soit deux semaines avant sa publication, via une lettre officielle envoyée par e-mail à cinq fonctionnaires du ministère des Droits de l'homme.

    Dans la même lettre, Amnesty a invité le gouvernement à fournir des commentaires à inclure dans le rapport. Sa demande est restée lettre morte.

    Et rappelle dans la foulée que " ce n'est pas la première fois que des efforts sont déployés pour saper le travail d'Amnesty " au Maroc, soulignant que ces attaques " coïncident avec une répression croissante" dans le pays.

    " Des dizaines de militants des droits de l'homme, de journalistes indépendants et de manifestants sont actuellement en prison ", dénonce l’Organisation avant de déplorer une obstruction aux activités de son bureau à Rabat.

    Ce n'est pas la première fois que les activités d'Amnesty International sont entravées au Maroc. En juin 2015, deux enquêteurs d'Amnesty International qui documentaient la situation des migrants et des réfugiés ont été expulsés du pays malgré l'assurance du gouvernement que l'organisation pourrait mener des missions sur simple notification.

    Les autorités marocaines ont un lourd passé dans l’instauration de mesures punitives pour détourner l’attention de leur sombre bilan en matière de droits humains, précise l’ONG.

    " Ce faisant, ils confirment précisément ce que les enquêteurs d'Amnesty International ont révélé au cours de ces derniers mois : la tolérance zéro du gouvernement vis-à-vis de la liberté d'expression ", commente Heba Morayef, directrice d'Amnesty pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    la réponse d’Amnesty International au Maroc


    Amnesty International a donné suite à la requête du chef du gouvernement, Saâdeddine El Otmani lui demandant de lui fournir les "preuves matérielles" de ses allégations sur le Maroc. Selon l’organisation, les autorités marocaines auraient, à l’aide du logiciel d’espionnage Pegasus, piraté le téléphone du journaliste et militant Omar Radi condamné en mars dernier pour avoir critiqué le verdict prononcé par un magistrat contre des membres du "Hirak".

    Amnesty International déclare avoir "envoyé (vendredi) au gouvernement marocain une lettre confirmant les résultats de ses recherches et fournissant davantage de détails sur sa méthodologie de recherche", peut-on lire dans un communiqué publié sur le site de l’organisation, samedi.

    "Les éléments de preuve d’Amnesty International ont été recueillis grâce à notre analyse technique de l’iPhone du journaliste marocain Omar Radi qui a révélé des traces d’attaques par ‘injection de réseau’. Cela était conforme à l’enquête d’octobre 2019 d’Amnesty International, qui a détaillé le ciblage des défenseurs marocains des droits humains Maati Monjib, notamment par des attaques par injection de réseau, et Abdessadak El Bouchattaoui utilisant le logiciel espion Pegasus, une technologie de surveillance produite par la société NSO Group", affirme l’organisation.

    "(…) En outre, les preuves techniques que les chercheurs de l’organisation ont extraites du téléphone d’Omar Radi indiquent clairement que Pegasus a été installé avec une forme particulière d’attaque numérique identifiée dans nos rapports comme une ‘injection de réseau’, ce qui a nécessité un effet de levier sur les opérateurs mobiles du pays pour mettre sur écoute Omar, soit une connexion Internet mobile que seul un gouvernement peut autoriser", précise Amesty international.

    Suite aux allégations de l’organisation, les autorités marocaines ont dénoncé "une campagne de diffamation internationale injuste" inspirée par "un agenda n’ayant aucun lien avec la défense des droits de l’Homme" et un "acharnement systématique et continu" d’Amnesty contre "les intérêts du Maroc".

    Réagissant à ces allégations, Amnesty Intenational dénonce, à son tour, "une tentative de discréditer une solide recherche sur les droits de l’Homme qui a révélé une série d’incidents de surveillance illégaux utilisant des produits du groupe NSO". "Au lieu de s’engager de manière constructive avec les conclusions de notre rapport, les autorités choisissent de poursuivre l’attaque contre le messager", a déclaré Heba Morayef, directrice d’Amnesty International pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord.

    ALM

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    • #3
      "(…) En outre, les preuves techniques que les chercheurs de l’organisation ont extraites du téléphone d’Omar Radi indiquent clairement que Pegasus a été installé avec une forme particulière d’attaque numérique identifiée dans nos rapports comme une ‘injection de réseau’, ce qui a nécessité un effet de levier sur les opérateurs mobiles du pays pour mettre sur écoute Omar, soit une connexion Internet mobile que seul un gouvernement peut autoriser", précise Amesty international.
      Amnesty International = MI6

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      • #4
        je n'ai jamais vu cette organisation s'en prendre à israel lorsque des civils palestiniens sont bombardés, ni aux usa et l'angleterre pour leur sale guerre en irak, ni à la chine pour le traitement qu'elle inflige aux ouighours... ou alors de mlanière très molle.... moralistes de pacotille...oeilfermé

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        • #5
          AI n'a pas non plus condamné le no fly zone en libye. Pis, ils ont condamné des charniers côté armée libyenne (normal, ils ne peuvent pas s'en prendre à leur premier ministre Cameron)

          Idem, aucune condamnation des hordes islamistes sauvages en syrie mais tentative de condamnation de l'armée de Bachar pour usage supposé de Sarin

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          • #6
            Quelle blague! M16 a d'autres choses a faire.
            Ikra ya rass bouzelouf.
            Les dons de particuliers permettent à Amnesty International de rester totalement indépendante vis-à-vis de tous les gouvernements et intérêts économiques et de toute idéologie politique et religion.
            Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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            • #7
              totalement indépendante vis-à-vis de tous les gouvernements et intérêts économiques et de toute idéologie politique et religion

              la bonne blague

              dit le a ceux qui sy connaissent pas
              Droite des Valeurs
              Gauche du Travail
              Centre "Intérêt de Mon Pays"

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              • #8
                Les dons de particuliers permettent à Amnesty International de rester totalement indépendante vis-à-vis de tous les gouvernements et intérêts économiques et de toute idéologie politique et religion.
                C'est ce que AI prétend.

                Qui est derrière Amnesty International ?

                Mensonges & Manipulation/13 octobre 2017/Christelle Néant

                « Amnesty International est principalement financée par ses cotisations et dons publics. Aucun fonds n’est demandé ou accepté de la part de gouvernements pour enquêter et faire campagne contre les violations des droits de l’homme. Amnesty International est indépendante de tout gouvernement, idéologie politique, intérêt économique ou religion. »

                C’est l’une des organisations de défense des droits de l’homme les plus influentes au monde, d’après ce que déclare Amnesty International. Dans le même temps, le rapport financier officiel de l’organisation pour 2015 indique parmi les donateurs, des structures comme la Fondation Open Society de George Soros ou la Fondation Ford.



                La Fondation Nationale pour la Démocratie américaine (NED), qui est officiellement financée par le Congrès américain, via le budget de l'Agence Américaine pour le Développement International (USAID), était aussi mentionnée dans les rapports précédents de 2008 à 2010.

                Il est intéressant de noter, que lorsque les médias ont commencé à parler de manière croissante de l'implication d'Amnesty International, les références aux articles officiels de l'organisation sur ses revenus et les rapports des années précédentes ont commencé à disparaître d'Internet. Maintenant, il est difficile de trouver confirmation du fait qu'AI a travaillé à une époque pour les intérêts de la NED, une organisation qui a activement soutenu les mouvements des jeunesses arabes, qui ont pris, plus tard, une part active dans la série de « révolutions de couleur » qui ont eu lieu dans les pays du Moyen Orient et en Afrique du Nord.

                Le site de l'organisation lui-même est fait de telle façon qu'il est très difficile de trouver le moindre rapport. Sur la page principale vous ne trouverez pas le bon lien, uniquement si vous connaissez l'adresse directe, ou utilisez le moteur de recherche. Un autre fait très révélateur, est que le site n'a désormais plus de rapports antérieurs à 2014.

                Même pour ces miettes d'informations que le secrétariat d'AI présente, on peut se demander si l'organisation de défense des droits de l'homme est vraiment une entité indépendante. Étant donné que toute subvention implique l'accomplissement d'une mission spécifique dans l'intérêt du donateur. Prenons par exemple la Fondation Open Society de George Soros, la subvention de cette organisation vise à soutenir les migrants, à les protéger et à les sauver et, en fait, à faciliter leur réinstallation en Europe.



                Il est important de noter que les organisations de George Soros et d'Amnesty International travaillent ensemble depuis de nombreuses années. Maintenant, les informations à ce sujet ne sont pas faciles à trouver sur le site web d'Amnesty, mais cette mémoire est toujours stockée sur le site officiel de la Fondation Open Society. À partir de 2008, la fondation a accordé une subvention de trois ans à la branche américaine d'Amnesty International. En juin 2011, Amnesty International a publié un rapport justifiant l'opération militaire américaine en Libye, à la suite de laquelle le gouvernement libyen a été renversé et le pays lui-même a été occupé et détruit.

                C'est Hillary Clinton qui a pu peser sur cette décision au sein de la commission des affaires étrangères. Il est prudent de dire qu'à cette époque, Amnesty International a travaillé en étroite collaboration avec les agences gouvernementales américaines. C'est tout d'abord le Département d’État qui a utilisé les résultats du travail de l'organisation en Libye puis en Syrie, quand Amnesty International a fait un autre rapport disant qu'à la prison syrienne de Damas Seydnaya, 13 135 prisonniers ont été pendus, principalement des « civils », par le régime d'Assad de 2011 à 2015. Dans le même temps, le rapport n'a fourni aucune preuve réelle. Les chiffres astronomiques des victimes étaient le résultat de calculs arithmétiques basés sur le témoignage de personnes non nommées dans le rapport. Étant donné que sur la base de ce rapport, des décisions d'importance mondiale pourraient être prises, l'organisation de défense des droits de l'homme pourrait au moins fournir des informations complètes et la logique de ses calculs. Mais, malheureusement, cela n'a pas été fait.

                Il est d'une importance fondamentale de noter qu'entre 2012 et 2013, Susan Nossel occupait le poste de directrice exécutive d'AI aux États-Unis, où elle travaillait auparavant comme assistante d'Hillary Clinton (alors secrétaire d'État américaine) auprès d'organisations internationales. En particulier, c'est elle qui a élaboré une résolution sur « les violations des droits de l'homme » en Libye, en Syrie et en Iran. Nossel est connue pour son soutien aux membres des Pussy Riot et sa participation à l'élaboration de la première résolution des Nations Unies sur les droits des minorités sexuelles. De plus, Nossel est l'auteur du terme « Smart Power » (on pourrait traduire cela en français par Puissance Habile).

                Il est incroyable de voir à quel point les lignes idéologiques d'Amnesty International, de la Fondation Open Society de George Soros et du Département d'État américain sous Hillary Clinton sont proches. Tous défendent les droits des minorités sexuelles, des transgenres, des migrants et des féministes, tout aussi négatifs pour les gouvernements syrien, libyen, irakien, russe et iranien, ainsi qu'une attitude nettement négative envers le nouveau président américain, Donald Trump. En passant, c'est George Soros qui est à l'origine des manifestations aux États-Unis en soutien à Hillary Clinton la veille et après l'inauguration de Donald Trump.

                « D'un point de vue politique, l'élection de Donald Trump en tant que président des États-Unis a peut-être été l'événement le plus notable et le plus inattendu : son élection a été précédée d'une campagne dans laquelle il a souvent fait des déclarations qui sèment la division, remplies de misogynie et de xénophobie, et il a promis d'abandonner les droits et libertés civils reconnus et de mener une politique qui sera profondément hostile à la jouissance des droits de l'homme », a déclaré Salil Shetty, secrétaire général d'Amnesty International, dans l'avant-propos du rapport 2016-2017.

                D'après lui, « la dégoûtante rhétorique pré-électorale de Donald Trump incarne la tendance mondiale d'une politique de plus en plus aigrie et axée sur la division ».

                Amnesty International a indiqué dans son rapport annuel que « dès 2017, le président Trump a mis en œuvre ses promesses de campagne xénophobes et a signé un décret qui empêcherait les réfugiés fuyant les zones de conflit d'entrer aux États-Unis ».

                Aujourd'hui, il est presque impossible de trouver des preuves directes qu'en 2008, la branche israélienne d'Amnesty International a accepté un don de 130 186 shekels du département d'État du gouvernement des États-Unis. En 2009, le don est passé à 239 523 shekels. En 2010, la branche israélienne d'Amnesty International a accepté un don de l'ambassade royale des Pays-Bas en Israël pour 60 574 shekels listés comme don d'une entité politique étrangère. En 2011, Amnesty International Royaume-Uni a accepté une subvention de 842 000 £ (faisant partie d'une plus grande donation sur quatre ans) du Département pour le développement international (DFID).

                Une subvention sur cinq ans d'environ 3 850 000 £ a été octroyée de janvier 2013 à décembre 2017 via la contribution du gouvernement norvégien au nouveau NRK (Téléthon norvégien). Une résolution de 2011 de l'ICM trouvée sur le site Web d'Amnesty Australie (la page a depuis disparue mais une mention y est faite ici) fait état de la croyance répandue parmi le public selon laquelle aucun fonds de gouvernements n'est accepté. Cependant, la résolution continue en expliquant qu'ils reçoivent un financement direct de sources gouvernementales pour l'éducation aux droits de l'homme.

                Ceci est clairement exclu de la déclaration d'Amnesty sur les fonds et les dons. « La collecte de fonds de ce type présente potentiellement des défis pour l'indépendance et l'impartialité d'Amnesty International vis-à-vis des gouvernements », notent-ils. « En particulier lorsque le financement d'une subvention exige des obligations contractuelles spécifiques. Il y a aussi un risque de perception publique que l'indépendance d'Amnesty International est vulnérable ou diminuée lorsque les fonds gouvernementaux sont acceptés. Des sondages auprès des partisans d'Amnesty International ont montré que le fait de ne pas accepter le financement de gouvernements est la principale raison de leur soutien. »

                En plus de cacher à un grand nombre de leurs partisans le fait que leur politique peut considérer comme acceptable des financements gouvernementaux pour « l'éducation », Amnesty International a également accepté des dons de la part de sociétés ayant des intérêts politico-financiers. Une note datée de novembre 2007 indique qu'Amnesty n'acceptera les dons d'entreprises que si « Amnesty International a un avantage significatif et que la réputation d'Amnesty International est peu menacée ». Un extrait de la note indique qu'une entité d'Amnesty International avec un revenu annuel plus de 100 000 £ ne doit pas obtenir plus de 10% de son financement total de la part d'entreprises. Pour qu'Amnesty accepte les fonds d'entreprises, ils doivent passer par une sélection. La note de 2007 indique que la sélection comprend une liste de ressources en ligne disponibles auprès du Secrétariat international (Programme international de collecte de fonds). Le mémo explique comment utiliser une liste de mots clés utiles pour la recherche dans la base de données. La liste des mots utiles fournis comprend : les droits de l'homme ; tribunal ; violation ; responsabilité sociale des entreprises. Pourquoi la Fondation Open Society a-t-elle été approuvée par Amnesty ?

                On peut affirmer avec assurance qu'Amnesty International est un mercenaire international engagé par des organisations d'État et des entreprises pour défendre leurs intérêts économiques et politiques.

                Et enfin, George Soros est également l'un des principaux sponsors d'une autre organisation internationale de défense des droits de l'homme bien connue - Human Rights Watch.

                Alex R.

                Traduction depuis l'anglais par Christelle Néant

                reseauinternational

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                • #9
                  RSF est entre les mains de la France et AI de londre ozid ozid

                  chaque puissance se partage la notation du monde par délégation du grand boss
                  Droite des Valeurs
                  Gauche du Travail
                  Centre "Intérêt de Mon Pays"

                  Commentaire


                  • #10
                    nous vivons au Maroc et nous savons que les droits des journalistes (et des citoyens en général) ne sont pas toujours respectés..je ne vais pas défendre un système qui s’éloigne petit à petit du climat de relative liberté qu'il y avait au début du règne de Mohamed 6..ça serait du tribalisme primaire et une position anti-patriotique.

                    Commentaire


                    • #11
                      @rodmaroc

                      C'est vrai et ce n'est pas AI qui nous apprendra qu'au Maroc la liberté d'expression et la liberté de la presse sont extrêmement limitées et surveillées.

                      Mais ce que nous relevons ici c'est que AI est manipulée par les grandes puissances à des fins précises. Et ça il fallait le signaler.

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                      • #12
                        au Maroc il ya un retour en arrière c'est sans conteste
                        c'est pas moi qui va le nié.

                        moi je dit simplement que AI est un organe de pression comme RSF et qu'ils ne sont nullement objectif et neutre
                        comme pour l'OMS et les autres...

                        pour radi il ne représentent aucune menace pour le système donc tout ce tapage est orienté et a un autre objectif
                        Droite des Valeurs
                        Gauche du Travail
                        Centre "Intérêt de Mon Pays"

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                        • #13
                          Mais ce que nous relevons ici c'est que AI est manipulée par les grandes puissances à des fins précises. Et ça il fallait le signaler.
                          Et si vous nous dites comment Amnesty International au service des grandes puissances à des fins précises.
                          Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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                          • #14
                            chaque puissance se partage la notation du monde par délégation du grand boss
                            Vous vendez de l'air! Qui est le grand boss? Surtout ne me dites pas que c'est ''Le saint''
                            A Ya Ya vous n'avez aucun argument sur votre table! Votre carte du makhzen est périmée !
                            Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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                            • #15
                              Amnesty répond au Maroc, lui rappelle son sinistre bilan des droits de l’homme
                              wa ma khafiya a3dam...le makhzen qui veut faire sa vierge....on est en 2020...

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