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Quand le petit-fils de l’Emir Abdelkader « renonce au trône d’Algérie »

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  • Quand le petit-fils de l’Emir Abdelkader « renonce au trône d’Algérie »

    [IMG]http://***********.fr/wp-content/uploads/2020/07/said-eldjazairi-boumediene.jpg[/IMG]

    « LE PRÉTENDANT AU TRÔNE D’ALGÉRIE RENONCE… ». C’est le titre d’une dépêche de l’agence de presse AP, que l’on retrouve dans les archives de journaux, au lendemain du 5 juillet 1962, jour de l’indépendance de l’Algérie. Un petit-fils de l’émir Abdelkader renonçait à ses “droits” en Algérie. Il s’agit de l’’émir Saïd El-Djezaïri, âgé alors de quatre-vingts ans, qui résidait à Damas, et qui était présenté comme un “prétendant au trône d’Algérie”. Dans son court texte, le petit fils de l’émir explique que si par le passé il avait prétendu au trône, cela était fait par esprit de résistance et pour maintenir vivante la cause algérienne. Le désormais ex-prétendant au trône prenait acte dans un texte court du fait que l’époque était celle de la “volonté populaire”.

    « Notre époque est celle de la volonté populaire. Le peuple seul a le droit de choisir sa propre voie et son destin. En prétendant au trône dans le passé je ne faisais que manifester une forme de résistance contre le colonialisme et maintenir vivante la cause de l’Algérie dans le cœur du peuple… Mais tout ce dont je rêve aujourd’hui, c’est de retourner en paix dans mon pays et d’être le témoin de son indépendance naissante.

    «Né en 1885, décédé en 1970, l’émir Saïd El-Djezaïri a eu un rôle politique en Syrie. Il a été gouverneur de Damas durant la période de transition entre la sortie des troupes ottomanes et l’entrée des forces arabes à la fin de la guerre mondiale. Saïd El-Djezaïri s’est assuré de veiller à la sortie protégée des troupes ottomanes de la ville.

    En octobre 1962, la presse s’est intéressée à la visite à Alger de “Saïd El-Djezaïri, descendant d’Abd-El-Kader et chef de la colonie algérienne installée en Syrie à la suite du grand émir”. L’occasion par exemple pour le journal Le Monde de parler de la communauté algérienne établie en Syrie en relevant qu’au-delà des sentiments, cette communauté est totalement intégrée et se considère plus syrienne qu’Algérienne même si les es octogénaires voudraient bien rentrer…

    “L’émir Saïd El-Djezaïri qui est à la fois le leader et le doyen de la colonie algérienne à Damas, qui s’est rendu pour sa part en voyage à Alger, reconnaît que les siens ne seraient pas nombreux à vouloir rentrer au pays natal au cas où une offre serait faite en ce sens.”

    Kamal Bouchama, auteur d’un livre sur “« l’Emir Abdelkader et les siens. L’ultime étape au Levant” indique l’Emir Mohamed Saïd El Djazaïri, a grandement collaboré avec les autorités algériennes pour rapatrier à Alger les restes de l’émir Abdelkader, le 4 juillet 1966, pour être enterré au carré des martyrs de la révolution.

    Mohamed Saïd El Djazairi est rentré par la même occasion au pays et s’est établit à Mascara où il mourut le 6 juin 1970. Il a été enterré à Sidi Qada, près du tombeau de Sidi Mohieddine, le père de l’émir Abdelkader.

  • #2
    Quand le petit-fils de l’Emir Abdelkader « renonce au trône d’Algérie »

    Il n'aurait pas du , cela aurait évité au pays la difficile tache de rechercher la perle rare pour le poste de président, à chaque fois qu'un président disparaît , c'est tout un casse tête pour le remplacer.

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    • #3
      Un petit-fils de l’émir Abdelkader renonçait à ses “droits” en Algérie.
      Des droits ? Il n'avait pas plus de droits que d'autres. Il n'tait pas trop connu ni qu'il connaissait bien le pays.
      Donc je ne pense qu'il ait été capable de bien gérer .


      De plus, il y a avait beaucoup de prétendants. Beaucoup trop.
      La guerre pour le koursi avait commencé bien avant lors de la réunion du Conseil national de la révolution algérienne tout (CNRA)


      A l'indépendance, c'était bien pire !
      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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      • #4
        De plus, il y a avait beaucoup de prétendants. Beaucoup trop.
        La guerre pour le koursi avait commencé bien avant lors de la réunion du Conseil national de la révolution algérienne tout (CNRA)

        ça sera le cas avec le faux Hirak حتى الدجاج اصبحو زعماء وقادة في الحراك بفضل عباقرة بني اسرائيل فيسبوك واخواتها

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        • #5
          Foutaise

          Son illustre aïeul n'a jamais été "Roi d'Algérie" pour qu'il ait a renoncer a un quelconque droit sur un quelconque "trône" (sic).
          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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