Amer Ouali➖
La réhabilitation du général Benhadid, promis à mourir dans une cellule de prison par Ahmed Gaïd Salah, demontre le caractère arbitraire de toutes les décisions prises par l'ancien chef d'état-major de Bouteflika, qui agissait en dehors de toute légalité, seulement motivé par le désir d'assouvissement de son pouvoir personnel.
▪️La carrière de l'ancien vice-ministre de la défense aurait pu s'arrêter à la fin des annees 80 après une énième affaire sordide affaire dans la 3e Région militaire. Il fut convoyé nuitamment à Alger pour être sanctionné. Cheloufi lui sauva la tête.
▪️Dans l'armée où il s'est très mal illustré à Amgala, on reconnaît une seule qualité à Ahmed Gaid: c'est un besogneux capable de travailler sans arrêt sur une tâche. Mais il n'avait ni finesse ni sens de la stratégie. Son caractère bourru le privait d'amitiés. Il etait même regardé avec une certaine condescendance.
▪️C'est en connaissance de toutes ses faiblesses et de son caractère que Bouteflika avait décidé de le promouvoir au rang de chef d'état-major, doublé plus tard du poste de vice-ministre de la Défense.
Il est l'artisan du 4e mandat pendant lequel il a partagé le pouvoir avec Said, l'un aux Tagarins et l'autre à El Mouradia.
▪️C'est lui qui a destructuré le DRS pour se débarrasser de Toufik, après avoir viré ses proches l'un après l'autre.
▪️C'est après cela que Said a commencé à percevoir le danger Gaïd. Il a essayé de le neutraliser, sans succès.
▪️Son pouvoir a été un règlement de comptes sans fin. Il s'est vengé de tous ceux qui, à un moment ou un autre de sa carrière, lui ont manqué de considération. Et même de ceux qui l'ont aidé. Et pourquoi? Ses anciens bienfaiteurs le renvoyaient à ses moments difficiles où ils étaient plus puissants que lui. Il avait besoin de les rabaisser pour affirmer son pouvoir, décrypte un de ses anciens collègues.
▪️D'autres personnalités etaient promises à l'enfer, sans l'intervention divine du 23 décembre. ✍🏻 Amer Ouali / 06 Juillet 2020
La réhabilitation du général Benhadid, promis à mourir dans une cellule de prison par Ahmed Gaïd Salah, demontre le caractère arbitraire de toutes les décisions prises par l'ancien chef d'état-major de Bouteflika, qui agissait en dehors de toute légalité, seulement motivé par le désir d'assouvissement de son pouvoir personnel.
▪️La carrière de l'ancien vice-ministre de la défense aurait pu s'arrêter à la fin des annees 80 après une énième affaire sordide affaire dans la 3e Région militaire. Il fut convoyé nuitamment à Alger pour être sanctionné. Cheloufi lui sauva la tête.
▪️Dans l'armée où il s'est très mal illustré à Amgala, on reconnaît une seule qualité à Ahmed Gaid: c'est un besogneux capable de travailler sans arrêt sur une tâche. Mais il n'avait ni finesse ni sens de la stratégie. Son caractère bourru le privait d'amitiés. Il etait même regardé avec une certaine condescendance.
▪️C'est en connaissance de toutes ses faiblesses et de son caractère que Bouteflika avait décidé de le promouvoir au rang de chef d'état-major, doublé plus tard du poste de vice-ministre de la Défense.
Il est l'artisan du 4e mandat pendant lequel il a partagé le pouvoir avec Said, l'un aux Tagarins et l'autre à El Mouradia.
▪️C'est lui qui a destructuré le DRS pour se débarrasser de Toufik, après avoir viré ses proches l'un après l'autre.
▪️C'est après cela que Said a commencé à percevoir le danger Gaïd. Il a essayé de le neutraliser, sans succès.
▪️Son pouvoir a été un règlement de comptes sans fin. Il s'est vengé de tous ceux qui, à un moment ou un autre de sa carrière, lui ont manqué de considération. Et même de ceux qui l'ont aidé. Et pourquoi? Ses anciens bienfaiteurs le renvoyaient à ses moments difficiles où ils étaient plus puissants que lui. Il avait besoin de les rabaisser pour affirmer son pouvoir, décrypte un de ses anciens collègues.
▪️D'autres personnalités etaient promises à l'enfer, sans l'intervention divine du 23 décembre. ✍🏻 Amer Ouali / 06 Juillet 2020
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