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Etonnant qu'en Espagne, il puisse se dérouler des élections alors la Covid19 fait des ravages?
- Des élections régionales se sont déroulées en Galicie et au Pays basques ce dimanche. Deux scrutins qui n’ont pas souri à Podemos. En Galicie, les camarades de Pablo Iglesias n’ont remporté aucun siège au Parlement local alors qu’ils en avaient obtenu quatre aux élections de septembre 2016. Un résultat qualifié en son temps de prouesse dans une région considérée comme un bastion du Parti Populaire et du Bloc nationaliste galicien.
Au Pays basque, le parti d’extrême gauche a également subi un sérieux revers. De la 3e place qu’il occupait depuis 2016, avec 11 sièges au Parlement de Vitoria (la capitale de la province), il a chuté au 4e rang avec seulement 6 députés. Une débâcle qui profite au PSOE passant de 10 parlementaires à 11.
Dès l’annonce de ces résultats, Pablo Iglesias a reconnu la débâcle sur Twitter. «Aujourd'hui, notre parti politique a subi une défaite totale. Nous perdons une bonne partie de notre représentation au Parlement basque et sommes exclus du Parlement galicien. Nous devons faire une profonde autocritique et tirer les leçons des erreurs que nous avons commises», a-t-il écrit. Plusieurs voix au sein de Podemos demandent à ce qu’Iglesias assume sa part de responsabilité dans ces deux défaites.
Ce faux pas de Podemos au Pays basque a profité à la formation Bildu, grand soutien du Polisario dans la province. Les indépendantistes basques se maintiennent toujours à la 2e place avec 22 sièges contre 18 au scrutin de septembre 2016.
Les élections du 12 juillet ont été marquées, par ailleurs, par l’entrée de Vox au Parlement basque avec une seule députée. Une première qui confirme l’expansion de la formation d’extrême droite sur la carte politique espagnole.
Au Pays basque, la victoire est revenue au Parti nationaliste basque, autre appui du Polisario, alors que le Parti Populaire est sorti grand vainqueur en Galicie-.
Ya..bi.
- Des élections régionales se sont déroulées en Galicie et au Pays basques ce dimanche. Deux scrutins qui n’ont pas souri à Podemos. En Galicie, les camarades de Pablo Iglesias n’ont remporté aucun siège au Parlement local alors qu’ils en avaient obtenu quatre aux élections de septembre 2016. Un résultat qualifié en son temps de prouesse dans une région considérée comme un bastion du Parti Populaire et du Bloc nationaliste galicien.
Au Pays basque, le parti d’extrême gauche a également subi un sérieux revers. De la 3e place qu’il occupait depuis 2016, avec 11 sièges au Parlement de Vitoria (la capitale de la province), il a chuté au 4e rang avec seulement 6 députés. Une débâcle qui profite au PSOE passant de 10 parlementaires à 11.
Dès l’annonce de ces résultats, Pablo Iglesias a reconnu la débâcle sur Twitter. «Aujourd'hui, notre parti politique a subi une défaite totale. Nous perdons une bonne partie de notre représentation au Parlement basque et sommes exclus du Parlement galicien. Nous devons faire une profonde autocritique et tirer les leçons des erreurs que nous avons commises», a-t-il écrit. Plusieurs voix au sein de Podemos demandent à ce qu’Iglesias assume sa part de responsabilité dans ces deux défaites.
Ce faux pas de Podemos au Pays basque a profité à la formation Bildu, grand soutien du Polisario dans la province. Les indépendantistes basques se maintiennent toujours à la 2e place avec 22 sièges contre 18 au scrutin de septembre 2016.
Les élections du 12 juillet ont été marquées, par ailleurs, par l’entrée de Vox au Parlement basque avec une seule députée. Une première qui confirme l’expansion de la formation d’extrême droite sur la carte politique espagnole.
Au Pays basque, la victoire est revenue au Parti nationaliste basque, autre appui du Polisario, alors que le Parti Populaire est sorti grand vainqueur en Galicie-.
Ya..bi.