La situation en Algérie est différente de celle en Irak et Alger ne sera jamais Bagdad selon l’ex chef du gouvernement, Rédha Malek.
samedi 21 avril 2007.
Attentats à Alger en Algérie . Après une minute de silence observée à la mémoire des victimes de ces attentats, le président de l’ANR, M. Redha Malek, le premier à prendre la parole, a condamné « vivement » ces actes terroristes « provocateurs qui ont ciblé les symboles de l’Algérie indépendante », et a appelé tous les Algériens à faire front uni contre ce phénomène « destructeur ».
« Tout Algérien digne de ce nom a le devoir de combattre le terrorisme, à la fois en faisant preuve d’une vigilance à toute épreuve et en s’organisant pour une République libre et démocratique », a-t-il clamé. S’adressant aux militants des trois partis qui brandissaient, à l’occasion, des banderoles appelant à la paix et à l’éradication du terrorisme, M. Redha Malek a affirmé que « l’Algérie ne sera jamais l’Irak ou l’Afghanistan ». « Ceux qui veulent s’attaquer à notre pays se sont trompés d’adresse. « On est là aujourd’hui pour dénoncer, comme un seul homme, le terrorisme. Un terrorisme contre lequel on n’a pas cessé de lutter depuis une quinzaine d’années a-t-il ajouté.
Le président de l’ANR a souligné la « nécessité de poursuivre l’effort pour bâtir une coordination républicaine, laquelle devra s’élargir à toutes les forces vives de la Nation » Pour sa part le président de l’UDR Amara Benyounes n’a pas été par trente six chemins pour apporter des critiques à l’adresse du secrétaire général du FLN et de la porte-parole du parti des travailleurs, qui avaient animé mardi dernier un meeting à la salle omnisport Mohamed Boudiaf. « ça me reste en travers de la gorge d’entendre Louisa Hanoune et Abdelaaziz Belkhadem parler de la lutte contre le terrorisme. Il y a lieu de rappeler de l’un et l’autre étaient à saint’Egidio ».
samedi 21 avril 2007.
Attentats à Alger en Algérie . Après une minute de silence observée à la mémoire des victimes de ces attentats, le président de l’ANR, M. Redha Malek, le premier à prendre la parole, a condamné « vivement » ces actes terroristes « provocateurs qui ont ciblé les symboles de l’Algérie indépendante », et a appelé tous les Algériens à faire front uni contre ce phénomène « destructeur ».
« Tout Algérien digne de ce nom a le devoir de combattre le terrorisme, à la fois en faisant preuve d’une vigilance à toute épreuve et en s’organisant pour une République libre et démocratique », a-t-il clamé. S’adressant aux militants des trois partis qui brandissaient, à l’occasion, des banderoles appelant à la paix et à l’éradication du terrorisme, M. Redha Malek a affirmé que « l’Algérie ne sera jamais l’Irak ou l’Afghanistan ». « Ceux qui veulent s’attaquer à notre pays se sont trompés d’adresse. « On est là aujourd’hui pour dénoncer, comme un seul homme, le terrorisme. Un terrorisme contre lequel on n’a pas cessé de lutter depuis une quinzaine d’années a-t-il ajouté.
Le président de l’ANR a souligné la « nécessité de poursuivre l’effort pour bâtir une coordination républicaine, laquelle devra s’élargir à toutes les forces vives de la Nation » Pour sa part le président de l’UDR Amara Benyounes n’a pas été par trente six chemins pour apporter des critiques à l’adresse du secrétaire général du FLN et de la porte-parole du parti des travailleurs, qui avaient animé mardi dernier un meeting à la salle omnisport Mohamed Boudiaf. « ça me reste en travers de la gorge d’entendre Louisa Hanoune et Abdelaaziz Belkhadem parler de la lutte contre le terrorisme. Il y a lieu de rappeler de l’un et l’autre étaient à saint’Egidio ».