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Choix logique à moins d'être cinglés.
- Le groupe parlementaire pour l'amitié mauritano-sahraouie vient de voir le jour. Presque toutes les grandes formations représentées au Parlement (monocaméral) sont réunies dans le tour de table de l’instance, avec une mention particulière pour le parti présidentiel de l’Union pour la République, fondé par l’ancien chef de l’Etat, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, mais qui a apporté son soutien à son successeur lors du scrutin du 22 juin 2019.
Ainsi sur les dix députés membres du groupe, six portent les couleurs de l’UpR. Néanmoins, la présidence est revenue à Othman Ahmed Othman de l’Union pour la Démocratie et le Progrès (gauche).
Au grand dam des «frères» de Saad-Eddine El Othmani, les islamistes du Rassemblement National de la Réforme Sociale (TAWASOL, selon son acronyme en arabe) sont également représentés au groupe d’amitié par deux parlementaires : Idrissa Bellali Kamra et Saadani Mohamed Khitour.
Pour mémoire le président de TAWASOL, Mohamed Ahmed Ben Sidi, avait reçu en novembre 2019 dans les locaux du parti à Nouakchott, «le ministre des Affaires étrangères» du Polisario, Mohamed Salem Ould Salek. Un accueil qui avait fait bondir en son temps la direction du PJD au point de proférer des menaces. «Le Parti Justice et Développement exprime son rejet total de cette démarche erronée qui affecte négativement les relations entre nos partis», avait réagi le secrétariat général de la Lampe.
Dans la précédente législature (décembre 2013-septembre 2018), la Chambre des représentants mauritanienne comptait déjà un groupe d’amitié avec le Polisario présidé par le député Habib Ould Diah. Celui-ci a été désigné récemment président de la commission d'enquête parlementaire chargée de passer au crible les onze années de règne de l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz.
Au Maroc, il existe dans l’actuelle composition de la Chambre des représentants un groupe d’amitié maroco-mauritanienne, présidé par le sahraoui Ali Razma du PJD.
Ya...bi
- Le groupe parlementaire pour l'amitié mauritano-sahraouie vient de voir le jour. Presque toutes les grandes formations représentées au Parlement (monocaméral) sont réunies dans le tour de table de l’instance, avec une mention particulière pour le parti présidentiel de l’Union pour la République, fondé par l’ancien chef de l’Etat, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, mais qui a apporté son soutien à son successeur lors du scrutin du 22 juin 2019.
Ainsi sur les dix députés membres du groupe, six portent les couleurs de l’UpR. Néanmoins, la présidence est revenue à Othman Ahmed Othman de l’Union pour la Démocratie et le Progrès (gauche).
Au grand dam des «frères» de Saad-Eddine El Othmani, les islamistes du Rassemblement National de la Réforme Sociale (TAWASOL, selon son acronyme en arabe) sont également représentés au groupe d’amitié par deux parlementaires : Idrissa Bellali Kamra et Saadani Mohamed Khitour.
Pour mémoire le président de TAWASOL, Mohamed Ahmed Ben Sidi, avait reçu en novembre 2019 dans les locaux du parti à Nouakchott, «le ministre des Affaires étrangères» du Polisario, Mohamed Salem Ould Salek. Un accueil qui avait fait bondir en son temps la direction du PJD au point de proférer des menaces. «Le Parti Justice et Développement exprime son rejet total de cette démarche erronée qui affecte négativement les relations entre nos partis», avait réagi le secrétariat général de la Lampe.
Dans la précédente législature (décembre 2013-septembre 2018), la Chambre des représentants mauritanienne comptait déjà un groupe d’amitié avec le Polisario présidé par le député Habib Ould Diah. Celui-ci a été désigné récemment président de la commission d'enquête parlementaire chargée de passer au crible les onze années de règne de l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz.
Au Maroc, il existe dans l’actuelle composition de la Chambre des représentants un groupe d’amitié maroco-mauritanienne, présidé par le sahraoui Ali Razma du PJD.
Ya...bi