Tebboune déclare la guerre à la corruption
lechiffredaffaires.com
Par LCA Juil 20, 2020
Le président de la République Abdelmadjid Tebboune a déclaré la guerre contre la corruption qui gangrène notre pays. C’est ce qui ressort de la rencontre périodique tenue dimanche avec des journalistes.
En réponse à une question de l’un nos confrères et portant sur les ressources que l’Etat compte utiliser pour subvenir au besoin du développement national, le Président Tebboune a répondu que «L’argent existe dans le pays et je sais comment je vais le récupérer. Il s’agit entre autres de l’argent sale qui est toujours là et qui a même servi à déclencher des contestations».
Plus loin encore, le Président Tebboune a fermement critiqué ce qu’il appelle «la petite corruption qui est encore plus dangereuse». Il a même personnalisé son approche en parlant de la «corruption qui existe pour avoir un livret foncier alors que c’est un droit légitime du citoyen».
Le Président Tebboune a fait état de «certains fonctionnaires des services des impôts qui sont maintenant en prison parce qu’ils ont voulu prendre et négocier des pots-de-vin lors des redressements fiscaux qui ont été effectués» auprès de certains hommes d’affaires.
Le président de la République a appelé les citoyens à contribuer dans la lutte contre la corruption «en signalant» les cas qui peuvent intervenir dans la société.
Sur un autre volet, Tebboune s’est montré confiant quant à la situation économique du pays notamment en prévoyant des revenus de «25 milliards de dollars pour les hydrocarbures ainsi que des revenus similaires de l’agriculture».
Il s’est montré très rassuré également par rapport à la «multitude des partenaires étrangers» qui peuvent s’engager dans des investissements dans notre pays particulièrement dans le domaine minier.
Pour ce qui est de la France, il a souligné qu’elle n’était pas «exclue» dans de cette nouvelle dynamique de l’investissement que connaît le pays» dans un cadre d’intérêts mutuels tout en insistant encore une fois sur la nécessité pour ce pays européen de reconnaître «ses crimes durant la période coloniale en Algérie».
Aziz.Latreche
lechiffredaffaires.com
Par LCA Juil 20, 2020
Le président de la République Abdelmadjid Tebboune a déclaré la guerre contre la corruption qui gangrène notre pays. C’est ce qui ressort de la rencontre périodique tenue dimanche avec des journalistes.
En réponse à une question de l’un nos confrères et portant sur les ressources que l’Etat compte utiliser pour subvenir au besoin du développement national, le Président Tebboune a répondu que «L’argent existe dans le pays et je sais comment je vais le récupérer. Il s’agit entre autres de l’argent sale qui est toujours là et qui a même servi à déclencher des contestations».
Plus loin encore, le Président Tebboune a fermement critiqué ce qu’il appelle «la petite corruption qui est encore plus dangereuse». Il a même personnalisé son approche en parlant de la «corruption qui existe pour avoir un livret foncier alors que c’est un droit légitime du citoyen».
Le Président Tebboune a fait état de «certains fonctionnaires des services des impôts qui sont maintenant en prison parce qu’ils ont voulu prendre et négocier des pots-de-vin lors des redressements fiscaux qui ont été effectués» auprès de certains hommes d’affaires.
Le président de la République a appelé les citoyens à contribuer dans la lutte contre la corruption «en signalant» les cas qui peuvent intervenir dans la société.
Sur un autre volet, Tebboune s’est montré confiant quant à la situation économique du pays notamment en prévoyant des revenus de «25 milliards de dollars pour les hydrocarbures ainsi que des revenus similaires de l’agriculture».
Il s’est montré très rassuré également par rapport à la «multitude des partenaires étrangers» qui peuvent s’engager dans des investissements dans notre pays particulièrement dans le domaine minier.
Pour ce qui est de la France, il a souligné qu’elle n’était pas «exclue» dans de cette nouvelle dynamique de l’investissement que connaît le pays» dans un cadre d’intérêts mutuels tout en insistant encore une fois sur la nécessité pour ce pays européen de reconnaître «ses crimes durant la période coloniale en Algérie».
Aziz.Latreche
Commentaire