Le contentieux opposant la filiale de SPC Londres, de Sonatrach, à la société publique EDL (Electricité du Liban) semble trouver une issue.
Après avoir bloqué les livraisons de fuel, en raison de la saisie de deux de ses navires transportant du carburant, Sonatrach est revenu sur sa décision en livrant, 35 000 tonnes de fuel à l’EDL et une autre livraison aura lieu dans les jours à venir.
C’est le ministre libanais de l’Energie, Raymond Rajar, qui l’a annoncé pour rassurer l’opinion publique, sur l’approvisionnement en gasoil des centrales électriques qui alimentent les Libanais en énergie.
Le ministre a parlé d’un premier chargement de Sonatrach, qui a permis de reprendre la production énergétique et d’alimenter le réseau électrique du pays, paralysé par des pannes récurrentes.
Au début de mois de juillet, le même ministre a évoqué la saisie de deux navires de la SPC Londres, chargés de gasoil et destinés à l’EDL, sur décision de la justice, qui enquête sur des présumées cargaisons de fuel de mauvaise qualité.
Pour justifier les pannes des centrales électriques et le rationnement de l’alimentation en énergie, il a affirmé au parterre de journalistes que Sonatrach avait décidé de ne plus approvisionner l’EDL, et qu’elle a exprimé son intention de ne plus reconduire le contrat. Mais, le même ministre avait laissé entendre que des «négociations» étaient en cours pour parvenir à une solution.
le midi libre
Après avoir bloqué les livraisons de fuel, en raison de la saisie de deux de ses navires transportant du carburant, Sonatrach est revenu sur sa décision en livrant, 35 000 tonnes de fuel à l’EDL et une autre livraison aura lieu dans les jours à venir.
C’est le ministre libanais de l’Energie, Raymond Rajar, qui l’a annoncé pour rassurer l’opinion publique, sur l’approvisionnement en gasoil des centrales électriques qui alimentent les Libanais en énergie.
Le ministre a parlé d’un premier chargement de Sonatrach, qui a permis de reprendre la production énergétique et d’alimenter le réseau électrique du pays, paralysé par des pannes récurrentes.
Au début de mois de juillet, le même ministre a évoqué la saisie de deux navires de la SPC Londres, chargés de gasoil et destinés à l’EDL, sur décision de la justice, qui enquête sur des présumées cargaisons de fuel de mauvaise qualité.
Pour justifier les pannes des centrales électriques et le rationnement de l’alimentation en énergie, il a affirmé au parterre de journalistes que Sonatrach avait décidé de ne plus approvisionner l’EDL, et qu’elle a exprimé son intention de ne plus reconduire le contrat. Mais, le même ministre avait laissé entendre que des «négociations» étaient en cours pour parvenir à une solution.
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