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Oh, ô Louiza

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  • Oh, ô Louiza

    Louisa

    Par l'imposte regardant
    Il faisait encore nuit
    Mon cœur plein de tourments
    Comment l'apaiser maintenant
    Le dur exil est ainsi
    Ma misère commence aujourd'hui

    Oh... patiente, Louisa
    Je pleure beaucoup moi aussi.

    Dehors, je vois
    L’automobile qui m’attend
    Peiné, elle, sachant
    Mon départ, elle le verra
    La pluie tombant
    Comme de la tristesse sur moi

    Oh, patiente, Louiza
    Je pleure beaucoup, moi aussi

    Je suis parti
    Eau et larmes mélangées
    J’ai tant pleuré
    Avec moi, le temps de pluie
    Je m’en souviendrai
    Triste fut le ciel aussi

    Oh, patiente, Louiza
    Je pleure beaucoup, moi aussi

    J'ai salué
    La montagne qui regardait
    La maison est
    Comme une ombre paraissant
    Ta photo dans
    Ma poche, m'accompagnant

    Oh, patiente Louiza
    Je pleure beaucoup, moi aussi

    Oh, ô Louiza
    Je pleure beaucoup, moi aussi
    L’épreuve passera
    Passera ce qui est écrit

    Je compte les jours
    Une minute dure une année
    Souffrant toujours
    Même si le cœur patientant
    Te voir, rêvant
    Même pour une seule journée
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    thin yebgha wuliw

    ( mon cœur se déchire )

    En deux, mon cœur se déchire
    Sur celle que je désire
    Un seul chemin indiqué
    Mes parents refusent et
    Ma jeunesse hypothéquée
    Dieu, sur ma maladie, sait


    La fille de ta tante t’est choisie
    Elle rendra heureuse ta vie
    Point de discorde, il y aura
    Si on essuie un refus
    Tout seul, te débrouilleras
    Notre fils, tu ne seras plus
    Va chercher à changer
    Ton nom, tu seras renié
    Ta trace, sort de la lignée

    Ô parents, comprenez-moi
    Si vous m'aimez, il faudra
    Me souhaiter, tous, la paix
    Si j'épouse ma cousine et
    Je ne la veux, ni me veut
    Pas la même mentalité
    Laissez-nous, donc, chercher
    Elle et moi, comme on peut
    Chacun trouvera ce qu'il veut

    Tu veux une fille qui te prenne
    Pour elle, seule, que tu deviennes
    Un homme sans sa dignité
    C’est elle qui va décider
    Tous tes amis, t’enlever
    Sa mère deviendra la tienne
    Ton honneur, piétiné
    Comme du bétail, gardé
    Et Dieu, Seul, peut te sauver

    J’aime une fille de lignée
    Née au pays adoré
    Où l’on est digne de respect
    Elle sait élever, cuisiner
    De la maison s’occupant
    Et sa seule vue égayant
    Très bonne, posée, sensée
    Tous deux, va vous aimer
    Comme elle, vous ne trouverez.

    dz(0000/1111)dz

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    • #3
      djamila

      Compagnon, assez pleuré
      Ce qui te dépasse, laisse-le
      La chance vient, différée
      On ne peut pas la changer
      Habitués, tous les deux
      Construite, vite, effondrée.
      dz(0000/1111)dz

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      • #4
        khthavgh ismim

        Ma ketvegh ismim (Si j’écris ton nom)

        Si j'écris ton nom sur les murs
        Si je parle aux gens de toi
        Tu oublies, tu n'en as cure
        Laisse le cœur espérer, là


        Tous les jours, je parle de toi
        Mon cœur est triste, tourmenté
        Je ne peux le faire patienter
        Réponds, Ô celle qu'il languit
        Pour toi, à la lune, j'irai
        L'impossible sera admis
        Ton nom, je l'y écrirai
        Chaque nuit, il t'apparaîtra.

        J'ai écrit ton nom sur le mur
        Sur la table de l'école
        Je l'ai écrit pour que tu le voies
        Lui et mon prénom se collent
        Tu les trouveras où tu iras
        Même étant si loin de toi
        Tu comprendras que c'est dur
        Pour mon cœur, toutes ses blessures

        En témoignera l'oranger
        Ton nom, je l'y ai gravé
        A ce jour, il y est bien
        Même s'il est devenu ancien
        Vieilli comme notre amour qui
        Unit nos deux cœurs ainsi
        Le feuillage, par le temps, pourri
        Les racines, neuves, sont restées.



        Dernière modification par katiaret, 01 août 2020, 09h54.
        dz(0000/1111)dz

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        • #5
          A lbir n ssem

          Ddunit lbir n ssem ( La vie, un puits de venin )

          Ô vie, un puits de poison
          Et amère comme le laurier*
          Mon cœur t'a changé de nom
          Ton goût, pour lui, est tombé
          Croyant jouer avec toi
          Et grand, tu te joues de moi


          L’âme, de soupirs, rassasiée
          On dit seulement bien aller
          Mon cœur, sa peine l’a trouvé
          Même s’il paraît s’amuser
          Que lui dire car il le sait
          Il sait la vie : une risée

          On prétexte qu’on est malades
          Même si le mal est ancien
          Comme la vigne, il nous entrave
          Là où l’on va, il nous tient
          Et cela ne s’arrête pas
          Ô vie, tu veux tout cela

          Nous redoutons l'au-delà
          Et la souffrance de la vie
          L'angoisse, aujourd'hui, demain
          La peur, le soir, le matin
          On nous dit que c'est écrit
          L'homme étant né pour cela.

          dz(0000/1111)dz

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          • #6
            A zin arqaq

            A zin arqaq (Ô beauté fine)

            Le Tout-Puissant t’a créée
            Qui te voit est inspiré
            Tu m’as envoûté, beauté fine
            Ton visage flambe, illumine

            Ô beauté fine, ô beauté fine
            Ta figure flambe, illumine

            Quand elle va chercher de l'eau
            Sur elle, chantent les oiseaux
            Étonnés, ceux qui la voient
            Les garçons perdant la voix
            Le cœur ne voulant que toi
            Que toi, ô face de l'aura

            dz(0000/1111)dz

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