Le one man show arrogant auquel s'est livré le président français à Beyrouth, est tout simplement indécent!
Les réprobations pleuvent à l'encontre d'Emmanuel Macron depuis son arrivée à Beyrouth où il est accusé d’ingérence dans la vie politique libanaise.
C'est tout de même extraordinaire: un président qui ne bénéficie chez lui que de 20 pourcent d'opinion favorable, qui fait face depuis deux ans aux revendications et aux manifestations. L'ampleur de sa gestion catastrophique de Covid-19 qui n'a fait qu'amplifier débarque au Liban . Cependant, au nom d'une tradition colonialiste, il s'autorise à menacer sur les ruines de Beyrouth l'État libanais lui fixant même un ultimatum.
Emmanuel Macron veut deux choses : changer le système politique au Liban(!!!), internationaliser l'enquête sur la double explosion de 4 août dans un remake du scénario de l'assassinat de 2005 de Rafic Haariri, scénario concocté par la CIA et le Mossad pour pousser l'armėe syrienne hors du sud du Liban, faire du ciel libanais une arrière base de l'armée de lair israélienne et tout ceci en prévision de la guerre de 2006 contre le Liban.
La double explosion du 4 août dont les images fraîchement analysées mettent scène son origine balistique ne pourrait qu'avoir été perpétrée dans la pure tradition du 11 septembre, mais cette fois dans le strict objectif de supprimer le Hezbollah de la scène et de le désarmer. Le scénario signé Us/Israel a encore une fois un catalyseur: la France Israélisée!
En visite à Beyrouth après une double explosion dévastatrice, le président français a réclamé jeudi une enquête internationale en appelant à un « profond changement » venant de la classe dirigeante libanaise.
« Si (les) réformes ne sont pas faites, le Liban continuera de s'enfoncer », a-t-il proféré avant d’ajouter : « Il y a aujourd'hui une crise politique, morale, économique et financière qui dure depuis plusieurs mois, plusieurs années et celle-ci implique des initiatives politiques fortes ».
Des propos qui ont fait grincer des dents, Julien Bayou, le secrétaire national d'EELV, sur Twitter:
« Fin du protectorat français du Liban, 1941. Indépendance, 1944. La solidarité avec le #Liban doit être inconditionnelle ».
Au rassemblement national, le vice-président, Jordan Bardella a écrit sur le même réseau:
« Le soutien de la France au peuple libanais dans cette tragédie ne se discute pas. En revanche, le one man show arrogant et moralisateur auquel s'est livré Emmanuel Macron, aujourd'hui à Beyrouth, est indécent ».
Le leader de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon a critiqué la visite présidentielle organisée deux jours après les terribles explosions qui ont touché la capitale libanaise.
« Je mets en garde contre une ingérence dans la vie politique du Liban. Elle ne sera pas acceptée… Le Liban n'est pas un protectorat français», a-t-il également écrit sur les réseaux sociaux.
Et L'accueil populaire que Macaron a reçu à Gemmayzeh, il ne le trouve pas en France…sur aucun point car les Français ne croient plus à ses mensonges.
Macron est arrivé au Liban tel le chef des forces armées françaises touchant les côtes libanaises pour sauver ses habitants. Il a tenté de se faire aimer des Libanais dans tous les choses qu’il a pu dire, suggérant par là aussi que l'autorité qu'il avait rencontrée au Liban, que ce soit la classe dirigeante ou l’opposition, n’était qu’une autorité temporaire dont la fin s’approchait. Il a même évoqué une initiative nouvelle.
Le ministre libanais des Affaires étrangères, Charbel Wahba, a déclaré au site web, al-Araby al-Jadeed: «Nous n'avons pas encore connaissance d'une initiative politique française et bien sûr nous discuterons de cette question lors de notre réunion», qui se tiendra au palais de Baabda. Il a précisé que tout soutien français ne serait acceptable que sous réserve du respect de l’unité nationale et des coopérations en interne entre les partis politiques. Wahda a insisté aussi sur la restauration de la confiance populaire.
« Les violentes explosions qui ont secoué Beyrouth mardi ont fait au moins 157 morts et des dizaines de personnes restent portées disparues », a déclaré jeudi le porte-parole du ministère libanais de la Santé.
« Jusqu’à présent, le bilan est de plus de 157 morts et 5 000 blessés », a indiqué Rida Moussaoui.
Les deux énormes explosions dues selon les autorités à un incendie dans un entrepôt abritant une énorme quantité de nitrate d’ammonium au port de Beyrouth, ont également fait quelque 300 000 sans-abri.
07 août 2020 Pars Today
Les réprobations pleuvent à l'encontre d'Emmanuel Macron depuis son arrivée à Beyrouth où il est accusé d’ingérence dans la vie politique libanaise.
C'est tout de même extraordinaire: un président qui ne bénéficie chez lui que de 20 pourcent d'opinion favorable, qui fait face depuis deux ans aux revendications et aux manifestations. L'ampleur de sa gestion catastrophique de Covid-19 qui n'a fait qu'amplifier débarque au Liban . Cependant, au nom d'une tradition colonialiste, il s'autorise à menacer sur les ruines de Beyrouth l'État libanais lui fixant même un ultimatum.
Emmanuel Macron veut deux choses : changer le système politique au Liban(!!!), internationaliser l'enquête sur la double explosion de 4 août dans un remake du scénario de l'assassinat de 2005 de Rafic Haariri, scénario concocté par la CIA et le Mossad pour pousser l'armėe syrienne hors du sud du Liban, faire du ciel libanais une arrière base de l'armée de lair israélienne et tout ceci en prévision de la guerre de 2006 contre le Liban.
La double explosion du 4 août dont les images fraîchement analysées mettent scène son origine balistique ne pourrait qu'avoir été perpétrée dans la pure tradition du 11 septembre, mais cette fois dans le strict objectif de supprimer le Hezbollah de la scène et de le désarmer. Le scénario signé Us/Israel a encore une fois un catalyseur: la France Israélisée!
En visite à Beyrouth après une double explosion dévastatrice, le président français a réclamé jeudi une enquête internationale en appelant à un « profond changement » venant de la classe dirigeante libanaise.
« Si (les) réformes ne sont pas faites, le Liban continuera de s'enfoncer », a-t-il proféré avant d’ajouter : « Il y a aujourd'hui une crise politique, morale, économique et financière qui dure depuis plusieurs mois, plusieurs années et celle-ci implique des initiatives politiques fortes ».
Des propos qui ont fait grincer des dents, Julien Bayou, le secrétaire national d'EELV, sur Twitter:
« Fin du protectorat français du Liban, 1941. Indépendance, 1944. La solidarité avec le #Liban doit être inconditionnelle ».
Au rassemblement national, le vice-président, Jordan Bardella a écrit sur le même réseau:
« Le soutien de la France au peuple libanais dans cette tragédie ne se discute pas. En revanche, le one man show arrogant et moralisateur auquel s'est livré Emmanuel Macron, aujourd'hui à Beyrouth, est indécent ».
Le leader de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon a critiqué la visite présidentielle organisée deux jours après les terribles explosions qui ont touché la capitale libanaise.
« Je mets en garde contre une ingérence dans la vie politique du Liban. Elle ne sera pas acceptée… Le Liban n'est pas un protectorat français», a-t-il également écrit sur les réseaux sociaux.
Et L'accueil populaire que Macaron a reçu à Gemmayzeh, il ne le trouve pas en France…sur aucun point car les Français ne croient plus à ses mensonges.
Macron est arrivé au Liban tel le chef des forces armées françaises touchant les côtes libanaises pour sauver ses habitants. Il a tenté de se faire aimer des Libanais dans tous les choses qu’il a pu dire, suggérant par là aussi que l'autorité qu'il avait rencontrée au Liban, que ce soit la classe dirigeante ou l’opposition, n’était qu’une autorité temporaire dont la fin s’approchait. Il a même évoqué une initiative nouvelle.
Le ministre libanais des Affaires étrangères, Charbel Wahba, a déclaré au site web, al-Araby al-Jadeed: «Nous n'avons pas encore connaissance d'une initiative politique française et bien sûr nous discuterons de cette question lors de notre réunion», qui se tiendra au palais de Baabda. Il a précisé que tout soutien français ne serait acceptable que sous réserve du respect de l’unité nationale et des coopérations en interne entre les partis politiques. Wahda a insisté aussi sur la restauration de la confiance populaire.
« Les violentes explosions qui ont secoué Beyrouth mardi ont fait au moins 157 morts et des dizaines de personnes restent portées disparues », a déclaré jeudi le porte-parole du ministère libanais de la Santé.
« Jusqu’à présent, le bilan est de plus de 157 morts et 5 000 blessés », a indiqué Rida Moussaoui.
Les deux énormes explosions dues selon les autorités à un incendie dans un entrepôt abritant une énorme quantité de nitrate d’ammonium au port de Beyrouth, ont également fait quelque 300 000 sans-abri.
07 août 2020 Pars Today
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