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Abderrachid Tabi : " L'Algérie assiste à une contre-révolution sur les acquis du 22 février"

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  • Abderrachid Tabi : " L'Algérie assiste à une contre-révolution sur les acquis du 22 février"

    Le Premier président de la Cour suprême, Abderrachid Tabi a supervisé aujourd’hui l’installation du président de la Cour Mohamed Kouardi et de Abdelmadjid Djebari comme procureur général à la Cour de la wilaya de Médéa.

    En effet, est lors de son discours qui s’est tenu aujourd’hui le 10 aout dans la wilaya de Médea, devant un rassemblement de représentants de la justice et des autorités civiles et militaires, dirigé par le wali de Médea, le chef de l’assemblée populaire de la wilaya, et des personnalités parlementaires de la wilaya, Abderrachid Tabi a expliqué que le mouvement qui s’est déroulé le 6 août dans la magistrature, par le Chef de l’état s’inscrit dans le cadre du renouvellement afin de donner un nouveau souffle à l’action judiciaire, améliorer le service public de Justice, et la reconsidération des fonctions qualitatives dans le corps de la justice.

    Mettant l’accent sur l’importance que revêt le principe de l’intégrité dans l’exercice de la profession du magistrat, il a également exprimé ses remerciements et sa gratitude à l’égard de ceux admis à la retraite car ils ont su préserver et défendre des valeurs tout au long de leur carrière, appelant les magistrats retraités à transmettre leur savoir-faire et leur expérience au profit de la corporation des juges.

    S’exprimant lors de la cérémonie au siège de la Cour suprême de Médea en l’honneur des deux nouveaux responsables, le même intervenant a ajouté : » L’Algérie assiste à une contre-révolution dans ces circonstances difficiles face aux acquis du mouvement populaire » Hirak », et que la société algérienne fait face à de grands défis en termes d’engagement sur les enjeux de ce pays, et chacun doit prendre conscience de la difficulté de cette étape », souligne le porte-parole, affirmant qu’il faut mieux prendre en charge les vestiges du mouvement populaire.

    Pour rappel, le Chef de l’état Abdelmadjid Tebboune a procédé le 06 juin dernier à un vaste mouvement dans le corps des présidents et procureurs généraux près les cours de justice comprenant des nominations, des magistrats appelés à occuper d’autres fonctions, et des fins de fonctions.


    Algérie eco

  • #2
    Je pense que le Hirak est noyauté. "Ils" (ces ténors autoproclamés) voulaient le détourner de ses buts populaires pour asseoir leurs agendas contre-révolutionnaires. Allah yahfadh al Djazaier
    Dernière modification par Elghifari, 11 août 2020, 01h39.

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    • #3
      C'est le pouvoir qui mène une contre-révolution contre le Hirak. Depuis 62, ces idiots au pouvoir ne savent gérer le pays que par les menaces sécuritaires. Ils voient les complots partout.

      Au lieu de satisfaire les revendications du Hirak et l'accompagné dans une transition démocratique. Ils ont choisi la situation du blocage politique qui risque de mener le pays à l'implosion sociale.
      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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      • #4
        le Liban et l Algérie des frères jumeaux la même gangrène corruption à tous les étages classe politique corrompu discrédite état mafieux oligarchie tout puissant

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        • #5
          N'importe quoi! Le Président d'une Cour suprême qui traite de politique, ceci est typiquement algérien! Partout ailleurs, le chargé à un tel poste se doit d'être neutre politiquement et laïque de confession.

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          • #6
            Les minables propos propagandistes du mafieux Abderrachid Tabi sont un énième exemple qui prouve qu'il n'y a pas de séparation des pouvoirs en Algérie et que la justice algérienne est une justice corrompue et soumise au cartel mafieux ANP/FLN. En Algérie, il n'y a malheureusement pas d'Etat de droit et de séparation des pouvoirs exécutif, législatif et juduciaire. Il y a un seul pouvoir en Algérie: le cartel mafieux ANP/FLN.

            A travers ses propos mensongers et complotistes, le mafieux Abderrachid Tabi dénonce lâchement et sans avoir le courage de l'avouer les Algériens qui critiquent et qui ne soutiennent pas le régime du mafieux Tebboune.

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