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Il faut croire que l’enquête et l’assistance technique demandées par le Président libanais à la France aient été justifiées par de sérieux soupçons concernant des raids sionistes qui ont mal tourné. Très mal tourné.
Et si la terrible et tragique explosion qui a emporté presque entièrement la ville de Beïrouth n’était pas accidentelle, ni même le fruit d’une sordide négligence… À mesure que le Liban panse ses plaies et qu’il commence à se remettre de son choc, les langues commencent à se délier. La cible initiale aurait été un chargement de projectiles appartenant au Hezbollah.
Netanyahu aurait même été sur le point de crier victoire, en revendiquant la paternité de cette criminelle frappe. Depuis, une totale omerta s’est abattue sur cette agression dont les tenants et aboutissants ne seront sans doute jamais révélés au grand public. De fait, il est de notoriété publique que les dirigeants occidentaux protègent l’entité sioniste quels qu’en soient les crimes et les écarts. Concrètement parlant, l’entité sioniste a déjà admis publiquement que le Hangar 12 n’était pas une unité de stockage d’armes du Hezbollah. Pourtant, le jour même de l’explosion de Beyrouth, et suite à une série d’explosions suspectes en Iran et à une forte tension à la frontière syro-israélienne, le Premier Ministre Netanyahu a tweeté : « Nous avons frappé une cellule et maintenant nous frappons les répartiteurs. Nous ferons ce qui est nécessaire pour nous défendre. Je leur suggère à tous, y compris au Hezbollah, d’y réfléchir ». Néanmoins, il faut souligner qu’une source d’information saoudienne, connue pour ses accointances et ses fréquents échanges avec le Mossad, les services secrets de l’entité sioniste, a soutenu que la cible initiale était des missiles du Hezbollah stockés dans le port de Beyrouth. Son histoire est que le Premier Ministre Netanyahu était sur le point de s’attribuer le mérite de la frappe – suite à son tweet.
Mais le Mossad a alors réalisé que l’opération s’était horriblement mal déroulée et s’était transformée en une catastrophe majeure.Même le Président Trump est entré dans la tragédie pour troubler les eaux – déjà contaminées – de la Méditerranée orientale. Briefé par « ses grands généraux », le président Trump a déclaré mardi : « Selon eux – ils le sauraient mieux que moi – mais ils semblent penser qu’il s’agit d’une attaque ». Trump a ajouté : « C’était une sorte de bombe ». Trump a finalement retiré ses commentaires après que le Pentagone ait refusé de confirmer ses dires sur ce que les « généraux » avaient dit et que son Secrétaire à la Défense, Mark Esper, ait soutenu l’explication de l’accident pour l’explosion. Il faut tout de même mentionner un rapport de l’agence de presse iranienne Mehr qui indique que quatre avions de reconnaissance de la marine américaine ont été repérés près de Beyrouth au moment des explosions. Depuis, il s’est agi pour tous d’effectuer un rapide rétropédalage.
Ce drame, qui a fait chuter le gouvernement de ce pays dans son entier, et plongé le pays dans sa plus grave crise jamais vécue depuis sa guere civile des années 1980, porte assurément la signature de ce belliqueux voisin du Sud. Si les dirigeants occidentaux, grâce aux technologies de pointe dont ils sont nantis, il est certain qu’aucun d’entre eux ne s’aventurera sur ce terrain marécageux de la recherche de la vérité, au risque de subir les foudres d’une campagne médiatico-politique planétaire. Pour le moment, donc, on s’empresse de faire étalage de sa compassion et de rassembler des fonds au profit de cette Nation profondément meurtrie. Tout porte à croire, donc, que cet énième crime sioniste va demeurer impuni…
En attendant, le récit selon lequel l’explosion de Beyrouth était la conséquence exclusive de la négligence et de la corruption de l’actuel gouvernement libanais est maintenant gravé dans le marbre.
lecourrierfalgerie
Et si la terrible et tragique explosion qui a emporté presque entièrement la ville de Beïrouth n’était pas accidentelle, ni même le fruit d’une sordide négligence… À mesure que le Liban panse ses plaies et qu’il commence à se remettre de son choc, les langues commencent à se délier. La cible initiale aurait été un chargement de projectiles appartenant au Hezbollah.
Netanyahu aurait même été sur le point de crier victoire, en revendiquant la paternité de cette criminelle frappe. Depuis, une totale omerta s’est abattue sur cette agression dont les tenants et aboutissants ne seront sans doute jamais révélés au grand public. De fait, il est de notoriété publique que les dirigeants occidentaux protègent l’entité sioniste quels qu’en soient les crimes et les écarts. Concrètement parlant, l’entité sioniste a déjà admis publiquement que le Hangar 12 n’était pas une unité de stockage d’armes du Hezbollah. Pourtant, le jour même de l’explosion de Beyrouth, et suite à une série d’explosions suspectes en Iran et à une forte tension à la frontière syro-israélienne, le Premier Ministre Netanyahu a tweeté : « Nous avons frappé une cellule et maintenant nous frappons les répartiteurs. Nous ferons ce qui est nécessaire pour nous défendre. Je leur suggère à tous, y compris au Hezbollah, d’y réfléchir ». Néanmoins, il faut souligner qu’une source d’information saoudienne, connue pour ses accointances et ses fréquents échanges avec le Mossad, les services secrets de l’entité sioniste, a soutenu que la cible initiale était des missiles du Hezbollah stockés dans le port de Beyrouth. Son histoire est que le Premier Ministre Netanyahu était sur le point de s’attribuer le mérite de la frappe – suite à son tweet.
Mais le Mossad a alors réalisé que l’opération s’était horriblement mal déroulée et s’était transformée en une catastrophe majeure.Même le Président Trump est entré dans la tragédie pour troubler les eaux – déjà contaminées – de la Méditerranée orientale. Briefé par « ses grands généraux », le président Trump a déclaré mardi : « Selon eux – ils le sauraient mieux que moi – mais ils semblent penser qu’il s’agit d’une attaque ». Trump a ajouté : « C’était une sorte de bombe ». Trump a finalement retiré ses commentaires après que le Pentagone ait refusé de confirmer ses dires sur ce que les « généraux » avaient dit et que son Secrétaire à la Défense, Mark Esper, ait soutenu l’explication de l’accident pour l’explosion. Il faut tout de même mentionner un rapport de l’agence de presse iranienne Mehr qui indique que quatre avions de reconnaissance de la marine américaine ont été repérés près de Beyrouth au moment des explosions. Depuis, il s’est agi pour tous d’effectuer un rapide rétropédalage.
Ce drame, qui a fait chuter le gouvernement de ce pays dans son entier, et plongé le pays dans sa plus grave crise jamais vécue depuis sa guere civile des années 1980, porte assurément la signature de ce belliqueux voisin du Sud. Si les dirigeants occidentaux, grâce aux technologies de pointe dont ils sont nantis, il est certain qu’aucun d’entre eux ne s’aventurera sur ce terrain marécageux de la recherche de la vérité, au risque de subir les foudres d’une campagne médiatico-politique planétaire. Pour le moment, donc, on s’empresse de faire étalage de sa compassion et de rassembler des fonds au profit de cette Nation profondément meurtrie. Tout porte à croire, donc, que cet énième crime sioniste va demeurer impuni…
En attendant, le récit selon lequel l’explosion de Beyrouth était la conséquence exclusive de la négligence et de la corruption de l’actuel gouvernement libanais est maintenant gravé dans le marbre.
lecourrierfalgerie
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