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Comment expliquer l'inanité morocco-sud-africaine?

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  • Comment expliquer l'inanité morocco-sud-africaine?

    - Le Maroc avait refusé de soutenir la décolonisation de l'Afrique du Sud, de l'Angola et du Mozambique.

    Certains médias sud-africains sont revenus sur les raisons ayant convaincu les pays de l’Afrique australe de ne pas soutenir la candidature du Maroc pour l’organisation de la Coupe du monde de 2026. «A ces Africains qui pleurent la perte du Maroc sur les terres africaines, sachez que ce pays n’est pas une nation africaine (…)», soutiennent certains titres, qui rappellent que le Makhzen a été le premier à trahir le continent en votant «contre» la candidature de l’Afrique du Sud pour l’organisation de la Coupe du monde de 2010.

    La même source rappelle également à ceux qui crient aujourd’hui à la «trahison» que le Maroc ne s’est jamais senti africain. Les médias sud-africains indiquent à ce propos qu’en 1963, le Maroc avait refusé de soutenir la décolonisation de l’Afrique du Sud, de l’Angola et du Mozambique..

    Ils ajoutent qu’en 1987, les Marocains avaient demandé à adhérer à l’Union européenne.:22:

    Les demi-mensonges du journal le Monde:

    Influente et longtemps en froid avec Rabat, l’Afrique du Sud entretient également désormais de bonnes relations avec le Maroc.

    Cyril Ramaphosa, son président, est marié à Tshepo Motsepe, la sœur du milliardaire Patrice Motsepe, patron du groupe Sanlam qui a racheté en mars le pôle assurances du marocain Saham pour 1,2 milliard d’euros. « N’oublions pas que Saham est la propriété de Moulay Hafid Elalamy [ministre marocain de l’industrie et président du comité d’organisation de la Coupe du monde 2026]. Ce genre d’opération confirme que les relations entre le Maroc et l’Afrique du Sud se renforcent. Avant le vote du 13 juin, cela n’est pas anodin », poursuit notre source diplomatique-.

    Coupe du monde 2026: onze pays africains lâchent le Maroc et votent Amérique

    Le Maroc n'aura pas la Coupe du monde de football 2026. Le congrès de la FIFA (Fédération internationale de football association), qui se tenait le 13 juin 2018, a en effet voté en faveur de la candidature présentée conjointement par les Etats-Unis, le Canada et le Mexique. Lors du vote, onze pays africains ont lâché le Maroc pour le trio américain.

    Les pays africains qui ont voté pour le trio Etats-Unis, Canada et Mexique sont le Bénin, le Botswana, le Cap Vert, la Guinée, le Lesotho, le Liberia, le Mozambique, la Namibie, l'Afrique du Sud, la Sierra Leone et le Zimbabwe. Le président de la CAF (Confédération africaine de football) avait pourtant appelé à une unité africaine sur ce vote-.

  • #2
    - Plus de carte tronquée du Sahara au siège de Sanlam en Afrique du sud?

    [B]C’est une information à prendre avec des pincettes ! Après les propos d’Othman Benjelloun, PDG de BMCE-Bank of Africa, au sujet de son désaccord avec la cession de Saham assurances au groupe Sud Africain Sanlam, la direction de Sanlam a réagi directement et indirectement. Rappelons que la source du désaccord est le soutien de l’Afrique du Sud au Polisario.

    Il y a deux jours, Othman Benjelloun avait clairement signifié que le deal conclu par Moulay Hafid Elalamy avec des Sud-Africains était une très mauvaise idée. Othman Benjelloun avait affirmé que « Les Marocains en général n’ont pas apprécié cette cession ». Pour lui, l’Afrique du sud est le pays africain « qui est le plus associé aux actions du Polisario ».

    Le doyen des banquiers a dit plusieurs autres choses mais ce qu’on peut comprendre grosso modo est que vendre une grande entreprise marocaine à des entreprises dans des pays qui soutiennent le Polisario devrait selon lui être absolument évité.

    Et Sanlam, deux jours après, ce jeudi, émet un communiqué où on peut lire : « Sanlam a pris connaissance d’articles faisant référence aux propos de Monsieur Othman Benjelloun concernant l’acquisition de Saham Finances par Sanlam ». En outre, le groupe Sanlam serait, selon le même communiqué, confiant relativement à « la force et la durabilité de son partenariat avec Saham Finances initié en début d’année 2016 ».

    Bladi...net, le 4 avril 2019 - 14h50 (extraits)

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    • #3
      Par défaut Comment expliquer l'inanité morocco-sud-africaine?


      inanité = inutilité.........:22:, et après ça ce ragoteur se permettra de donner des leçons d'orthographe aux membres de ce forum, quel naze......

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      • #4
        Inanité: ce qui est vain. Donc, comment comprendre l'inanité morocco- sud-africaine?

        Le soutien par la dictature marocaine à l'apartheid sud-africain en est-indubitablement, la cause majeure.

        Sinon, quelle autre explication censée?

        - Enfin, une troublante rumeur pourrait sérieusement constituer le point de rupture entre les ennemis de l’Apartheid et le Maroc. Selon notre deuxième source, le Polisario aurait saisi en 1979 un étrange butin de guerre suite à un raid contre les Forces armées royales (FAR). Il s’agirait de plusieurs automitrailleuses AML Panhard équipées de canons de 60 et 90 mm.

        Ces véhicules blindés porteraient des inscriptions rédigées dans une langue proche du néerlandais. Le représentant à l’époque de l’ANC à Alger, Thami Sindelo, aurait formellement reconnu l’origine sud-africaine de ces équipements. Si ces informations se révèlent exactes, le Maroc aurait violé l’embargo sur les armes imposé au régime de l’Apartheid par l’OUA et l’ONU.

        Si tel est le cas, la fracture avec les futurs hommes forts de l’Afrique du Sud est quasiment irrémédiable.

        Zamane.ma

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        • #5
          Ca vient des milliards de dollars gagnés par les sud africains sur le dos des algériens

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          • #6
            " Ca vient des milliards de dollars gagnés par les sud africains sur le dos des algériens "

            Tant qu'il s'agit des Sud-africains, pour ma part, je n'y vois aucun inconvénient puisque le pays de Mandela soutien la cause sahraouie et palestinienne.

            En revanche, je milite pour la fermeture des frontières terrestres algéro-marocaines dès lors que le colonisateur marocain du Sahara Occidental doit au préalable quitter cet en droit et nous discuterons des 8 milliards de dollars annuels non -engrangés par la dictature alaouite pour cause de son occupation du Sahara Occidental.

            - Pour une fois, et c’est exceptionnel, je considère que le pouvoir algérien a totalement raison. Ouvrir les frontières, pourquoi faire ? C’est contre-productif politiquement et économiquement.

            À la main tendue du Maroc, l’Algérie a répondu par un claquement de porte. La fermeture. La réaction était normale et prévisible. On ne fait pas la paix en pleine guerre. Une lapalissade. Quoique. Les Marocains voulaient certainement par cette piqûre de rappel pacifique, une ouverture, montrer encore une fois à tout le monde, où se trouvait la fermeture. Le blocage irrationnel. C’est fait. Chacun est dans son rôle. Et en plus, pour une fois, et c’est exceptionnel, je considère que le pouvoir algérien a totalement raison. Ouvrir les frontières, pourquoi faire ? C’est contre-productif politiquement et économiquement, et ça peut générer, à terme, des troubles incontrôlables. Une ouverture, ce sont près de 8 milliards de dollars par an qui iront dans la poche des Marocains sans contrepartie. Le Maroc a tout à leur vendre — sauf son âme, bien sûr — , l’inverse n’est malheureusement pas vrai.

            Ce sont des Algériens qui comparent ce qui se passe des deux côtés de la
            frontière. La réalité peut être traumatisante et le risque énorme, on peut le concevoir. Ce sont des peuples qui se rencontrent vraiment, sans clichés usés. Cette perspective du point de vue d’Alger est dangereuse… Et le reste est à l’avenant. Ils ont raison de maintenir ce pays fermé car la moindre brise venant de l’Ouest peut — pacifiquement— tout emporter sur son passage. Un point avant d’en finir : le retard pris par l’économie algérienne, au niveau régional, sur le plan de la compétitivité, de la libéralisation et de la mise à niveau rend toute ouverture impossible, probablement, pour au moins 15 ans. Et chaque jour qui passe aggrave la situation. L’affaire du Sahara a bon dos.

            Aujourd'hui le Maroc.

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