« De par sa taille et ses équipements, le stade de Baraki devrait être le plus moderne d’Algérie si l’on juge de la consistance du projet », affirme l’instance fédérale.
L’infrastructure visible de la rocade sud de la capitale comprend un terrain de football aux normes FIFA, d’un terrain de réplique et d’un parking d’une capacité de 2534 véhicules.
Le ministre de la Jeunesse et des sports Sid Ali Khaldi a effectué une visite sur les lieux, où il a annoncé le « règlement de tous les problèmes financiers en suspens » avec le groupe chinois CRCEG en charge de la réalisation ».
En décembre 2018, lors d’une visite sur le chantier, l’ex-ministre de la Jeunesse et des Sports Mohamed Hattab avait accusé l’entreprise chinoise de « tricherie ». Il avait laissé éclater sa colère en raison du « retard » considérable enregistré dans la réalisation de ce stade.
Lancé en 2004, en même temps que d’autres grands projets à Alger, le stade de Baraki, a connu une longue période d’arrêt et ce n’est qu’en 2009 que les travaux ont repris pour connaître ensuite d’autres retards.
« J’ai effectué samedi une visite inopinée au stade de Baraki et, malgré le très beau temps ce jour là, je n’ai trouvé sur chantier que 15 ouvriers. Cette situation est vraiment inadmissible », rapportait en mars 2018 Mohamed Hattab.
À moins de deux ans du CHAN 2022 organisé en Algérie, l’un des nouveaux stades attendu, celui de Baraki avance mais à un rythme toujours incertain.
Le wali d’Alger Youssef Charfa, s’est rendue dans les stades de Baraki et Douira pour inspecter l’avancement des travaux.
Le Wali a critiqué le retard dans le pourcentage des travaux au stade Baraki, qui variait à 58,2% seulement, alors que les travaux ont été lancés il y a près de dix ans.
Le stade de Baraki, censé être prêt en janvier 2020 ne sera pas livré avant le mois de juin 2021.
L’infrastructure visible de la rocade sud de la capitale comprend un terrain de football aux normes FIFA, d’un terrain de réplique et d’un parking d’une capacité de 2534 véhicules.
Le ministre de la Jeunesse et des sports Sid Ali Khaldi a effectué une visite sur les lieux, où il a annoncé le « règlement de tous les problèmes financiers en suspens » avec le groupe chinois CRCEG en charge de la réalisation ».
En décembre 2018, lors d’une visite sur le chantier, l’ex-ministre de la Jeunesse et des Sports Mohamed Hattab avait accusé l’entreprise chinoise de « tricherie ». Il avait laissé éclater sa colère en raison du « retard » considérable enregistré dans la réalisation de ce stade.
Lancé en 2004, en même temps que d’autres grands projets à Alger, le stade de Baraki, a connu une longue période d’arrêt et ce n’est qu’en 2009 que les travaux ont repris pour connaître ensuite d’autres retards.
« J’ai effectué samedi une visite inopinée au stade de Baraki et, malgré le très beau temps ce jour là, je n’ai trouvé sur chantier que 15 ouvriers. Cette situation est vraiment inadmissible », rapportait en mars 2018 Mohamed Hattab.
À moins de deux ans du CHAN 2022 organisé en Algérie, l’un des nouveaux stades attendu, celui de Baraki avance mais à un rythme toujours incertain.
Le wali d’Alger Youssef Charfa, s’est rendue dans les stades de Baraki et Douira pour inspecter l’avancement des travaux.
Le Wali a critiqué le retard dans le pourcentage des travaux au stade Baraki, qui variait à 58,2% seulement, alors que les travaux ont été lancés il y a près de dix ans.
Le stade de Baraki, censé être prêt en janvier 2020 ne sera pas livré avant le mois de juin 2021.
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