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Conférence de presse du collectif de défense de Khaled Drareni (vidéo)

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  • Conférence de presse du collectif de défense de Khaled Drareni (vidéo)

    Pour comprendre pourquoi et comment Khaled Drareni a été condamné à 3 ans de prison ferme

    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

  • #2
    Les avocats Zoubida Assoul et Abdelghani Badi sont unanimes : le dossier de Khaled Drareni a pris une autre tournure depuis l'intervention de Tebboune

    Abdelghani Badi est très explicite, Khaled Drareni a été interrogé sur son travail de journaliste : publications de vidéos sur le Hirak, son invitation par la chaine France 24 et son travail de collaborateur avec TV5 Monde.

    Il rajoute que depuis l'intervention à l'ENTV des 2 magistrats du tribunal de Sidi M’hamed qui ont réfuté les accusations selon lesquelles des journalistes ont été emprisonnés pour l’exercice de leurs fonctions, plus les déclarations de Tebboune face à la presse, les magistrats ont voulu dévier l'affaire Khaled Drareni sur des accusations qui n'existent pas dans le dossier
    Dernière modification par shadok, 12 août 2020, 19h13.
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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    • #3
      pour moi c est un jugement politique il n a aucun sens une des plus grosse erreur politique de Tebboune

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      • #4
        Abdelghani Badi est très explicite, Khaled Drareni a été interrogé sur son travail de journaliste : publications de vidéos sur le Hirak, son invitation par la chaine France 24 et son travail de collaborateur avec TV5 Monde.
        pourquoi ne dire la vérité
        Justement c'est la ou est le dilemme ..
        centre culturelle français lui a payé les billets ... et peut être le séjour
        il pourrait être un financement étrangere
        Dernière modification par Epicenter, 12 août 2020, 20h08.

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        • #5
          centre culturelle français lui a payé les billets ... et peut être le séjour
          il pourrait être un financement étrangere
          Il faut dans ce cas mettre en prison tous les algériens qui sont invités à des événements en France et pris en charge par des institutions

          Khaled Drareni a répondu à cette accusation ridicule. Il a expliqué qu’il était invité par SOS Racisme pour débattre de la xénophobie dont sont victimes les algériens en France. L'ONG a sollicité le CCF pour acheter les billets aux invités.
          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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          • #6
            Tebboune a été pris en charge en 2017 par des hommes d'affaires algériens et turques pour un voyage personnel en Turquie et en Moldavie

            Khaled Drareni est en prison, Tebboune est président

            Dernière modification par shadok, 12 août 2020, 21h30.
            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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            • #7
              shodok tu n'as donné pas suffisamment d'infomation

              l'avoccat abddrahmen saleh

              a partir 10:30 ..

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              • #8
                L’avocat dit la même chose ce que j'ai dis plu haut concernant l'invitation de SOS racisme

                Il répond à tes accusations
                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                • #9
                  - Benchicou le premier journaliste qui révélât l"imposture de BOUTEFLIKA et sa Bande de voleurs , il avait payé cash 2ans de geôle chez la dictatureoeilfermé





                  KHALED !
                  Par: Mohamed Benchicou
                  Et quand tu rentreras un jour, sur deux jambes retrouvées,
                  Quand tu regagneras le monde où nous avons tant rêvé,
                  De ta prison, apporte-nous quelques nuits blanches,
                  Ton pain rassis, tes puces et tes tristes dimanches,
                  Tes jours sans caresses, le goût des froides lentilles,
                  Le parfum des fleurs que tu n’as pas senties
                  Et tu offriras, Khaled, le tout un froid matin
                  Pour que l’on vive une heure du malheur ancien
                  Et une seule minute du calvaire de nos mères
                  Tu sortiras riche des mots que tu n’as pas concédés,
                  Des plaintes qu’ils ne t’auront pas arrachées
                  Gardiens des empires,
                  Donnez-nous un pays sans martyrs
                  Et nous oublierons vos serments !
                  Donnez-nous un pays sans beauté
                  Et nous oublierons ses femmes !
                  Donnez-nous un pays sans grandeur
                  Et nous oublierons le courage !
                  Donnez-nous un pays sans tyrans
                  Et nous casserons nos plumes !
                  Khaled, quand tu rentreras un jour,
                  Sur Alger il fera nuit,
                  Mais nous aurons su le secret de ses amants :
                  Alger est plus belle dans ses tourments.

                  Alger, le 12 août 2020
                  En hommage à Khaled Drareni
                  "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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                  • #10
                    Il répond à tes accusations
                    ِNon je n'ai aucune accusation je l' ai prit de son intervention.
                    oui il répond mais avoir raison ou ne lapas avoir ce n'est pas lui qui va décider ...

                    حُسِب و اُخِذ على فكرة ان م ث فرنسي تكفلت بتكاليف السفر




                    et apres il ajoute aussi que Drarni est jugé sur ses publications facebook


                    .
                    Dernière modification par Epicenter, 12 août 2020, 22h31.

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                    • #11
                      Envoyé par Epicenter
                      pourquoi ne pas dire la vérité
                      Justement c'est la ou est le dilemme ..
                      centre culturelle français lui a payé les billets ... et peut être le séjour
                      il pourrait être un financement étranger
                      Bien vu !
                      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                      • #12
                        Envoyé par Epicenter
                        centre culturelle français lui a payé les billets ... et peut être le séjour
                        Supposons que ce soit le cas: où est le problème? Le journaliste est membre de RSF et correspondant de médias français, en quoi c'est criminel pour un journaliste algérien d'avoir des activités médiatiques professionnelles avec des médias français?

                        T'es satisfait par le fait que l'Algérie soit classée parmi les derniers au monde dans la liberté de la presse, y compris derrière le Maroc et le Mali?

                        Les mafieux du cartel ANP/FLN ont totalement saboté et souillé l'Algérie. Le fait que notre pays soit classé 146e dans la liberté de la presse est une grande humiliation nationale. C'est en partie à cause de ce verrouillage médiatique que le mafieux Bouteflika a pu se maintenir au pouvoir pendant 20 ans y compris se faire réélire pour un 4e mandat en 2014 en étant totalement inapte et absent. Le verrouillage médiatique permet de maintenir beaucoup d'Algériens dans l'ignorance et de les manipuler avec la propagande mensongère officielle.

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                        • #13
                          Création du comité national de soutien à khaled drareni

                          Des journalistes et les avocats de la Défense du journaliste Khaled Drareni ont tenu une conférence de presse au siège de SOS Disparus, aujourd’hui 12 aout. Les intervenants que sont les avocats Zoubida Assoul et Abdelghani Badi ainsi que les journalistes Mohammed Sidoummou et Mohamed Iouanoughene ont annoncé la création du comité national de soutien à Khaled Drareni après sa condamnation par le tribunal de Sidi M’hamed à 3 ans de prison ferme le 10 aout. Ce comité est ouvert à toute la corporation de journalistes, les associations, les citoyens qui souhaitent se mobiliser pour la libération de Khaled Drareni.

                          Le procès d’un journaliste

                          « Nous vivons des jours tristes pour le journalisme algérien. La condamnation du journaliste Khaled Drareni à 3 prison ferme est sans président et contredit tous les discours du pouvoir qui évoque une nouvelle ère pour la presse algérienne, une liberté sans limite. Cette condamnation démontre qu’il s’agit de paroles mortes », déclare Mohammed Sidoummou, journaliste au quotidien d’El Khabar. «Khaled Drareni a été arrêté, emprisonné et jugé en sa qualité de journaliste. Tout ce qui s’est déroulé est anticonstitutionnel et illégal puisque l’article 51 de la constitution interdit l’emprisonnement d’un journaliste », ajoute-t-il. Le journaliste Mohamed Iouanoughene a rappelé que les questions posées à Khaled Drareni lors de son procès étaient directement liées à l’exercice de sa profession. « Si nous laissons passer ce dépassement, nous devrons nous plier à l’avenir à d’autres restrictions dans l’exercice de notre métier (…) La préservation de la liberté de la presse est un enjeu de société car elle implique le droit des citoyens à accéder à l’information ».

                          Les dessous de l’affaire Drareni

                          Zoubida Assoul est revenue sur le déroulement du procès où le journaliste Khaled Drareni, accusé « d’atteinte à l’unité nationale » et « incitation à attroupement non armé ». « Le dossier du journaliste a pris une autre tournure lorsque le chef de l’Etat, l’a qualifié d’espion. Nous nous sommes rendus compte de cette orientation lorsque le juge d’instruction chargé de questionner Khaled Drareni, l’a questionné sur des faits n’ayant aucun rapport avec le dossier », explique l’avocate. «Nous avons demandé, en tant que défense, de se restreindre au dossier. Le jour du procès, nous étions surpris de constater que la juge, dans ses questions, était sortie du dossier… A travers cette conférence, nous, les avocats de la défense tenons à éclairer l’opinion publique sur les dessous de l’affaire», poursuit-elle.

                          Quant à lui, Me Abdelghani Badi a mentionné les pressions externes dans la décision de justice rendue. Selon lui, la télévision nationale avait invité un procureur de la République qui avait déclaré qu’aucun journaliste algérien ne se trouvait en prison. « Nous avons conctacté le directeur de la télévision et nous lui avons rappelé que l’article 147 du Code pénal affirme que les actes, paroles et écrits publics ont pour but de faire pression sur les décisions des magistrats tant qu’une affaire n’est pas irrévocablement jugée », explique-t-il.

                          Communiqué du Comité national de soutien à Khaled Drareni

                          Le journaliste Khaled Drareni a été condamné à 3 ans de prison ferme le 10 août 2020 par le tribunal de Sidi M’hamed . Les avocats de la défense ont fait appel de cette décision. Khaled Drareni était poursuivi dans ce dossier 453 avec deux autres co-inculpés, Samir Belarbi et Slimane Hamitouche, pour les deux mêmes chefs d’accusation : incitation à attroupement non armé et atteinte à l’unité nationale. Le rapport de police judiciaire et l’acte d’accusation ne comportaient rien qui permette de soutenir de telles qualifications pour les trois prévenus arrêtés lors de la marche du Hirak du 07 mars 2020. Le procès a montré l’absence totale d’éléments à charge pour soutenir que les prévenus ont incité à l’attroupement ou porté atteinte à l’unité nationale. Le verdict aurait du, en toute conséquence, accéder à la demande de relaxe des avocats. Le tribunal en a décidé autrement. Il a condamné Samir Belarbi et Slimane Hamitouche à des peines fermes inférieures à la période de détention provisoire afin de préserver la décision politique de leur libération du 02 juillet dernier. Il a agit avec Khaled Drareni comme s’il était jugé pour d’autres faits, pour une autre affaire, non évoquée lors de l’audience du 03 aout. Pourtant, sa défense était des plus facile. La marche débutait à 200 m de son domicile de la rue Didouche Mourad. Il est sorti en assurer la couverture comme il l’a toujours fait depuis le 22 février 2019.

                          Khaled Drareni a été condamné à trois ans de prison parce qu’il était devenu impossible à l’appareil de la justice algérienne d’assumer en toute indépendance sa relaxe après l’interférence présidentielle à charge dans ce dossier le 02 mai dernier. En affirmant, sans le nommer, lors d’une rencontre de presse, que Khaled Drareni était khardji (un espion) et qu’il s’était rendu directement à une ambassade étrangère après avoir été libéré par les services de sécurité, le président Tebboune a prononcé sa condamnation de fait. La vérité est qu’il n’existe aucune allusion à de tels faits dans le dossier d’inculpation de Khaled Drareni. Il s’agit d’une invention malveillante colportée au sommet de l’Etat au but de justifier l’incarcération d’un des plus grands professionnels indépendants, qui a résisté des mois durant aux intimidations des services de sécurité afin qu’il renonce à sa couverture du mouvement populaire. Cette intrusion, sans précédent à ce niveau de l’Etat, dans une procédure judiciaire en cours a empêché le droit de s’exprimer dans un pays ou la décision de justice obéit à l’exécutif et au sécuritaire.

                          La condamnation de Khaled Drareni a provoqué un choc dans l’opinion algérienne. Elle a soulevé l’indignation de larges pans des citoyens mobilisés dans le Hirak pendant plus d’une année et pour lesquels Khaled Drareni incarne un témoin fidèle de leur sursaut salvateur et l’espoir d’une presse libérée. Elle a relancé une campagne mondiale jamais égalée en solidarité avec un citoyen algérien frappé par une brutale injustice, un journaliste reconnu par ses pairs. Elle a trainé l’Algérie devant les instances internationale en charge des droits humains. C’est une énorme faute politique. Elle ne doit pas se poursuivre un jour de plus. Il est urgent de sortir de l’engrenage du 02 mai 2020. Khaled Drareni doit être réhabilité. Il doit comparaitre libre à son procès d’appel, tout comme ses deux co-inculpés. La cour doit juger les éléments du dossier et rien d’autre. Le salut pour les institutions et l’image de l’Etat passe par là.

                          Casbah Tribune
                          13-08-2020
                          Dernière modification par shadok, 13 août 2020, 10h38.
                          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                          Commentaire


                          • #14
                            C’est une énorme faute politique. Elle ne doit pas se poursuivre un jour de plus. Il est urgent de sortir de l’engrenage du 02 mai 2020.
                            Bis repetita: il ne faut rien interdire et toute personne est libre de dire ou d'écrire ce que bon lui semble dans la limite des convenances. Seuls, ceux qui entendent ou lisent peuvent sanctionner l'auteur.
                            Je ne réponds jamais aux humanoïdes invertébrés...depuis plusieurs années. Vous pouvez vérifier.
                            La justice d'état intervient entre l'un et l'autre et faire appliquer la loi.
                            Dans ce cas, ne faut-il pas condamner certains de ce forum qui excellent dans le déni, le mensonge, la propagande fétide?
                            Pour le salut de l'Algérie, il faut libérer tous les journalistes sans exception

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                            • #15
                              Supposons que ce soit le cas: où est le problème? Le journaliste est membre de RSF et correspondant de médias français, en quoi c'est criminel pour un journaliste algérien d'avoir des activités médiatiques professionnelles avec des médias français?

                              Je ne vois ou est le problème lorsque on aborde un point qui n'a pas été cité dans le topic mais évoqué par son avocat ..mais penser qu je suis contre sa libération est trop exagéré ..

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