Recep Tayyip Erdogan, a déclaré qu’Ankara envisage de rompre ses relations diplomatiques avec les Émirats Arabes Unis (EAU) suite à l’accord de normalisation conclu avec Israël, un développement qualifié par la Turquie de "trahison de la Palestine"
Le président de la République de Turquie, Recep Tayyip Erdogan, a déclaré qu’Ankara envisage de rompre ses relations diplomatiques avec les Émirats Arabes Unis (EAU) suite à l’accord de normalisation conclu avec Israël, un développement qualifié par la Turquie de "trahison de la Palestine".
Le chef de l’État turc a répondu aux questions des journalistes, vendredi, après avoir participé à la prière du vendredi à Istanbul.
Le chef de l’État turc a été interpelé au sujet de l’accord entre Abou Dabi et Tel Aviv, annoncé jeudi soir par le président américain Donald Trump.
Pour lui, cet accord est une trahison de la Cause palestinienne.
"Nous sommes aux côtés du peuple palestinien. Nous n'avons jamais permis et ne permettrons que la Palestine soit dévorée", a-t-il rappelé.
Pour cette raison, le président turc a donné l’instruction au ministre des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, de travailler sur la réponse à donner à Abou Dabi.
"Nous pouvons décider de rompre nos relations diplomatiques avec Abou Dabi ou décider de rappeler notre ambassadeur, comme est sur le point de faire la Palestine", a-t-il même ajouté.
Le président Erdogan en a profité pour dénoncer la solidarité de certains pays de la région avec Israël, aux dépens des Palestiniens.
"La solidarité de l'Égypte d'une part et de la Grèce d'autre part avec Israël et la décision sur la Palestine sont inacceptables", a-t-il relevé.
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a qualifié l’accord de normalisation conclu par Abou Dabi avec Tel Aviv, de "trahison de la Cause palestinienne".
Le chef de la diplomatie turque a tenu une conférence de presse, vendredi en Suisse, après son entretien avec son homologue helvète, Ignazio Cassis.
TRT
Le président de la République de Turquie, Recep Tayyip Erdogan, a déclaré qu’Ankara envisage de rompre ses relations diplomatiques avec les Émirats Arabes Unis (EAU) suite à l’accord de normalisation conclu avec Israël, un développement qualifié par la Turquie de "trahison de la Palestine".
Le chef de l’État turc a répondu aux questions des journalistes, vendredi, après avoir participé à la prière du vendredi à Istanbul.
Le chef de l’État turc a été interpelé au sujet de l’accord entre Abou Dabi et Tel Aviv, annoncé jeudi soir par le président américain Donald Trump.
Pour lui, cet accord est une trahison de la Cause palestinienne.
"Nous sommes aux côtés du peuple palestinien. Nous n'avons jamais permis et ne permettrons que la Palestine soit dévorée", a-t-il rappelé.
Pour cette raison, le président turc a donné l’instruction au ministre des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, de travailler sur la réponse à donner à Abou Dabi.
"Nous pouvons décider de rompre nos relations diplomatiques avec Abou Dabi ou décider de rappeler notre ambassadeur, comme est sur le point de faire la Palestine", a-t-il même ajouté.
Le président Erdogan en a profité pour dénoncer la solidarité de certains pays de la région avec Israël, aux dépens des Palestiniens.
"La solidarité de l'Égypte d'une part et de la Grèce d'autre part avec Israël et la décision sur la Palestine sont inacceptables", a-t-il relevé.
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a qualifié l’accord de normalisation conclu par Abou Dabi avec Tel Aviv, de "trahison de la Cause palestinienne".
Le chef de la diplomatie turque a tenu une conférence de presse, vendredi en Suisse, après son entretien avec son homologue helvète, Ignazio Cassis.
TRT
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