Seule différence notable entre les parjures du Maroc et celle du Swaziland: ce dernier ne contraint pas son peuple au baisemain, sinon c'est blanc bonnet bonnet blanc.
- Au Swaziland, la presse sous pression face au dernier monarque absolu d’Afrique
Deux journalistes ont dû fuir le royaume après avoir évoqué la santé et la gouvernance du roi du Swaziland. Un monarque qui dirige son pays d’une main de fer et dans lequel il faut une permission pour évoquer le Covid-19.
Il est l’un des plus petits pays d’Afrique et le dernier - comme le Maroc-Ndlr)dirigé par un monarque absolu. Connu sous le nom de Swaziland jusqu’à ce que le roi Mswati III décide, en 2018, de lui rendre son nom précolonial, “Eswatini”, le royaume enclavé à l’est de l’Afrique du Sud, attire rarement l’attention.
On sait que son monarque concentre tous les pouvoirs et qu’il dépense pour ses nombreuses femmes des sommes extravagantes alors que la population affiche l’une des espérances de vie les plus faibles du monde – 59 ans en 2018, selon la Banque mondiale. On sait aussi que Mswati III n’aime pas beaucoup qu’on écrive des choses négatives sur lui.
Au cours des derniers mois, deux journalistes à la tête de médias indépendants ont dû quitter le pays et un troisième est sur la sellette face aux autorités, raconte ainsi le Mail & Guardian. “L’épidémie de Covid-19 a mis en lumière le mystère qui entoure la santé du roi Mswati alors que l’élite traditionnelle swazi continue de batailler avec les concepts de droit à l’information et de liberté de la presse”, écrit notamment l’hebdomadaire.
Le cannabis: l'autre analogie avec la monarchie marocaine
(...)
Pour pouvoir nourrir, habiller et scolariser sa ribambelle de petits-enfants, la vieille dame en cultive sur un lopin de terre situé en pleine forêt, au sommet d’une colline éloignée. “Sans cela, on mourrait de faim”, confie-t-elle en demandant à être désignée sous son second prénom.
Khathazile fait partie des milliers de paysans de ce petit royaume d’Afrique australe qui, selon des organisations humanitaires, parviennent tout juste à survivre en produisant du cannabis, une plante relativement robuste et facile à cultiver.
Le Courrier international.
- Au Swaziland, la presse sous pression face au dernier monarque absolu d’Afrique
Deux journalistes ont dû fuir le royaume après avoir évoqué la santé et la gouvernance du roi du Swaziland. Un monarque qui dirige son pays d’une main de fer et dans lequel il faut une permission pour évoquer le Covid-19.
Il est l’un des plus petits pays d’Afrique et le dernier - comme le Maroc-Ndlr)dirigé par un monarque absolu. Connu sous le nom de Swaziland jusqu’à ce que le roi Mswati III décide, en 2018, de lui rendre son nom précolonial, “Eswatini”, le royaume enclavé à l’est de l’Afrique du Sud, attire rarement l’attention.
On sait que son monarque concentre tous les pouvoirs et qu’il dépense pour ses nombreuses femmes des sommes extravagantes alors que la population affiche l’une des espérances de vie les plus faibles du monde – 59 ans en 2018, selon la Banque mondiale. On sait aussi que Mswati III n’aime pas beaucoup qu’on écrive des choses négatives sur lui.
Au cours des derniers mois, deux journalistes à la tête de médias indépendants ont dû quitter le pays et un troisième est sur la sellette face aux autorités, raconte ainsi le Mail & Guardian. “L’épidémie de Covid-19 a mis en lumière le mystère qui entoure la santé du roi Mswati alors que l’élite traditionnelle swazi continue de batailler avec les concepts de droit à l’information et de liberté de la presse”, écrit notamment l’hebdomadaire.
Le cannabis: l'autre analogie avec la monarchie marocaine
(...)
Pour pouvoir nourrir, habiller et scolariser sa ribambelle de petits-enfants, la vieille dame en cultive sur un lopin de terre situé en pleine forêt, au sommet d’une colline éloignée. “Sans cela, on mourrait de faim”, confie-t-elle en demandant à être désignée sous son second prénom.
Khathazile fait partie des milliers de paysans de ce petit royaume d’Afrique australe qui, selon des organisations humanitaires, parviennent tout juste à survivre en produisant du cannabis, une plante relativement robuste et facile à cultiver.
Le Courrier international.
Commentaire