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Plongée dans les secrets d’alcove de la famille royale du Maroc

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  • Plongée dans les secrets d’alcove de la famille royale du Maroc

    L’accession de Mohamed VI au trône, au lendemain du décès de son père, a sonné comme une catastrophe sur le ciel chérifien. Intervenu un certain 23 juillet 1999, ce décès a semé la panique au sein du Makhzen. Le départ de Hassan II, se trouvant quand même derrière la guerre des sables, cette innommable et lâche agression contre l’Algérie, ainsi que la « marche verte », aura été celui d’un roi pondéré et assagi par l’âge. Comment appréhender, dès lors, l’avenir sous le règne de ce jeune et inexpérimenté roi ?

    Les paris étaient ouverts désormais. Mohamed VI, agissant sans liens ni retenu aucune, a transformé son royaume en une sorte de propriété privée. Entouré par une armée de conseillers, ce jouisseur patenté a mis en coupe réglée son pays, en accaparant le plus clair des richesses à travers des holdings et des jeux d’écriture à peine grimés. Les grands reporters Catherine Graciet et Eric Laurent en parlent avec un luxe de détails dans un livre extrêmement documenté paru aux éditions du Seuil.

    Le jeune Mohamed VI, héritier d’une famille peu encline à laver son linge sale en public, inauguraient ses premières années de royauté par de fréquentes éclipses. Beaucoup le soupçonnent de ne pas saisir pleinement les « hautes charges » liées à ses nouvelles fonctions. Sinon comment expliquer que ce « chef d’État, ce jeune roi, ait pratiquement consacré la première année ayant suivi son accession au trône à écumer certains bouges malfamés d’Asie. Ici, les touristes occidentaux peuvent satisfaire leurs fantasmes les plus fous et les plus indicibles qui soient. Si l’on ne sait pas grand-chose de cette « période-disparitions, ce qui est sûr c’est que les préposés aux palais royaux se tenaient le ventre à chacune de ces « escapades. On n’est jamais à l’abri d’un « mauvais pas « du monarque et de ses éventuelles frasques. Ce comportement, à lui seul, peut expliquer comment certaines pratique répréhensibles et immorales ont fini par se banaliser au Maroc. Le pire, sans doute, c’est qu’au Maroc le roi est élevé au rang de quasi-divinité. Le magazine « Tel Quel » en a fait les frais lorsqu’il avait cherché à évaluer les dix années de règne de Mohamed VI. Ici, personne n’a le droit de parler des activités du roi, même en bien. La prétendue démocratisation de ce pays intervenue à la faveur des « printemps arabes » n’y aura rien changé. On dénie aux médias marocains le droit de s’intéresser à la vie, aux activités de la famille royale. Celle-ci est cachée derrière un paravent fait de fausse bigoterie et d’une « pudeur dont seuls peuvent se montrer capables les pervers narcissiques.

    Voilà, donc, comment le Maroc est devenu le plus accueillant sanctuaire des prédateurs et des délinquants sexuels. Les pédophiles y trouvent habituellement leurs aises. La prostitution infantile y est banalisée. Les policiers, pervertis par une corruption endémique, ferment ostensiblement les yeux. Les affaires de mœurs qui y éclatent de temps à autre y sont presque toujours étouffées. Des rapports dressés par des organisations internationales font état de l’existence de réseaux internationaux, avec le tournage de films amateurs non sans la complicité de certains proches des victimes. Le phénomène y devient endémique, au point où les touristes qui se font prendre la main dans le sac ne risquent que des peines mineures. Le phénomène de la pédophilie, qui se pratique à grande échelle au Maroc relève carrément de la vérité axiomatique. À présent, Mohamed VI, qui ne fait pas grand-chose pour protéger la dignité et l’intégrité physique de ses sujets, donne l’air de se complaire face à cette humiliante situation. Les touristes y trouvent leur compte. Leur libido aussi. Mais, hélas pas le peuple marocain, saigné à blanc par les gens du Makhzen. Tel que géré par une bande de rapaces, le Maroc ne sait guère à quel saint se vouer. Imperceptiblement, il a fini par se transformer en une sorte d’État-voyou, qui s’adonne au trafic de drogue à très grande échelle, ainsi qu’à la pédophilie et au tourisme sexuel. Affligeant !

    Et, sans avoir besoin d’aller plus loin dans l’argumentation, il faut bien dire que la séparation de Mohamed VI d’avec sa femme ne s’est pas faite sans « heurts », au point où une famille qui tient tant à respecter les apparences et à sauver les convenances, n’a franchement pas hésité à étaler son linge sale en public. Sinon, comment expliquer que le monarque, sur son lit d’hôpital, au lendemain d’une lourde opération chirurgicale, se soit laissé prendre en photo sans sa moitié. Le message politique fort clair qui s’en dégage signifie sans doute que les reproches que nourrit lalla Salma à l’endroit de Mohamed VI sont tellement énormes que la femme ne saurait pardonner à son ex, même dans le but de sauver les apparences. Mais qu’est-ce que cela peut bien être… wana aâreft !
    Mohamed Abdoun

    Le Courrier d’Algérie, 26 juil 2020

  • #2
    n'importe quoi la fortune royale est de 5 milliards $ dans un pib de 120 milliards $ en gros.

    et une bonne parti de ces milliards se trouve dans des entreprises a l'étranger...


    donc toi et ton article vous avez la même niveau de crédibilité
    Dernière modification par Hand, 21 août 2020, 01h31.
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