Déchet dépravé et mythomane qui ment comme il respire, le virus sadique Donald Trump ne cesse de diffamer les pays du monde pour manipuler ses supporters cultistes et leur faire croire qu'il gouverne l'Amérique mieux que les autres dirigeants du monde. Dernière victime des mensonges et des diffamations du virus sadique Donald Trump: la Nouvelle Zélande. Le virus Trump a menti à ses cultistes enragés en leur disant que la Nouvelle Zélande subit une explosion d'infections par Covid19 et qu'il fait tout pour éviter un scénario similaire aux Etats-Unis alors que le jour-même, il n'y a eu que 9 infections par le coronavirus en Nouvelle Zélande (et zéro mort) contre plus de 50.000 infections et plus de 1300 morts par Covid19 aux Etats-Unis (voir vidéo).
La très diplomatique première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a été forcée d'intervenir pour défendre son pays et démentir les mensonges crapuleux du virus sadique Donald Trump.
L'Amérique est ainsi devenue une véritable risée du monde dirigée par le politicard le plus corrompu, le plus dépravé, le plus fraudeur, le plus mythomane et le plus crapuleux du monde!
Le pire dans cette histoire? Ce sont les Américains les plus religieux et les plus conservateurs qui soutiennent et qui vénèrent le virus sadique et diabolique Donald Trump. C'est dire à quel point les conservateurs chrétiens américains sont des cultistes totalement dépravés.
La très diplomatique première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a été forcée d'intervenir pour défendre son pays et démentir les mensonges crapuleux du virus sadique Donald Trump.
L'Amérique est ainsi devenue une véritable risée du monde dirigée par le politicard le plus corrompu, le plus dépravé, le plus fraudeur, le plus mythomane et le plus crapuleux du monde!
Le pire dans cette histoire? Ce sont les Américains les plus religieux et les plus conservateurs qui soutiennent et qui vénèrent le virus sadique et diabolique Donald Trump. C'est dire à quel point les conservateurs chrétiens américains sont des cultistes totalement dépravés.
Commentaire