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Maroc :Feuille de route pour les 15 prochaines années

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  • Maroc :Feuille de route pour les 15 prochaines années

    Le gouvernement prépare une feuille de route pour les 15 prochaines années

    Elle sera rendue publique en mai : agriculture, justice, santé et éducation sont les secteurs prioritaires. Le cabinet Monitor, chargé de l’accompagnement, rendra une première copie ce vendredi 20 avril.

    A quoi ressemblera le Maroc en 2020-2025 ? Que faut-il faire pour surmonter les grandes problématiques que sont la justice, l’éducation, la santé et bien d’autres ? Quelle place pourrait raisonnablement occuper le Maroc sur le plan économique à l’échelle régionale ? Ce sont là les questions, entre autres, auxquelles le gouvernement tente d’apporter les réponses. Objectif final : «Construire une vision autour des initiatives stratégiques prioritaires à mettre en œuvre dans les prochaines années afin d’accélérer le développement économique et social et atteindre le niveau de prospérité souhaité». En somme, il s’agira d’élaborer une véritable feuille de route pour les quinze prochaines années, indépendamment de l’impact politique que pourront avoir les prochains gouvernements sur la gestion des affaires du pays.

    Un comité de pilotage travaille depuis le mois de février

    Le travail de réflexion, entouré d’une grande discrétion, dure depuis février dernier et à un rythme soutenu. Deux à trois réunions par semaine, voire plus, pour tenter de faire une compilation de toutes les données aussi bien économiques que sociales, en plus de séances de brainstorming pour identifier les premières pistes.

    Pour mener tout ce travail, un comité de pilotage a été constitué comprenant les représentants de plusieurs ministères et les conseillers du Premier ministre, auxquels se sont associés des experts nationaux et internationaux. Pour mettre tout cela en forme et en objectifs, le comité s’est adjoint les services d’un cabinet de renommée mondiale, l’américain Monitor Group, qui regroupe en son sein les gourous de la stratégie (voir encadré). D’où le nom de code donné de manière informelle au projet : opération Monitor.

    Plan d’action ou grandes lignes ?

    La première rencontre avec les experts de Monitor Group s’est tenue en février dernier. Une réunion présidée par Driss Jettou et qui a été consacrée à un premier brief des experts. Ensuite, les réunions se sont succédé ; les consultants de Monitor ont ratissé large : ministres, hauts fonctionnaires, patrons d’établissements publics, chefs d’entreprises... De même, le comité, avec l’aide des consultants, a dû d’abord établir des diagnostics, des bilans sectoriels, des études comparatives et des benchmarks entre le Maroc et d’autres pays de la région.

    Ce vendredi 20 avril, une autre réunion est prévue et durant laquelle, cette fois-ci, le cabinet Monitor devra remettre un premier draft de la Vision 2020.

    Que contiendra-t-elle ? «Il ne s’agira pas de donner des plans d’actions détaillés mais de préciser la direction et les grandes orientations pour relever les défis futurs», précise une source proche du dossier. De manière plus concrète, le projet devra exprimer clairement ce qu’il faudra faire dans un certain nombre de questions cruciales notamment la justice, l’éducation, la santé, l’agriculture et bien d’autres secteurs. Et le choix de ces volets n’est pas fortuit puisqu’il s’agit justement de dossiers sur lesquels l’actuel gouvernement n’a pas eu le temps de se pencher. Or, explique-t-on, si des chantiers déjà mis en place comme Emergence, le plan Azur, la mise à niveau des entreprises publiques, la politique de l’habitat ont créé la dynamique économique, cette dynamique ne peut souffrir de retards au niveau d’autres secteurs qui risquent d’handicaper le décollage économique que connaît le pays. C’est ainsi que l’éducation devra préparer les compétences de demain, que la justice offrira plus de sécurité et plus de célérité à l’environnement économique et que l’agriculture stabilisera le monde rural tout en offrant davantage de perspectives de développement. De manière globale, et comme l’explique un membre du comité de pilotage, «le Maroc connaît un décollage économique et peut maintenant se doter d’objectifs plus ambitieux».

    Reste à savoir jusqu’à quel niveau de détail le projet (que l’on appellera Monitor par défaut) ira-t-il ? Car si l’idée d’une feuille de route est foncièrement bonne, elle devra conjuguer entre l’obligation de laisser au prochain gouvernement la marge de manœuvre nécessaire pour appliquer son propre programme selon sa propre vision, sous peine de biaiser le jeu démocratique, et la nécessité pour le Maroc de rattraper le temps perdu en matière de réforme. Entre le dirigisme et les impératifs de développement, un juste milieu devra être trouvé.

    Qui est Monitor ?

    Monitor Group, qui se définit aujourd’hui comme un cabinet conseil en stratégies d’élite, a commencé comme un think-thank monté par des professeurs et, en même temps, anciens étudiants, de la prestigieuse université de Harvard. Parmi eux, on trouve des sommités mondiales de la stratégie et du conseil : Michael Porter, Chris Argyris, Peter Schwartz et d’autres. Présent dans plus de 20 pays à travers le monde, Monitor offre des prestations touchant des secteurs très diversifiés allant de l’étude de marché pour une entreprise privée à la stratégie de repositionnement régional pour un pays, passant par la conduite de changement, les stratégies de développement, l’architecture des systèmes d’information. Depuis sa création, au début des années 80, Monitor, aujourd’hui implanté dans une vingtaine de pays, a mené pour le compte de 45 gouvernements plus d’une centaine de projets similaires à la mission dont il se trouve aujourd’hui chargé par le gouvernement maro

    McKinsey vs Monitor, le duel qui n’aura pas lieu

    Dans le milieu du consulting, tout se sait rapidement. Rivalité entre cabinets oblige, les responsables de McKinsey (à l’origine du plan Emergence), déjà bien implantés au Maroc, ont suivi de près les manœuvres d’approche de leurs concurrents de Monitor. Mais si certains y voyaient déjà un duel entre deux poids lourds mondiaux du consulting, la confrontation n’aura finalement pas lieu. Certes, au début, des rumeurs faisaient état de la décision du gouvernement de confier à Monitor la mise en œuvre du plan Emergence élaboré par McKinsey. Il n’en est rien. Selon des sources gouvernementales, les consultants de Monitor sont là pour une toute autre mission même si le travail des deux est finalement complémentaire. Ce sera donc chacun son rayon.
    Je fais plein de fautes d'ortoghraphes : soyez indulgeants

  • #2
    Le travail de réflexion, entouré d’une grande discrétion, dure depuis février dernier et à un rythme soutenu. Deux à trois réunions par semaine, voire plus, pour tenter de faire une compilation de toutes les données aussi bien économiques que sociales, en plus de séances de brainstorming pour identifier les premières pistes
    Ca fait plaisir d' entendre qu' on commence a s' interesser a la retrospective au Maroc.

    La voie du granmd maitre de la retrospective prof. Mehdi el Mandjra est enfin entendu. Je serais tres curieux de savoir son avis ladessus. Il aurra surement plein de chose a critiquer

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    • #3
      l'education,la santé et la justice sont le talon d'achilles de l'economie marocaine,il faut y remedier dans les plus bref délais.
      je suis sur que O-azis va bientot debarquer pour dire nous dire que c'est trop tard de toute facon

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      • #4
        Des idées toujours d'ailleurs

        Vous avez souligé que Monitor Group, qui se définit aujourd’hui comme un cabinet conseil en stratégies d’élite, a commencé comme un think-thank monté par des professeurs et, en même temps, anciens étudiants, de la prestigieuse université de Harvard. Parmi eux, on trouve des sommités mondiales de la stratégie et du conseil : Michael Porter, Chris Argyris, Peter Schwartz et d’autres. et d'ajouter que depuis sa création, au début des années 80, Monitor, aujourd’hui implanté dans une vingtaine de pays, a mené pour le compte de 45 gouvernements plus d’une centaine de projets similaires à la mission dont il se trouve aujourd’hui chargé par le gouvernement marocian. C'es malheureux de considérer que tout ce qui vient d'ailleurs et bon pour le peuple amrocain ou autre. Il ne faut pas oublier que ces éminents profeseurs sont loin de pouvoir répondre à des besoins spécifiques de chaque peuple. Et leurs apports qui pour moi ne constitue que des support pour préparer le TAPIS aux puissants du monde ne peuvent détectet les besoins internes que les éminents professeurs et soiété civile et parti politqiue qui vivent leur rélaité économique, social, poltique et culturelle chauqe instant. Alors cessns d'ouvrir les grands bars aux illuminés d'ailleurs et privés les notres d'apporter. Et c'est surtout ceci qui va déranger les cervaux d'ailleurs c'est pourquoi ils s'empressent à offrir leurs services aux autres Etats qui les acceuillent car, leurs gouvernements qui lui compte quelques responsables représentants et support des politiques étrangères et de surcroît le Grand Capiatl mondial qui s'allie avec le Capital interne... Il y a lieu de réflechir mille fois avant d'ouvir nos bras. Eux ils proposes des perspectives sur 20 ans mais pour leurs pays respectives (les puissants' dessinent leur horizons sur 100 ans et de ce fait pour qu'ils parviennent il faut tabler sur les autres en leur soufflant des sois disant solution miracles dans la majorité du temps des solutions temporaires... il faut d'abord dessiner sois même nos routes et définr les objectifs et le chemin pour y parvenir et leur aide sera par al suite utile.. Et vous verrez s'ils seront encore plus déterminants et enthousiasmés pour aider à moment là?

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        • #5
          Vous avez souligé que Monitor Group, qui se définit aujourd’hui comme un cabinet conseil en stratégies d’élite, a commencé comme un think-thank monté par des professeurs et, en même temps, anciens étudiants, de la prestigieuse université de Harvard. Parmi eux, on trouve des sommités mondiales de la stratégie et du conseil : Michael Porter, Chris Argyris, Peter Schwartz et d’autres. et d'ajouter que depuis sa création, au début des années 80, Monitor, aujourd’hui implanté dans une vingtaine de pays, a mené pour le compte de 45 gouvernements plus d’une centaine de projets similaires à la mission dont il se trouve aujourd’hui chargé par le gouvernement marocian. C'es malheureux de considérer que tout ce qui vient d'ailleurs et bon pour le peuple amrocain ou autre. Il ne faut pas oublier que ces éminents profeseurs sont loin de pouvoir répondre à des besoins spécifiques de chaque peuple. Et leurs apports qui pour moi ne constitue que des support pour préparer le TAPIS aux puissants du monde ne peuvent détectet les besoins internes que les éminents professeurs et soiété civile et parti politqiue qui vivent leur rélaité économique, social, poltique et culturelle chauqe instant. Alors cessns d'ouvrir les grands bars aux illuminés d'ailleurs et privés les notres d'apporter. Et c'est surtout ceci qui va déranger les cervaux d'ailleurs c'est pourquoi ils s'empressent à offrir leurs services aux autres Etats qui les acceuillent car, leurs gouvernements qui lui compte quelques responsables représentants et support des politiques étrangères et de surcroît le Grand Capiatl mondial qui s'allie avec le Capital interne... Il y a lieu de réflechir mille fois avant d'ouvir nos bras. Eux ils proposes des perspectives sur 20 ans mais pour leurs pays respectives (les puissants' dessinent leur horizons sur 100 ans et de ce fait pour qu'ils parviennent il faut tabler sur les autres en leur soufflant des sois disant solution miracles dans la majorité du temps des solutions temporaires... il faut d'abord dessiner sois même nos routes et définr les objectifs et le chemin pour y parvenir et leur aide sera par al suite utile.. Et vous verrez s'ils seront encore plus déterminants et enthousiasmés pour aider à moment là?
          Je comprend ton souci. Mais monitor groupe reste avant tout un cabinet conseil et non le gouvernement et il ne faut pas avoir honte de se faire aider avec des personnes qui peuvent apporter un plus.
          Je fais plein de fautes d'ortoghraphes : soyez indulgeants

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          • #6
            Des aides pour leur beaux yeux OUI

            C'est loin d'être une honte de demander aide. Mais ce quil y a lieu de retenir et de surcroît depuis la galopante mondialiation c'est que es gouvernements et les politiques des grandes puissances ont changer leur manière d'apporter aide. C'est à travers des centres d'étude, de institutions d'aides et certaines ONG qu'ils arrivent à nous faire avaler des couleuvres qui figent nos forces vives après nous les avoir montrer comme des bombons contre nos maux. Et s'il y a lieu de nous aider, ils n'ont qu'à entendre nos voeux et nos espoirs sur bon nombre de questions brûlantes qui ravagent les pays sous developpés mais ceci est loin de s'inscrire dans leur dessins. Et il ne faut pas oublier qu'après nosu avoir pomper par le passée, à travers le colonialisme, l'esclavagisme, la bombe d'hirochimas et le fascisme hitleriens... nous infligeons un retards considérables quant eux ils avnçait, et de ce fait nous nous sommes libérés certes de leurs chaines qui étaient visible dans les temps passé mais qui actuellement sont invisibles. il y a qu'à voir les mesures de la banque mondial, la banque europénne.. et qui d'ailleurs même si les peuples des grands puissanst expriment leur désacord quant à la politique interne ou exterieure surtout, celle ci a du mal à se traduire chez leur elus, et de surcoît au plus haut niveau et on nous affiche et on nous donne des leçon sur la démocartie..

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            • #7
              C'est loin d'être une honte de demander aide. Mais ce quil y a lieu de retenir et de surcroît depuis la galopante mondialiation c'est que es gouvernements et les politiques des grandes puissances ont changer leur manière d'apporter aide. C'est à travers des centres d'étude, de institutions d'aides et certaines ONG qu'ils arrivent à nous faire avaler des couleuvres qui figent nos forces vives après nous les avoir montrer comme des bombons contre nos maux. Et s'il y a lieu de nous aider, ils n'ont qu'à entendre nos voeux et nos espoirs sur bon nombre de questions brûlantes qui ravagent les pays sous developpés mais ceci est loin de s'inscrire dans leur dessins. Et il ne faut pas oublier qu'après nosu avoir pomper par le passée, à travers le colonialisme, l'esclavagisme, la bombe d'hirochimas et le fascisme hitleriens... nous infligeons un retards considérables quant eux ils avnçait, et de ce fait nous nous sommes libérés certes de leurs chaines qui étaient visible dans les temps passé mais qui actuellement sont invisibles. il y a qu'à voir les mesures de la banque mondial, la banque europénne.. et qui d'ailleurs même si les peuples des grands puissanst expriment leur désacord quant à la politique interne ou exterieure surtout, celle ci a du mal à se traduire chez leur elus, et de surcoît au plus haut niveau et on nous affiche et on nous donne des leçon sur la démocartie..
              Si tu pars du postulat de base que les pays industrialisés et les organismes multilatéraux sont des ennemis là oui on s'enferme et on n'ouvre la porte à personne. Mais je ne partage pas cette idée.
              Je fais plein de fautes d'ortoghraphes : soyez indulgeants

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              • #8
                Il faut s'ouvrir !

                Le renferment sur sois et synonyme de mort certaine que ce soit sur le plan individuel, collectif, social, economique, poltique ou culturel. Je suis pour l'ouverture mais ce qui est à prendre en compte c'est de quel manière s'ouvrir, sur quoi et pour quel objectifs... Car nul s'ouvre pour se laisser par la suite engloutir par ce qui est en face de nous. Aussi l'autre qui s'ouvre vers l'autre ne veut pas se voir s'engloutir par l'autre. et d ece fait il y a lieu de s'ouvrir d'une maniètre conséquente et d'Egal à Egal pour la protection des interêts reciproques. Et c'est là le noeud. Les puissants s'ouvre et l'histoire l'a montré pour se gouffrer de plus en plus et nous nous maigrissons. pour être simple dans la comparaison. et tant qu'il ne saisiront pas que nous sommes des etres huamins qui aspire à une prosperité dans l'ensemble des domainses et de surcroît pour Perdurer dans le TEMPS, c'est ceci qui doit être e bouclier pour ne pas s'engoncer dans une ouverture qui nious déisntègre... je crois en l'Homme et par conséquent l'Ouverture est de mise mais il ne faut pas se laisser berner quant on commence à perdre une plume la suite se succédera avec une vitesse que souvent on a du mal à freiner le processus...

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                • #9
                  Vous avez souligé que Monitor Group, qui se définit aujourd’hui comme un cabinet conseil en stratégies d’élite, a commencé comme un think-thank monté par des professeurs et, en même temps, anciens étudiants, de la prestigieuse université de Harvard. Parmi eux, on trouve des sommités mondiales de la stratégie et du conseil : Michael Porter, Chris Argyris, Peter Schwartz et d’autres. et d'ajouter que depuis sa création, au début des années 80, Monitor, aujourd’hui implanté dans une vingtaine de pays, a mené pour le compte de 45 gouvernements plus d’une centaine de projets similaires à la mission dont il se trouve aujourd’hui chargé par le gouvernement marocian. C'es malheureux de considérer que tout ce qui vient d'ailleurs et bon pour le peuple amrocain ou autre. Il ne faut pas oublier que ces éminents profeseurs sont loin de pouvoir répondre à des besoins spécifiques de chaque peuple.
                  Non tout ce qui vient d'ailleurs n'est pas obligatoirement bon pour un pays. Le Maroc peu s'inspirer des recettes qui marche et les appliquer à la sauce marocaine, le Maroc c'est inspiré de beaucoup de démarche étrangéres comme l'installation des Call Centers, des entreprises de services informatiques, des entreprises de sous-traitance automobile et aéronautique, le textile à haute valeur ajoutée.

                  Monitor ne décide pas pour le Maroc. Monitor peut apporter une expertise mondiale sur les évolution économique et à délimiter les secteurs qui marchent. Ensuite c'est au gouvernement marocain de proposer un cadre pour la mise en oeuvre d'un secteur.

                  L'exemple de Casa Near Shore (parc industriel pour les entreprises de services) a était le résultat d'une réflexion entre Mc Kinsey, les industriels et le gouvernement marocain (ministére de l'industrie).

                  D'autres parcs industriels comme le Tanger Automotive City, ou les parcs agro-industriel pour les produits de la mer comme à Agadir, Layoune et Dakhla verront le jour ils ont aussi le resultat d'une réflexion avec le ministére de l'industrie, les industriels, et le consulting de Mc Kinsey.

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                  • #10
                    Oui bien sûr une ouverture sauvage sans stratégie comporte un risque énorme. Je suis d'accord. Les concessions à faire à l'autre doivent également se faire sur la base d'une stratégie pas obligatoirement pour un gain immédiat, celà peut être à terme. Bref un passage obligé.

                    Mais dans le cas présent nous parlons beaucoup plus d'un process de travail qui mérite d'être mentionné. Il ne s'agit pas d'un abondon de souvraineté mais de réflechir sur le devenir du maroc dans le futur : de se donner de la visibilité. Pour un minimum de réalisme cette reflexion doit prendre en considération l'environnement du Maroc et les tendances mondiales. Et c'est ce qui est recherché je crois. Ce cabinet international est là avant tout pour nous apporter des expériences internationales, un benchmarking, les meilleures pratiques.....Le diagnostic interne ainsi que les projections dans l'avenir restent avant tout de la responsabilité du Maroc. Il ne s'agit pas d'une délagation totale de la reflexion au cabinet.
                    Je fais plein de fautes d'ortoghraphes : soyez indulgeants

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                    • #11
                      Le renferment sur sois et synonyme de mort certaine que ce soit sur le plan individuel, collectif, social, economique, poltique ou culturel. Je suis pour l'ouverture mais ce qui est à prendre en compte c'est de quel manière s'ouvrir, sur quoi et pour quel objectifs... Car nul s'ouvre pour se laisser par la suite engloutir par ce qui est en face de nous. Aussi l'autre qui s'ouvre vers l'autre ne veut pas se voir s'engloutir par l'autre. et d ece fait il y a lieu de s'ouvrir d'une maniètre conséquente et d'Egal à Egal pour la protection des interêts reciproques. Et c'est là le noeud. Les puissants s'ouvre et l'histoire l'a montré pour se gouffrer de plus en plus et nous nous maigrissons. pour être simple dans la comparaison. et tant qu'il ne saisiront pas que nous sommes des etres huamins qui aspire à une prosperité dans l'ensemble des domainses et de surcroît pour Perdurer dans le TEMPS, c'est ceci qui doit être e bouclier pour ne pas s'engoncer dans une ouverture qui nious déisntègre... je crois en l'Homme et par conséquent l'Ouverture est de mise mais il ne faut pas se laisser berner quant on commence à perdre une plume la suite se succédera avec une vitesse que souvent on a du mal à freiner le processus...
                      Oui l'ouverture doit être controlé. Je prends l'exemple des centres d'appels ou des sociétés de service informatique, en ce moment l'ouverture profite au Maroc l'arrivé des opérateurs à permis de créer pratiquement 30 000 emplois nouveau car c'ets un secteur qui n'existait pas.

                      L'automobile à eu le même effet l'état a vendu la SOMACA (à cause de la mauvaise gestion étatique). Renault l'a acheté maintenant la SOMACA exporte des véhicules en Europe chose complétment impenssable il y a à peine 4 ans.

                      Pareil pour l'industrie des piéces automobiles beaucoup d'entreprises ont créés des milliers d'emplois.

                      L'ouverture du tourisme à permis aux investisseurs étrangers de construire leur propre station au Maroc donc permettant d'augmenter l'arrivé des touristes.

                      Pareil pour la RAM qui travail en Open Sky avec les autres compagnies européennes.

                      Pour l'instant l'ouverture a étendu les marchés marocain et a donné un nouveau souffle au Maroc.

                      L'ouverture de la bourse aux étrangers a permis de voir 12,5 milliards € d'investissement à la bourse de Casa en 2006.

                      http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=46582

                      Le port de Tanger est le fruit de l'ouverture de la lesgislation portuaire aux étrangers. Si on fait marche arriére il y-a 7 ans, parler d'une telle ouverture était un sacrilége, personne ne pouvait imaginer un port plus grand que celui de Casablanca qui traite 700 000 conteneurs par ans. Aujourd'hui pour Tanger on parle de 3 000 000 à 4 000 000 de conteneurs.

                      Quand l'ouverture est controlée elle ne peut qu'être bénéfique.

                      Toi dans ton explication tu parles d'un abandon de souveraineté sur un secteur ou un autre, dans toutes les ouvertures qu'a fait le Maroc l'état garde toute sa souveraineté.
                      Dernière modification par tamurt, 24 avril 2007, 16h32.

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                      • #12
                        Aide et dépendance!!

                        C'est clair que certains exploits ou avancées de pays relèvent aussi de ce que les autres ont fait.. Mais ceci en est pour être juste titre... Argumenter des avancées grace uniquement à l'aide étrangère suppose un début de dépendance. il faut aller vers des échanges en bonne et du forme et non pas vers une aide pour une enraciner une dépendance. Il faut relever les défis interieur et se focaliser sur les chemins à prendre même dificils pour ête capable de compter d'abord sur soit et opérer un partenariat d'aide mutuelle. Parcequ'il faut pas oublier même eux ont besoin de voire le monde qui les entoure mais pas d'en haut de leurs balcons

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                        • #13
                          C'est clair que certains exploits ou avancées de pays relèvent aussi de ce que les autres ont fait.. Mais ceci en est pour être juste titre...
                          c'est pas très clair précise ta pensé.

                          Argumenter des avancées grace uniquement à l'aide étrangère suppose un début de dépendance. il faut aller vers des échanges en bonne et du forme et non pas vers une aide pour une enraciner une dépendance.
                          A aucun moment le Maroc n'a fait sa sous l'aide gratuite de qui que ce soit.

                          Je m'explique :

                          Prenons le cas de Renault et la SOMACA. Si Renault est venu au Maroc c'est pas pour faire plaisir au marocain. Renault a investit dans le pays car :

                          1) Il sait que la main d'oeuvre est disponible est de bonne qualité.

                          2) Au Maroc il existe un circuit de fournisseur qui peuvent fournir jusqu'a 40% de piéce pour une voiture.

                          3) L'énergie a un coup abordable.

                          4) la bonne qualité des transports, routes, autoroutes, ports fournissent des services de qualité.

                          En faisant la somme de tous les avantages que fourni le Maroc eux ils apportent leur plus et c'est la que l'échange se crée. Et que chacun bénéficie de l'expérience de l'autre.

                          Dans le tourisme Accord, Colony Capital, Club Meb, Thomas Cook, Hapag, Fadesa, Thomas & Piron... Ne sont pas des altruistes qui viennent tous offrir au Maroc pour les beaux yeux des marocains.

                          Si ils sont la c'est qu'ils savent :

                          1) Que le pays a une bonne expérience dans le tourisme,

                          2) Ils savent que le pays a des écoles hotelliéres de bonne qualité capable de fournir une main d'oeuvre qui a un bon savoir faire.

                          3) Il savent que les infrastructures du pays peuvent acceuillir plusieurs millions de touristes sans souffrir.

                          La aussi on assite à une alliance à un échange. Si les investisseurs sont la c'est la preuve formelle que le pays a des atouts sinon on serait dans le cas des années 70 ou les années 80 quand les investissements étaient invisibles.

                          Il faut relever les défis interieur et se focaliser sur les chemins à prendre même dificils pour ête capable de compter d'abord sur soit et opérer un partenariat d'aide mutuelle.
                          Les investisseurs ne sont venus qu'après les multiples réformes de l'indsutrie, de la finance, ces réformes ce sont les marocains qui en sont la source et personne ce ne sont pas les suédois ou les français qui sont venu les faire c'est uniquement nous.

                          Si les investisseurs ont confiance dans le Maroc c'est uniquement parce que les marocains sont confiant dans leur pays.

                          Parcequ'il faut pas oublier même eux ont besoin de voire le monde qui les entoure mais pas d'en haut de leurs balcons
                          Les investisseurs qui viennent est injecte des milliards dans une économie ne le font pas comme ça à l'aveuglette ils savent ce qu'ils font et ils le font en connaisance de cause.

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                          • #14
                            Le maroc n'est pas dépendant des étrangers, mais il leur est ouvert. Il sont les bienvenue en tant qu investisseur, partenaires commerciaux, touristes, conseiller, expert voire même en tant que retraité. Cela ne le dérange absolument pas. Car en même tant il s est attelé à créer et à favoriser des super-société marocaines qui lui permette d'avoir son mot à dire sur la vie des affaires dans le pays : une sorte de patriotisme économique. Les exemples ne manquent pas : ONA, AWB, BMCE, ADDOHA, CDG, ...etc

                            Le maroc espère tirer le meilleur profit de la mondialisation et de s y imposer. C est un choix réfléchi et irrévocable

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