Après six jours de garde à vue, l’ancien président mauritanien a quitté le lieu de sa détention et a retrouvé sa famille à Nouakchott, rapportent des médias mauritaniens.
Cependant, la page des ennuis de Mohamed Ould Abdel Aziz avec la justice de son pays n’est pas encore tournée. Il reste toujours à la disposition des éléments de la brigade des crimes financiers qui enquêtent sur les onze années du règne sans partage de l’ex-homme fort en Mauritanie.
Des sources médiatiques au voisin du sud affirment qu’Ould Abdel Aziz a été assigné à résidence surveillée en attendant sa prochaine comparution devant la même brigade. Samedi 22 août, des membres de sa tribu ont dénoncé l’arrestation de l’ancien président.
Cette libération apporte un démenti à des rumeurs ayant circulé la semaine dernière annonçant un éventuel transfert d’Ould Abdel Aziz vers une nouvelle prison construite dans le Sud-Est de la Mauritanie.
Lundi dernier, après avoir été auditionné par la police chargée des crimes économiques sur son implication présumée dans des dossiers de «prévarication», l'ancien chef d'Etat a été placé en garde à vue pour 48 heures. La police mauritanienne l'a entendu sur la base d'un rapport de la commission parlementaire d’enquête sur ses années au pouvoir (août 2008-août 2019), soumis au ministère de la Justice.
Ya biladi
Cependant, la page des ennuis de Mohamed Ould Abdel Aziz avec la justice de son pays n’est pas encore tournée. Il reste toujours à la disposition des éléments de la brigade des crimes financiers qui enquêtent sur les onze années du règne sans partage de l’ex-homme fort en Mauritanie.
Des sources médiatiques au voisin du sud affirment qu’Ould Abdel Aziz a été assigné à résidence surveillée en attendant sa prochaine comparution devant la même brigade. Samedi 22 août, des membres de sa tribu ont dénoncé l’arrestation de l’ancien président.
Cette libération apporte un démenti à des rumeurs ayant circulé la semaine dernière annonçant un éventuel transfert d’Ould Abdel Aziz vers une nouvelle prison construite dans le Sud-Est de la Mauritanie.
Lundi dernier, après avoir été auditionné par la police chargée des crimes économiques sur son implication présumée dans des dossiers de «prévarication», l'ancien chef d'Etat a été placé en garde à vue pour 48 heures. La police mauritanienne l'a entendu sur la base d'un rapport de la commission parlementaire d’enquête sur ses années au pouvoir (août 2008-août 2019), soumis au ministère de la Justice.
Ya biladi