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Le Hamas palestinien apprécie la position du Maroc rejetant la normalisation avec Israël

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  • Le Hamas palestinien apprécie la position du Maroc rejetant la normalisation avec Israël

    Le Hamas palestinien apprécie la position du Maroc rejetant la normalisation avec Israël


    مع إسرائيل
    عضو المكتب السياسي للحركة، حسام بدران، قال إن رفض رئيس الحكومة سعد الدين العثماني، للتطبيع، "إيجابي وداعم للقضية الفلسطينية"
    24.08.2020
    حماس: تُثمن موقف المغرب الرافض للتطبيع مع إسرائيل

    Gazze
    غزة/ نور أبو عيشة/ الأناضول

    ثمنت حركة "حماس"، الإثنين، موقف رئيس الحكومة المغربية سعد الدين العثماني، الرافض لـ"كافة أشكال التطبيع مع إسرائيل".

    وأفاد عضو المكتب السياسي للحركة حسام بدران، في بيان: "نعرب عن تقديرنا لموقف العثماني، رئيس الوزراء المغربي، الرافض بشكل قاطع لكل أشكال التطبيع مع الاحتلال".

    وأردف: "نحن كفلسطينيين، وكحركة حماس ننظر إليه بكل الاحترام والشكر، خاصة أن رفضه يأتي في ظل الانهيار المعيب لبعض الأنظمة العربية التي تهرول نحو الاحتلال".

    ووصف بدران موقف العثماني بـ"الإيجابي والداعم للقضية الفلسطينية"، مشيرًا أن "العمق العربي والإسلامي من أبرز عوامل القوة في مواجهة الاحتلال ومخططاته الإجرامية".

    ومساء الأحد، أكد العثماني، رفض بلاده لكل "عمليات التطبيع مع الكيان الصهيوني"، معتبرا التطبيع "يقدم دافع للاحتلال لزيادة انتهاكاته بحق الشعب الفلسطيني وحقوقه".

    وأضاف العثماني، خلال مشاركته في نشاط لحزب "العدالة والتنمية" (قائد الائتلاف الحكومي)، أن "الاعتداء على حقوق الشعب الفلسطيني هي خطوط حمراء بالنسبة للمغرب".

    يأتي موقف المغرب المعارض للتطبيع، في ظل إعلان الرئيس الأمريكي دونالد ترامب، في 13 أغسطس/ آب الجاري، توصل الإمارات وإسرائيل إلى اتفاق لتطبيع العلاقات بينهما، وصفه بـ"التاريخي".

    وقوبل الاتفاق بتنديد فلسطيني واسع من الفصائل الفلسطينية، فيما عدته القيادة الفلسطينية، عبر بيان "خيانة من الإمارات للقدس والأقصى والقضية الفلسطينية".

    ويأتي إعلان اتفاق التطبيع بين تل أبيب وأبو ظبي، تتويجا لسلسلة طويلة من التعاون والتنسيق والتواصل وتبادل الزيارات بين البلدين.

    الأخبار المنشورة على الصفحة الرسمية لوكالة الأناضول، هي اختصار لجزء من الأخبار التي تُعرض للمشتركين عبر نظام تدفق الأخبار (HAS). من أجل الاشتراك لدى الوكالة يُرجى الاتصال بالرابط التالي.


    aa.com.tr/

  • #2
    Un membre du bureau politique du mouvement, Hussam Badran, a déclaré que le rejet de la normalisation par le Premier ministre Saad al-Din al-Othmani était «positif et favorable à la cause palestinienne».
    24.08.2020
    Hamas: il apprécie la position du Maroc rejetant la normalisation avec Israël

    Gaza / Nour Abu Aisha / Anatolie

    Lundi, le mouvement «Hamas» a apprécié la position du Premier ministre marocain Saad Eddin El Othmani, rejetant «toute forme de normalisation avec Israël».

    «Nous exprimons notre appréciation pour la position d’Othmani, le Premier ministre marocain, qui rejette catégoriquement toute forme de normalisation avec l’occupation», a déclaré Hossam Badran, membre du bureau politique du mouvement.

    Et il a ajouté: "Nous en tant que Palestiniens, et en tant que Hamas, le regardons avec respect et remerciements, d'autant plus que son rejet vient à la lumière de l'effondrement honteux de certains régimes arabes qui se précipitent vers l'occupant."

    Badran a décrit la position d'Othmani comme "positive et favorable à la cause palestinienne", notant que "la profondeur arabe et islamique est l'un des facteurs de force les plus importants face à l'occupation et à ses plans criminels".

    Dimanche soir, Al-Othmani a confirmé le rejet par son pays de tout "processus de normalisation avec l'entité sioniste", considérant que la normalisation "fournit un motif pour l'occupation d'augmenter ses violations des droits et des droits du peuple palestinien".

    Et Othmani a ajouté, lors de sa participation à une activité du parti «Justice et Développement» (le leader de la coalition gouvernementale), que «les atteintes aux droits du peuple palestinien sont des lignes rouges pour le Maroc».

    La position du Maroc contre la normalisation vient à la lumière de l'annonce du président américain Donald Trump, le 13 août, que les Émirats arabes unis et Israël sont parvenus à un accord pour normaliser les relations entre eux, qu'il a qualifié d '"historique".

    L'accord s'est heurté à une condamnation palestinienne généralisée par les factions palestiniennes, alors que les dirigeants palestiniens l'ont considéré, à travers une déclaration de «trahison par les Emirats de Jérusalem, Al-Aqsa et la cause palestinienne».

    L'annonce de l'accord de normalisation entre Tel Aviv et Abu Dhabi est l'aboutissement d'une longue série de coopération, coordination, communication et échange de visites entre les deux pays.

    L'actualité publiée sur la page officielle de l'agence Anadolu, est une abréviation de la partie de l'actualité qui est présentée aux abonnés via le système de diffusion en continu (HAS). Pour vous abonner à l'agence, veuillez contacter le lien suivant.

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    • #3
      La position officielle d'Alger se fait désirer ?!!!oeilfermé
      Pourquoi ?
      On a peur de fâcher les Emirats ?
      Les émiratis possèdent ils des moyens de pression contre les généraux de l'anp qui empêcheraient Alger de s'exprimer sur la question de la normalisation de son allié (financier) avec Israël ?!!!

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      • #4
        La position officielle d'Alger se fait désirer ?
        La position officielle d'Alger est bien connue a moins que vous êtes un attardé.
        Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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        • #5
          La position officielle d'Alger est bien connue a moins que vous êtes un attardé.

          en tout cas elle n'a pas été exprimée, si le maroc avait fait comme les émirats on aurait eu droit à je ne sais combien de communiqués officiels du pouvoir dz, mais là ce sont les émirats donc.....

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          • #6
            a moins que vous êtes un attardé.
            Comment appelle t on un adulte qui joue au ''sot''a sable, ehh c'est un attardé mentale,et c'est exactement ton cas,il n'y a pas de ''a moins'' a ajouté.

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            • #7
              Ya dindou, Sérieusement votre roi a bien choisi son camps.
              Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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              • #8
                Le Maroc, agent d'infiltration et grand ami d’Israël depuis toujours, apparemment il y a une douzaine de ministres issus du Maroc dans le gouvernement Netanyahu.

                Le royaume a une importance stratégique pour l'entité sioniste, il s'occupe à déranger l'Algérie, surveiller la Mauritanie et la Tunisie et d'autres missions en Afrique. C'est la profondeur et l'arrière cour qu’Israël perdra si jamais une normalisation s'effectue.

                Le travail n'est pas fini, la normalisation c'est pour après.
                Yaw rouhou talla3bou b3id !
                وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                • #9
                  évidemment le mutisme d'Alger à ses raisons :



                  Afrique du Nord News

                  Les Emirats arabes unis, le coffre fort du pouvoir algérien

                  Par La RédactionPublié le 4 juillet 2019

                  Forte des liens financiers tissés avec les clans au pouvoir en Algérie, la monarchie pétrolière émiratie oeuvre dans les coulisses pour favoriser l’instauration d’un régime fort en Algérie. A l’égyptienne.

                  Principaux alliés de la monarchie séoudienne et interlocuteur privilégié de l’administration Trump au Moyen Orient, les Emirats arabes unis (EAU) ont été à l’origine, ces dernières années, d’une diplomatie extrêmement agressive, mais jamais proclamée et toujours dissimulée. Cette discrétion légendaire des Emirats contraste avec la stratégie médiatique de leurs frères ennemis du Qatar. Lesquels, lors du printemps arabe, ont toujours proclamé haut et fort leurs choix diplomatiques pour le meilleur et pour le pire.

                  Une machine à cash
                  On a vu le prince héritier et ministre séoudien de la Défense, Mohamed ben Zayed Al Nahyane, surnommé MBZ, à l’oeuvre en Egypte lorsque les Emirats ont soutenu en 2013 le coup d’Etat du maréchal Sissi et en Libye, où le maréchal Haftar n’a rien à lui refuser. La diplomatie émiratie est également très active en Tunisie, où elle intrigue pour mettre fin au processus démocratique né du départ du général Ben Ali en 2011. Les EAU sont présents également au Soudan et tout récemment en Mauritanie, où le président Aziz ne refuse pas leurs avances et leurs gâteries. Dans la guerre sanglante du Yémen, les troupes des EAU interviennent avec une brutalité inégalée. Ce qui vaut à MBZ lune plainte à Paris pour « complicité de crime de guerre » déposée par six citoyens yéménites.

                  Devenue une formidable machine à blanchir l’argent sale, la monarchie pétrolière s’est toujours montré accueillante, ces dernières années, pour abriter, dans ses banques de Dubaî ou d’Abou-Dhabi, les comptes discrets de nombreux dirigeants du monde arabe, maghrébin et africain.

                  Grace aux liens étroits qu’ils ont tissés aussi bien avec le clan Bouteflika mais ausis avec le chef d’état major, Gaïd Salah, les Emiratis jouent un rôle particulièrement trouble mais décisif dans la crise que traverse aujourd’hui l’Algérie. Le seul objectif de cette monarchie rétrograde est de freiner le mouvement populaire algérien et d’oeuvrer en Algérie en faveur d’un régime musclé, comme celui du maréchal Sissi en Egypte.

                  Un tweet en forme d’aveu
                  « Les Emiratis tombent, les Boutef tombent aussi ». « Attention aux trois diables: la France, les Séoudiens et les Emiratis, les plus sournois ». « Nous disons aux Emirats, ne surfez pas sur la vague ». Les manifestants qui défilent en masse, chaque vendredi, dans les principales villes algériennes ne sont pas dupes du jeu trouble de leurs « frères » du Golfe. De nombreuses banderoles dénoncent l’ influence néfaste des émiratis, leur penchant pour la corruption et leur alliance avec le camps Bouteflika.

                  Voici quelques jours, un échange de tweets entre deux conseillers influents des monarchies pétrrolières dévoilait les intentions cachées du pouvoir émirati. Turki Al Hammad, l’éminence grise du Premier ministre séoudien, Mohamed Ben Salmane, dit MBS, est un universitaire connu dans l’ensemble de la péninsule d’Arabie pour son ouverture d’esprit. Au lendemain des manifestations du 8 mars en Algérie et des annonces qui vont suivre, cet intellectuel libéral est impressionné par la présence féminine et le rôle déterminant de la femme dans les mobilisations algériennes. Ce dont témoigne le tweet qu’il rédige alors. « Le retrait de Boueflika est constructif, mais l’institution militaire va-t-elle en faire autant ? C’est la question la plus importante ». Ce qui lui vaut une réplique immédiate d’Abdel Khaleq Abdellah, un des principaux sherpas du prince héritier émirati MBZ : « L’armée ne partira pas, seule compte la stabilité de l’Algérie. Ce n’est pas le moment pour un retrait des militaires ».

                  L’aveu est de taille. Le pouvoir émirati fait confiance à Gaïd Salah pour maitriser la colère populaire. Ce n’est pas un hasard si, lorsqu’il rentre précipitamment des Emirats lors des premières manifestations de rue en Algérie, le chef d’état major, sur un ton martial, met en garde les manifestants sur les risques de troubles et soutient ouvertement le camp présidentiel.

                  L’échange sur internet des deux sommités de la péninsule arabique provoque un déchainement de tweets. On voit s’opposer partisans et opposants de l’implication des Emiratis et de leurs alliés séoudiens dans les politiques internes des pays arabes. Des opposants égyptiens, turcs, mais aussi marocains et mauritaniens dénoncent explicitement l’ingérence des EAU dans la crise algérienne. Du moins jusqu’à ce que les deux tweets qui ont mis le feu aux poudres disparaissent d’internet, l’aveu que l’intusion des Emirats dans la politique algérienne est un sujet plus que d’actualité.

                  L’idylle entre Bouteflika et les Ben Zayed
                  L’étroitesse des relations entre Abdelaziz Bouteflika et la dynastie des Ben Zayed est un secret de polichinelle. Elle remonte aux années 1980 lorsque les Emiratis accueillaient le futur président algérien en pleine traversée du désert et arrondissaient ses fins de mois. Parvenu aux affaires en 1999, Bouteflika n’est pas amnésique.

                  Certes, sur le plan diplomatique, Abdelaziz Bouteflika conservera comme président une indépendance certaine vis à vis des monarchies pétrolières. Le président algérien a toujours refusé de choisir entre les frères ennemis du Golfe et a su, malgré sa proximité historique avec les Ben Zayed maintenir des relations cordiales avec le Qatar. En Libye et en Tunisie, Alger se montre favorable à des solutions de compromis avec les Frères Musulmans contrairement au positionnement guerrier des EAU/

                  En matière industrielle et finacière en revanche, cette prudence n’aura pas été de mise. La présence des Emiratis en Algérie doit tout à l’arrivée de Bouteflika au pouvoir en 1999.

                  Ainsi, les Emiratis qui ont une stratégie constante de conquête des installations portuaires à travers le monde se sont vu octroyer le marché de la gestion du Port d’Alger en un temps record, alors qu’il s’agit d’un secteur stratégique dans la gestion des flux commerciaux qui fut longtemps la chasse gardée des services de renseignement de l’ex DRS. Le pouvoir algérien a confié, dans un deuxième temps, à un groupe émirati, la Sraem, présidée par Mohamed Al-Cheebane, un proche de MBZ, l’essentiel du marché du Tabac. Cet homme d’affaires choyé à Alger occupe à l’année une suite royale à l’hotel Sheraton où il reçoit beaucoup.Par: Nicolas beau in MA du 22 mars 2019



                  https://www.adn-news.com/wp-content/...6-1000x600.jpg

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                  • #10
                    Ya el gnina, C'est du passé, quand les émiratis n'avez pas de relations avec Israel. Il va falloir que vous devez vous mettre a jour.
                    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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                    • #11
                      Les citoyens d’origine marocaine en Israël sont plus de 800 000. C’est la deuxième communauté, derrière les juifs russes (Jeune Afrique).
                      Avec 10 ministres ... hé hé hé.
                      Non, le merrouk ne va pas avoir des relations avec Israel.

                      L'Algérie, seul pays à payer ses dus aux palestiniens !
                      quelques dizaines de millions $.
                      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                      • #12
                        Ya el gnina, C'est du passé, quand les émiratis n'avez pas de relations avec Israel. Il va falloir que vous devez vous mettre a jour
                        Ya al mkelakh, l'argent n'a pas d'âge, la preuve c'est le silence assourdissant d'Alger de peur de se le voir bloqué dans les coffres forts de dubai.
                        Aucun officiel algérien n'a eu le courage de piper un mot pour désavouer cette normalisation Israël -eau.
                        L'anp les a prévenu.

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