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Selon un diplomate sud-coréen, le leader nord-coréen Kim Jong-un, 36 ans, aurait été placé dans un coma artificiel. Sa sœur cadette pourrait prendre sa place à la tête du pays.
Les spéculations autour de l'état de santé de Kim Jung-Un vont bon train en Corée du Nord.
Selon de nouvelles rumeurs, son dirigeant Kim Jung Un aurait été placé dans le coma. De nombreux médias du monde entier reprennent en effet lundi les propos de Chang Song-min, l’ex-assistant du défunt président sud-coréen Kim Dae-jung.
Selon ce proche de l'ancien président sud-coréen Kim Dae-jung, le dictateur serait dans le coma quelques jours après avoir confié le pouvoir à sa sœur Kim Yo-jong. "Je pense qu’il est dans le coma, mais sa vie n’est pas terminée", expliquait-il dans des médias sud-coréens.
Le 19 août dernier, Kim Jong-un était malgré tout encore présent lors d’une session plénière du Parti des Travailleurs.
Le dirigeant avait évoqué lors de cette session les "défaillances et accomplissements" du régime depuis la tenue en 2016 du précédent congrès, selon l’agence officielle nord-coréenne KCNA.
La semaine dernière, le service national de renseignement avait annoncé que Kim Jong-un exerçait toujours "le pouvoir absolu" mais qu’il transférait progressivement son autorité à sa sœur Kim Yo-jong, 32 ans, "pour soulager son stress».
Ce n’est pas la première fois que la rumeur court sur l’état de santé du leader nord-coréen. En avril dernier déjà, des médias avaient affirmé qu’il était dans l’incapacité de gouverner après une opération cardiaque. Mais quelques jours plus tard, Kim Jong-un apparaissait en public. Comme si de rien n'était.
Si l'état de santé du dirigeant nord coréen venait à se dégrader, sa sœur pourrait devenir la première "dictatrice" du globe.
Diplômée en informatique, Kim Yo-jong a été nommée, en 2014, directrice adjointe du département de la propagande.
Selon plusieurs rapports et spécialistes, Kim Yo-jong aurait été promue à une position politique importante en fin 2019, un poste équivalent à celui de vice-président.
Le BP
Les spéculations autour de l'état de santé de Kim Jung-Un vont bon train en Corée du Nord.
Selon de nouvelles rumeurs, son dirigeant Kim Jung Un aurait été placé dans le coma. De nombreux médias du monde entier reprennent en effet lundi les propos de Chang Song-min, l’ex-assistant du défunt président sud-coréen Kim Dae-jung.
Selon ce proche de l'ancien président sud-coréen Kim Dae-jung, le dictateur serait dans le coma quelques jours après avoir confié le pouvoir à sa sœur Kim Yo-jong. "Je pense qu’il est dans le coma, mais sa vie n’est pas terminée", expliquait-il dans des médias sud-coréens.
Le 19 août dernier, Kim Jong-un était malgré tout encore présent lors d’une session plénière du Parti des Travailleurs.
Le dirigeant avait évoqué lors de cette session les "défaillances et accomplissements" du régime depuis la tenue en 2016 du précédent congrès, selon l’agence officielle nord-coréenne KCNA.
La semaine dernière, le service national de renseignement avait annoncé que Kim Jong-un exerçait toujours "le pouvoir absolu" mais qu’il transférait progressivement son autorité à sa sœur Kim Yo-jong, 32 ans, "pour soulager son stress».
Ce n’est pas la première fois que la rumeur court sur l’état de santé du leader nord-coréen. En avril dernier déjà, des médias avaient affirmé qu’il était dans l’incapacité de gouverner après une opération cardiaque. Mais quelques jours plus tard, Kim Jong-un apparaissait en public. Comme si de rien n'était.
Si l'état de santé du dirigeant nord coréen venait à se dégrader, sa sœur pourrait devenir la première "dictatrice" du globe.
Diplômée en informatique, Kim Yo-jong a été nommée, en 2014, directrice adjointe du département de la propagande.
Selon plusieurs rapports et spécialistes, Kim Yo-jong aurait été promue à une position politique importante en fin 2019, un poste équivalent à celui de vice-président.
Le BP
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