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Badissiya novembriya: De nasser a taleb ahmed

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  • Badissiya novembriya: De nasser a taleb ahmed

    C’est la dernière - et probablement l’une des plus dangereuses - escroquerie du système. A entendre les suggestions de certains commentateurs, à revisiter les manœuvres lancées au début du mouvement du 22 février ou à lire les gestes et décisions du pouvoir actuel, la Badissiya novembriya, serait l’artisan du déclenchement de l’insurrection du premier novembre que les Oulémas ont pourtant condamné sans appel en 1954. La stratégie de la falsification de l’Histoire reste la souche politique du binôme islamisme-militarisme.

    Soummam : source et mirador du projet démocratique

    La dernière commémoration du congrès de la Soummam a soulevé tollé et indignation à la suite de la participation de quelques personnes peu susceptibles d’adhérer aux principes énoncés lors de la rencontre du 20 aout 1956. La « primauté du politique sur le militaire » et le rejet de « la restauration d’une quelconque monarchie ou théocratie désormais révolue » ne sont, en effet, pas des idées auxquelles seraient perméables les héritiers de Kafi, qui a qualifié Abane de traitre, et encore moins de ceux de Benabi qui a considéré l’assassinat du même Abane comme une récompense offerte par Dieu à l’Algérie. Et pourtant, les adeptes de ces deux personnes, entre autres adversaires historiques de la Soummam, étaient présents à Ifri la semaine dernière. Aucun des ces invités surprises n’a daigné prononcer un mot pouvant attester de leur éventuelle distanciation avec les positions anti-Soummam de leurs mentors. Un groupuscule portant une pancarte saluant un ancien responsable du FIS a même failli mettre le feu au poudre. La fébrilité qui commençait à gagner la foule a été heureusement contenue par des citoyens qui avaient compris que donner prise à la provocation était le meilleur moyen de perturber une cérémonie populaire rassemblant spontanément des Algériens progressistes de toutes régions, toutes générations et toutes origines sociales autour des véritables objectifs de la guerre de libération. En la circonstance, la sagesse fut bienvenue. Mais c’est une chose de ne pas tomber dans le piège du parasitage islamiste, c’en est une autre de minimiser ou nier ses menaces et, plus grave, de l’adouber comme s’essaient à le faire des acteurs en mal de repères et stratégies.
    Répétons le jusqu’à ce que la vérité devienne réalité : c’est à la Soummam que le projet démocratique national fut conçu, discuté et proclamé; c’est là que ce projet est toujours assumé et défendu par le peuple souverain.

    Collusion entre militarisme et islamisme

    Le pouvoir et les islamistes qui ne désespèrent toujours pas de pervertir l’alternative démocratique et sociale de la Soummam par la supercherie Badissiya novembriya sont bien ennuyés par la ferveur populaire qui entoure ce moment politique cardinal de notre histoire contemporaine. Incapable d’enterrer l’évènement, les deux compères s’emploient à mener méthodiquement une opération de pollution-récupération, manipulation bien connue dans les systèmes autoritaires. Quand, pour une raison ou une autre, la répression n’est plus possible, on tente le dévoiement.

    En l’occurrence, les islamistes adoptent une lecture monoculaire de la plate-forme soummamienne. Ils disent adhérer maintenant au principe de « la primauté du politique sur le militaire » mais zappent la condamnation de « la monarchie ou théocratie désormais révolue ». De son côté, le pouvoir qui entretient un embargo national sur le premier et unique congrès d’un front politique fédérant les sensibilités représentatives du peuple algérien a quand même demandé au wali de Bgayet de se rendre aux aurores à Ifri pour y déposer une gerbe de fleurs…une commémoration clandestine en quelque sorte. L’acte est perfide. Le régime ignore le congrès de la Soummam dans les célébrations nationales mais il consent à s’en souvenir dans ses démembrements locaux. C’est là une manière de donner prise aux accusations de Nasser qui stigmatisait la rencontre d’Ifri : une réunion de Kabyles ( entendus comme des ennemis par les moukhabarates du Caire), avait-il fait dire à son responsable des services spéciaux Fathi Dib, accessoirement parrain politique de Ben Bella. Les islamistes tronquent la Soummam, le pouvoir la ghettoïse. S’il fallait encore une preuve de la collusion pouvoir-islamistes contre la perspective démocratique, elle vient de nous être donnée ce 20 aout… à la Soummam.

    Briser l’encerclement maléfique

    Nasser n’est plus là pour perpétuer l’amputation et la déviation de notre histoire avec ce que cela a charrié comme dommages politiques et institutionnels. En bon élève, le pouvoir prend le relai et ne s’encombre pas de scrupules pour cultiver le déni, entretenir confusions et amalgames et, au bout du compte, perpétuer l’imposture. La grande mosquée d’Alger dont le prix réel est bien loin des chiffres avancés, est le symbole des dérives mégalomaniaques et de la corruption démoniaque de l’équipe précédente dont les successeurs ont toutes les peines du monde à se démarquer. Cet attentat à la sobriété et au dévouement des patriotes qui ont allumé la flamme libératrice, cette insulte à la majorité de nos concitoyens happés par la précarité sociale sera, annonce-t-on, inaugurée le premier novembre prochain. Il faut espérer qu’il reste dans l’équipe dirigeante une ou deux personnes ayant encore un brin de lucidité et de dignité pour annuler cette provocation symbolique et politique. En plus de l’outrage moral que représente cette érection architecturale, monstruosité urbanistique dont des professionnels algériens ont tenté en vain de préserver la baie d’Alger, le choix de cette date révèle un entêtement aussi suicidaire que cynique. Il faut être aveugle et sourd ou grisé par les apparats du pouvoir pour croire possible de maintenir un ordre politique négateur de vérité, de liberté et de progrès ; ordre que l’histoire a condamné, que le peuple dénonce avec une unanimité rarement constatée dans le pays et dont les conséquences les plus tragiques se rappellent quotidiennement à nous dans les felouques qui quittent les côtes algériennes avec le risque, hélas trop souvent vérifié, de ne jamais atteindre l’autre rive. S’il fallait célébrer cette forfaiture morale, écologique et financière; s’il fallait que l’Algérien endure cet outrage, s’il fallait encore s’enfoncer dans la trahison du premier novembre, il faudrait, tant qu’à faire, ramener Bouteflika pour procéder à sa mise en service. Cette mosquée est l’affirmation de sa volonté, l’expression de son délire et la marque de fabrique de son règne dévastateur. Pour l’Algérien, ce bâtiment sera pour toujours et à jamais le monument dédié à l’omnipotence d’un homme revanchard et égotique devant lequel se sont agenouillés des courtisans complices de sa gabegie et de la voracité de ses clans.

    En souillant le premier novembre par un bâtiment religieux, temple de la corruption et d’abus de pouvoir, le régime adresse un pied de nez aux manifestants qui exigent un changement radical. Du point de vue du système FLN, la guerre de libération est et restera une boutique théocratique qui est le contraire de ce que préconisait la Soummam. Tactiquement, c’est une manière de donner des gages aux islamistes ; stratégiquement, il y a là confirmation - au cas où des naïfs entretiendraient encore quelques illusions - de la détermination à continuer à sévir par le hold-up mémoriel. L’objectif comme la recette sont intangibles. Toujours serrer les coudes avec l’intégrisme pour se liguer contre l’élan républicain quand l’essence du système autocratique est en jeu. Sans légitimité ni éthique, le pouvoir n’hésite pas à faire endosser ses vilénies aux martyrs qui se sont engagés pour des objectifs rigoureusement contraires à ceux dont il tire profit.

    Comme si l’offense de l’inauguration du monument de la folie despotique ne suffisait pas, on dit vouloir organiser le même jour un référendum pour mettre à jour une ruse électorale via un coup de force constitutionnel. Il ne suffit pas de priver le peuple de ses libertés et droits. Il faut l’amener à résignation. Jeu dangereux. A trop abuser de sa force on finit par la décrédibiliser et lui ôter toute capacité d’intimidation ou de persuasion. C’est au moment où le citoyen demande la remise au musée des repères nationaux qu’on viole la charge patriotique du premier novembre et que l’on pervertit la valeur émancipatrice de la Soummam; symboles des sacrifices et des espérances algériennes s’il en est. L’asphyxie démocratique demeure la méthode et l’horizon d’un régime algérien dont il est difficile de savoir s’il agit sous l’effet d’une euphorie puérile, d’un affolement mal maitrisé ou d’une arrogance irresponsable.

    Fondamentalement, la question démocratique est plus pendante que jamais. Nous sommes toujours à la case départ. Les opportunités de débattre du destin national ne sont pas fréquentes. Rien ne dit qu’une autre occasion se représentera de si tôt. Acculer au débat est un impératif patriotique. C’est maintenant ou jamais. Pourquoi ?

    La conception aliénante de la vie publique, partagée par les militaires et les islamistes, se constate chaque jour. Un homme a incarné dans le fond et sur la durée la symbiose entre militarisme et islamisme : Ahmed Taleb Ibrahimi.
    Il semble en effet que les conseils de ce personnage – qui a l’oreille du chef de l’Etat - et l’activisme de ses relais pèsent lourd dans les décisions et choix stratégiques de la présidence algérienne, pressée de veiller à la pérennité du mensonge national : en détournant la guerre de libération vers le fondamentalisme, on assure la prééminence de la violence militaro-policière sur laquelle est assis le système politique algérien depuis 1962. L’Algérien sera plus sujet que citoyen. Après avoir livré l’école à l’islamisme et infiltré l’administration par ses ouailles*, Taleb ne renonce pas à planter dans les flancs de l’insurrection citoyenne une ultime banderille : neutraliser la révolution du 22 févier par la désinformation historique qui ferait de la Badissiya, dont son père fut l’une des figures de proue, le ferment de la conscience révolutionnaire algérienne.

    La Badissiya qui a condamné l’insurrection armée en 1954 puis renié la Soummam en 1957 à partir du Caire avec la bénédiction égyptienne poursuit son pressing. Elle choisit un premier novembre pour répondre à la révolution du 22 février par une double pollution : l’inauguration d’une mosquée sacrilège et l’organisation d’un référendum humiliant. Briser cet encerclement est une question de survie nationale.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

  • #2
    Il faut bien comprendre qu’en Algérie la bataille de la démocratie passe par la réhabilitation de l’éducation et la réappropriation de la mémoire. La ferveur et la constance qui accompagnent la commémoration de la Soummam, l’infusion de ses principes dans la révolution citoyenne, les débats, certes atomisés mais si vivaces et permanents, attestent que du point de vue historique le couple pouvoir-islamistes a perdu la bataille. Il reste à gagner la guerre de la construction nationale jusque là contrariée par la propagande et la censure. Il est difficile d’y parvenir sans un espace de débat sérieux et autonome qui ouvre la voie aux échanges argumentés et sereins. L’urgence de la clarification appelle la création d’un vecteur assumant sans réserve le projet démocratique et qui soit ouvert à tous les avis politiques récusant la violence et l’invective ; deux travers qui font leur miel dans l’anonymat du net ou sur des supports dont la ligne éditoriale se résume aux anathèmes lancés contre les citoyens réfractaires aux postures dogmatiques, militaristes ou islamistes. Force est de constater que face aux moyens de l’Etat et des islamistes il y a un déséquilibre qui sanctionne l’alternative démocratique. La répression qui s’abat sur les journalistes y est pour beaucoup. N’y a-t-il que cela ? La censure qui frappe certaines contributions étant, entre autres, un des signes d’une frilosité médiatique dont ne peut s’accommoder le pays dans une période où tout appelle au changement et à l’audace. Il ne s’agit pas de juger ici des conditions et raisons qui ont conduit la presse à voir ses prérogatives progressivement rognées mais d’en prendre acte pour parvenir à compenser ce handicap.
    L’autre condition pour l’ouverture d’un chemin restaurant la raison et le courage politiques nécessaires à l’accomplissement d’un nouveau destin algérien est le rétablissement du consensus démocratique qui a prévalu en Kabylie lors du printemps d’avril 80. Notre Histoire contemporaine l’enseigne : une Kabylie stabilisée induit toujours un élan qualitatif émancipateur sur l’ensemble du pays.

    * Voir l’accablant témoignage de Belaid Abdeslam à ce sujet.

    A la sortie du livre de Belaid Abdeslam, Ahmed Taleb Ibrahimi publie dans le Soir d’Algérie un long texte faisant l’inventaire des actes et propos de son père, le cheikh Bachir Ibrahimi qui se voulait une réponse au témoignage d’Abdeslam qu’il prend soin de ne pas citer. L’écrit alambiqué ne dément aucune des accusations, aussi graves que précises, qui dénoncent la stratégie de l’entrisme islamiste mise en œuvre par Taleb pendant tout le temps où qu’il était en charge de l’éducation ou de l’information et de la culture.

    Said Sadi
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #3
      Il faut espérer qu’il reste dans l’équipe dirigeante une ou deux personnes ayant encore un brin de lucidité et de dignité pour annuler cette provocation symbolique et politique.
      Il faut vraiment souhaiter qu'il reste des lucides pour empêcher cette gifle au peuple qui crie ses souffrances et la misère qu'il vit au quotidien. Le 1er novembre est la victoire du peuple pour une Algérie où leurs enfants pourront étudier dans de grandes écoles et se soigner dans des hôpitaux parfaitement équipés. La religion est respectée de tous mais chacun sait qu'Allah n'a jamais demandé à quiconque d'appauvrir le peuple pour construire une mosquée dont le coût aurait pu permettre d'avoir l'hôpital le plus moderne et performant de toute l'Afrique ...
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #4
        je n'ai jamais compris ce truc
        zwina est ce que tu peux m'expliquer en deux mots c'est quoi cet ovni
        tu m'as posé la question sur les barrages du temps de Boumedienne quelques barages ont été réalisé même au Sahara (Djorf ettourba) et des barages même souterains comme vers laghouat fait par les Français
        aussi du temps de Bouteflika
        le problèmes chez les fara3in ... Les zzou3ama ne disent jamais à personne que eux ne font que blablater parler et ce sont les autres qui font et prennent l'argent du pétrole
        comme les Turque pour un petit (une sorte de retenue d'eau vers Douira), mais toujours sous les conseils du savoir faire de ceux qui savent faire et ce sont donnés la peine de maîtriser le destin et font payer à ceux qui ne savent et ne font que parler (elhadra berk)
        (c'est la raison pour la quelle je suis rentré aider avec une goutte d'eau comme le colibris avec espérance à commencer à maîtriser le destin
        je n'ai rencontré que des fourbes des imposteurs et des faux et des qui changent de discours comme ils changent de chemises ) et surtout une suffisance de malades mentaux wahed qalli on a pas besoin de personnes comme toi 3andhoum 3erg msauti ferras et ont un rapport au pays nta3 les desquilibrés mentaux comme si le pays melkou et qu'il fait ce qu'il veut avec ... c'est ce qu'ils ont en fait jusqu'à maintenant le détruire

        chaque domaine est une catastrophe

        Ces retenues aident à alimenter un peu mais c'est des stocks soumis aux aléas du climat et la pluviométrie ce n'est pas négligeable mais on ne peut pas ordonner à la pluie de tomber comme pensent les fara3in. Le reste se sont des puits puisant dans la nappe souterraine. La question de l'eau n'a jamais été réellement expliqué au peuple algérien pour comprendre son enjeu capital ...
        c'est triste le niveau de sincérité avec lequel est conduit ce pays
        par certains ...
        explique moi ce que veut dire ce truc de badissia nouvamabaria
        c'est encore de la poudre de perlimpinpin ?
        Dernière modification par Aloha, 27 août 2020, 11h24.

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        • #5
          Aloha

          explique moi ce que veut dire ce truc de badissia nouvamabaria
          c'est encore de la poudre de perlimpinpin ?
          C'et la même poudre de perliimpinpin qui a été utilisé en 1962 pour voler la révolution. Ils vont tenter de piéger les plus crédules en utilisant le même opium pour endormir les masses populaires. Ils jouent avec la religion parce qu'ils savent que la masse non instruite est facilement manipulable. Les imposteurs parviennent à se maintenir dans les arcanes du pouvoir depuis l'époque des ottomans, en jouant avec les mêmes polémiques et la division. Surtout qu'ils n'ont pas été cherché loin avec leur Badissiya, c'est le clan des B avec les mêmes pratiques qu'à l'époque coloniale, tous d'anciens sbires qui ont passé les mailles des filets ...
          Dernière modification par zwina, 27 août 2020, 12h30.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            Merci zwina
            j'ai compris

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            • #7
              l’insurrection du premier novembre que les Oulémas ont pourtant condamné sans appel en 1954.
              petit menteur.
              je m’arrête ici.
              وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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              • #8
                ce qui est un gros souci en Algérie c'est ça
                personne ne reconstruit tout le monde détruit tout le monde dans la joie et la folie
                la vraie celle des pathologiques qui ne sont pas conscients
                Je donne l'exemple de la France après 1945
                il faut savoir lorsque De gaules est rentré de son exile pour reconstruire son pays il a tout de suite
                dit : nous devons construire le pays et nous allons pas nous entre-tuer qui de nous était collaborateur avec les allemands et qui était résistant
                il a ordonné et mis en mouvement la construction de son pays ...
                ici 60 ans après et encore hier les uns mettent les autres en prison ... comme pour dire je suis mieux que toi toujours et encore ... je suis plus amoureux de ce pays
                l'Algérie n’intéresse personne en fait ça les intéresse pour s'enrichir comme des ji3anine sur fond de commerce nationaliste vide pour que leur rejetons oubass s'ensortent ou leur douar ou leur houma le reste c'est la jungle
                les algériens doivent faire la paix et ne juger personne car ils sont tous pareils
                Voici la vraie justice avec laquelle il fallait commencer
                et construire sur des bases saines
                ils fabriquent du rejet et la destruction tout en pensant les plus nobles les plus les plus les plus
                cela n'a aucun sens et la folie est assez générale malheureusement
                irrationalité mon amour et l'art de l'humiliation ils n'arrivent pas à s'en débarrasser
                hélas
                Dernière modification par Aloha, 27 août 2020, 13h52.

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                • #9
                  l’insurrection du premier novembre que les Oulémas ont pourtant condamné sans appel en 1954.

                  petit menteur.
                  je m’arrête ici
                  Il suffit de connaître le sort dévolu à Cheikh Wartilani pour comprendre la triste réalité ...
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                  • #10
                    c'est des sujets redondants,débattus en large et en travers .
                    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                    • #11
                      La badissia novembaria est morte avec Gaid. Tebboune n'est qu'un bachagha installé par la France et ne se permettra que ce que la France lui permettra.

                      petit menteur.
                      Et pourtant c'est vrai et les Oulamas n'ont rejoint la révolution qu'en 56.
                      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                      • #12
                        c'est vraiment tout ce qu'ils savent faire



                        comme l3jayez plus les brimades du peuple



                        j'en ai vraiment raz le bol de la morbidité

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                        • #13
                          ce n'est pas possible
                          aller voir comment les pays voisins sont entrain de developper leur pays
                          le sens même de l'histoire de ce pays et son combat est entrain de partir
                          comme si ce sont les scribes avec un neurone qui passent leur temps à écrire et réécrire
                          le passé loukan ghir fahmou habba juste habba dans ce que veut dire liberté je comprends ...
                          ennass sont entrain d'écrire le présent et le future et houma qa3din yqar3jou fi le passé
                          et le pays daye3 et le rêve de sa jeunesse rah rah rah rah rah
                          putain mais réveillez vous
                          Dernière modification par Aloha, 27 août 2020, 16h57.

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                          • #14
                            ennass sont entrain d'écrire le présent et le future et houma qa3din yqar3jou fi le passé
                            Tu as bien raison. C'est le problème des pays arabes, ca ressasse à l'infini, France, Israel, Angleterre... mais pour le présent, ca fait crever tous les espoirs de leurs populations.

                            Commentaire


                            • #15
                              ennass sont entrain d'écrire le présent et le future et houma qa3din yqar3jou fi le passé
                              Tu as bien raison. C'est le problème des pays arabes, ca ressasse à l'infini, France, Israel, Angleterre...
                              Ce n'est pas ressasser le passé, c'est tout simplement de la politique. Tous les stratèges politiques ont parfaitement compris depuis Lawrence d'Arabie que les musulmans étaient facilement dirigeables en utilisant l'Islam et en lui faisant dire ce qui les arrangeait. Plutôt que rechercher la connaissance pour comprendre le Coran et être un bon musulman, la plupart se réfère à des gourous médiatisés qui leur font avaler tout et n'importe quoi. Ces méthodes ne peuvent marcher dans des pays comme la France ou l'Angleterre parce que les églises se sont vidées depuis que les chrétiens ont compris que leurs religieux les dupaient suite aux nombreux scandales qui ont entachés le christianisme. Par contre aux USA, on voit resurgir les évangélistes et les mormons dans des shows télévisés et de nombreux moutons tombent dans le panneau.
                              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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