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ONU: le confit au Sahara occidental traité comme "une question de décolonisation"

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  • ONU: le confit au Sahara occidental traité comme "une question de décolonisation"

    New York(Nations Unies), 29 aout 2020: Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a réaffirmé dans un récent rapport que la question du Sahara occidental est toujours sur la table de l'Assemblée générale de l'ONU en tant que question de décolonisation.

    "La question du Sahara occidental est toujours sur la table de l’AG de l’ONU en tant qu’une question de décolonisation et retenait également l'attention du Conseil de sécurité de l'ONU", qui l'a inscrite à son ordre du jour depuis 1975, souligne le chef de l'ONU dans son rapport sur les activités entreprises par les parties prenantes au cours de la troisième Décennie internationale de l'élimination du colonialisme dans le monde (2011-2020).

    Dans ce contexte, il explique que "le Conseil de sécurité a continué d'examiner les rapports du SG et adopté des résolutions sur la situation au Sahara occidental", territoire non autonome, occupé militairement par le Maroc depuis plus de 40 ans.

    Durant la période couverte par le rapport, "les envoyés et représentants spéciaux du secrétaire général ont continué de consulter les parties prenantes sur les moyens de remédier à la situation", ajoute le SG de l'ONU.

    Et rappelle que le Conseil de sécurité a demandé aux parties au conflit, le Front Polisario et le royaume du Maroc, de reprendre les négociations sous les auspices du secrétaire général, "sans conditions préalables et de bonne foi (...) en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable garantissant au peuple sahraoui le droit à l’autodétermination".

    La colonisation, un crime qui viole la charte des Nations Unies

    Par ailleurs, Guterres relève qu"au cours de la troisième Décennie, l’AG a examiné chaque année, que ce soit directement en séance plénière ou au sein de la quatrième Commission, plusieurs questions liées à la décolonisation et adopté des résolutions et des décisions à leur sujet", citant en cela celles relatives à " l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux et les activités économiques préjudiciables aux intérêts des peuples des territoires non autonomes y compris le Sahara occidental".

    Le chef de l'ONU estime que la fin de la troisième Décennie est "une occasion importante d'évaluer les progrès accomplis concernant la question de la décolonisation" qui demeure, selon lui, "une des priorités des Nations Unies, tout en poursuivant le plan visant à mettre fin au colonialisme conformément aux principes de la Charte et aux résolutions des Nations Unies en la matière".

    Au cours de la dernière décennie, le secrétaire général a continué d’offrir ses bons offices et de fournir au Comité spécial un appui fonctionnel, technique et administratif et des services d’information dans l’exercice de son mandat, met en exergue ledit rapport.

    Enfin, Guterres mentionne que les Nations Unies considéraient la poursuite du colonialisme sous toutes ses formes comme un "crime" qui viole la Charte des Nations Unies et les principes du droit international tels que stipulés par l'Assemblée générale dans la résolution 2621.

    Le rapport du SG de l’ONU donne un aperçu des principales activités entreprises par les parties prenantes au cours de la troisième Décennie internationale de l'élimination du colonialisme, dans le cadre de la mise en œuvre de la résolution 65/119 de l’Assemblée générale adoptée en 2010.
    Il fournit également les réponses reçues des Etats membres et des organismes des Nations Unies, des institutions spécialisées et des institutions internationales associées aux Nations Unies.


    SPS

  • #2
    Qui oserait stipuler le contraire? Comme la colonisation des territoires palestiniens par le sosie marocain qu'est Israël, l'affaire du Sahara Occidental obéit au même contexte.

    Commentaire


    • #3
      Comment se fait-il que la presse marocaine fasse confusion en mentionnant tantôt le "Sahara Occidental" et tantôt le "Sahara marocain"?

      Il faut savoir que les cas n'ont aucun lien particulier entre eux. Ainsi la dictature marocaine reconnaît la RASD mais il serait aberrant qu'elle (dictature marocaine) reconnaisse également le "Sahara marocain"!

      Sahara-ONU : Le rapport de Guterres contente à la fois le Maroc et l’Algérie

      Rabat et Alger ont interprété chacun à leur façon des extraits tirés du rapport du secrétaire général de l’ONU consacrés au dossier du Sahara occidental.

      A l’occasion de la 75e session de l’Assemblée générale de l’ONU, qui se tiendra cette année exceptionnellement par visioconférence, Antonio Guterres a rédigé un rapport sur les questions qui seront examinées par l’organisation internationale. Les extraits concernant le dossier du Sahara occidental ont fait les choux gras des médias officiels à Rabat et Alger.

      Ainsi, la MAP a tenu à préciser dans un article, que le secrétaire général «a mis en exergue l’examen de la question du Sahara marocain, par le Conseil de sécurité, en tant que différend régional, sous le chapitre VI de la Charte des Nations unies». Le texte définit en effet le rôle du CS en matière de prévention des conflits à travers une action non coercitive reposant sur le consentement des parties. Sur ce point, le Maroc a réussi depuis des années à inscrire le différend régional sous ce cadre de la charte de l’ONU et non pas selon les dispositions du chapitre VII qui prévoient des sanctions.

      Ainsi, la MAP a tenu à préciser dans un article, que le secrétaire général «a mis en exergue l’examen de la question du Sahara marocain, par le Conseil de sécurité, en tant que différend régional, sous le chapitre VI de la Charte des Nations unies». Le texte définit en effet le rôle du CS en matière de prévention des conflits à travers une action non coercitive reposant sur le consentement des parties. Sur ce point, le Maroc a réussi depuis des années à inscrire le différend régional sous ce cadre de la charte de l’ONU et non pas selon les dispositions du chapitre VII qui prévoient des sanctions.

      Cette précision étant faite, l’agence officielle a choisi de puiser du rapport de Guterres le passage réservé aux deux réunions de négociations, tenues à Genève en décembre 2018 et mars 2019, entre les représentants du Maroc, Algérie, Mauritanie et Polisario. Elles «ont constitué les premières rencontres en face à face dans le cadre du processus politique, depuis 2012», a écrit le Portugais. Pour la MAP, la présence de l’Algérie aux deux tables rondes de Genève «consacre une nouvelle fois, (son) rôle en tant que partie principale au différend régional sur le Sahara marocain, comme cela a été établi par le Conseil de Sécurité, notamment dans ses résolutions 2440 (2018), 2468 (2019) et 2494 (2019)».

      Ce qui conduit la MAP de conclure que le secrétaire général a dans son rapport affirmé que le processus doit être basé sur «les efforts consentis depuis 2006 et les faits nouveaux survenus depuis». Et «donc sur l’Initiative d’autonomie, qui est et demeure le seul effort et fait nouveaux survenus après 2006».

      A Alger le traitement est autre

      Pour l'Algérie, même rapport, autres extraits et interprétation diamétralement opposée. «La question du Sahara occidental est toujours sur la table de l’AG de l’ONU en tant que question de décolonisation et retient également l'attention du Conseil de sécurité de l'ONU», a retenu l’APS du texte du secrétaire général.

      Se défendant de toute ingérence sur le dossier, l’agence officielle de presse algérienne a estimé que l’appel d’Antonio Guterres à la «reprise des négociations sans conditions préalables» concerne uniquement «les parties aux conflits, le Front Polisario et le royaume du Maroc».

      Comme il est coutume dans tous les rapports de l’ONU et les résolutions du Conseil de sécurité sur cette question, le secrétaire général a plaidé pour «une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable» du conflit «garantissant au peuple sahraoui le droit à l’autodétermination». L'APS a également insisté sur l'appel de Guterres à «l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux et les activités économiques préjudiciables aux intérêts des peuples des territoires non autonomes».

      Ya..bi(extraits)

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      • #4
        Il faut relever que pour la dictature marocaine, tout lui appartient-Sahara Occidental, Sahara Oriental, Mauritanie, Ilot à chèvres ibérique de Persil et pourquoi pas la lune puisque l'alcoolo et banni heureux à Madagascar, le sultan M5, fut le premier humain à avoir foulé son sol.

        - En avril 1956, lors de la reconnaissance de l'indépendance marocaine par l'Espagne, la situation juridique des présides n'est pas remise en cause et le problème plus général des enclaves semble être passé sous silence. Toutefois, dès cette époque, les délégués marocains aux diverses conférences afro-asiatiques ou maghrébines commencent à réclamer l'indépendance et l'intégrité du Maroc « dans ses limites nationales », ce qui laisse entrevoir de futures revendications marocaines sur les territoires contrôlés par l'Espagne.
        (...).
        Le déclenchement de ses revendications était l’île de Leila, le statut juridique de cette île est peut-être l'un du plus controversé en mer Méditerranée, et c'est toujours un point potentiel de conflit. La commande de ce territoire a causé beaucoup de confrontations à travers l’histoire ; cependant, une dispute était allumée le 11 juillet 2002, quand un groupe de militaires marocains a pris le contrôle de l'îlot.
        (...).
        Dans la pratique, il y a une situation de l'incertitude et même du conflit potentiel : selon l'Espagne, cette île se trouve dans ses eaux juridictionnelles, tandis que selon le Maroc, l’île est situé, depuis la fin du protectorat espagnol, sur la zone nord du Royaume en 1956, au pied du Mont Moussa à moins de 200 m de la terre ferme donc elle est incluse dans les eaux territoriales marocaines telle qu’elle a été délimitée par le décret 275-311 du 21/07/1975 déterminant les lignes de fermeture de baie sur les côtes Marocaines et les coordonnées géographiques de la limite des eaux territoriales du Royaume du Maroc (voir décret en annexe) ce qui signifie que cette île relève de la souveraineté Marocaine, et que le Maroc, en vertu de la législation nationale sur les espaces maritimes et conformément au régime juridique prévu par la coutume et le droit international public pour les eau intérieures y exercer la plénitude et l’exclusivité de ses compétence territoriales.
        (...).
        En contre partie, le Maroc ait étendu à 200 milles marins sa souveraineté sur les côtes marocaines, et ce en vertu de la loi : 1-81 instituant, unilatéralement, une zone économique exclusive de 200 milles à l’effet d’explorer d’exploiter et de gérer les ressources naturelles et d’autres.

        Donc l’île Leila est considérée comme partie intégrante du territoire Marocain, et administrativement elle dépend du caïdat de Taghramt cercle de Jbala.

        Aussi les îles Chafarinas sont incluses dans les eaux territoriales Marocains telle qu’elles ont été de limitées par le décret 275-311 du 21/07/1975 donc elles relèvent de la souveraineté Marocaine-

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        • #5
          Site de l ONU :


          6 janvier 2018

          Le Secrétaire général, António Guterres, s'est dit samedi profondément préoccupé par le récent regain de tensions dans les environs de Guerguerat, dans la zone tampon au sud du Sahara occidental, entre la butte marocaine et la frontière mauritanienne.


          https://www.un.org/fr/peacekeeping/m...rso/news.shtml

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          • #6
            La question est simple : Cette phrase citée par l'APS et attribuée au SG de l'ONU est-elle réellement dans le rapport de Guterres ?

            «La question du Sahara occidental est toujours sur la table de l’AG de l’ONU en tant que question de décolonisation et retient également l'attention du Conseil de sécurité de l'ONU», a retenu l’APS du texte du secrétaire général.
            Attendons la publication en ligne du dit rapport.

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            • #7
              Dans un rapport adressé à l’Assemblée générale des Nations Unies, couvrant la période de 2011 à 2020, le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a mis en exergue l’examen de la question du Sahara marocain, par le Conseil de sécurité, en tant que différend régional, sous le Chapitre VI de la Charte des Nations Unies, relatif au règlement pacifique des différends.

              «Pendant la période considérée, le Conseil de sécurité a continué d’examiner les rapports du Secrétaire général et adopté des résolutions sur la situation concernant le Sahara», a souligné M. Guterres, ajoutant que «les envoyés et représentants spéciaux du Secrétaire général ont continué de consulter les parties sur les moyens de remédier à la situation».

              Dans ce cadre, M. Guterres a rappelé l’organisation, en Suisse, les 5-6 décembre 2018 et 21-22 mars 2019, par l’ancien Envoyé personnel Horst Köhler, de deux tables rondes entre le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le « polisario », « qui ont constitué les premières rencontres en face à face dans le cadre du processus politique, depuis 2012» consacrant, une nouvelle fois, le rôle de l’Algérie en tant que partie principale au différend régional sur le Sahara marocain, comme cela a été établi par le Conseil de Sécurité, notamment dans ses résolutions 2440 (2018), 2468 (2019) et 2494 (2019).

              Dans ces trois résolutions, le Conseil de sécurité a enjoint à l’Algérie, qui a créé et qui maintient ce différend régional pour des raisons géopolitiques héritées de la guerre froide, de travailler de manière constructive avec l’Envoyé personnel du Secrétaire général, dans un esprit de compromis, tout au long de la durée du processus politique, de sorte qu’il aboutisse.

              Par ailleurs, le Secrétaire général de l’ONU a mis en relief, dans ce rapport, l’adoption de la résolution 2494, le 30 octobre 2019, par laquelle le Conseil de sécurité «a décidé de proroger jusqu’au 31 octobre 2020, le mandat de la MINURSO et s’est félicité du nouvel élan impulsé par les deux tables rondes». Il sied de relever que la résolution 2494 est la seule mentionnée dans le rapport du Secrétaire général, bien qu’il couvre une période de 10 ans, la consacrant, ainsi, comme étant la référence et la base du processus politique, mené sous les auspices exclusifs du Secrétaire général des Nations Unies.

              La résolution 2494, faut-il le rappeler, a réaffirmé la prééminence de l’Initiative d’autonomie, dans le cadre de la souveraineté et de l’intégrité territoriale du Maroc, et consacré les paramètres de la solution de ce différend régional, qui ne peut être que politique, réaliste, pragmatique, durable et de compromis. Elle a, également, établi le processus de tables rondes, avec la participation pleine et entière de l’Algérie, comme seule voie pour mener le processus politique exclusivement onusien, jusqu’à son aboutissement.

              Cette résolution a, en outre, exigé, à l’instar de celles qui l’ont précédée depuis 2011, l’enregistrement des populations séquestrées dans les camps de Tindouf, que l’Algérie refuse, en violation de ses obligations internationales.

              L’absence de cet enregistrement favorise, notamment, le détournement des aides humanitaires destinées aux camps de Tindouf par les dirigeants du «polisario » et les responsables locaux, pour leur enrichissement personnel, comme confirmé dans les rapports d’inspection du HCR, du PAM et de l’Office Européen de lutte anti-fraude (OLAF), ainsi que par le Parlement européen.

              L’absence de cet enregistrement contribue, également, à la perpétuation des violations graves et systématiques des droits de l’Homme et du droit humanitaire international des populations de ces camps, impliquant directement la responsabilité du pays hôte, l’Algérie, comme récemment confirmé par le Comité des droits de l’Homme et le Groupe de travail sur la détention arbitraire du Conseil des droits de l’Homme.


              De même, le Secrétaire général de l’ONU souligne, dans ce rapport, que l’objectif ultime du processus politique, comme établi par le Conseil de sécurité, est de parvenir à une solution politique à ce différend régional, précisant que ce processus doit être basé sur «les efforts consentis depuis 2006 et les faits nouveaux survenus depuis», et donc sur l’Initiative d’autonomie, qui est et demeure le seul effort et fait nouveaux survenus après 2006.

              En mentionnant exclusivement la solution politique, la résolution 2494 et le processus de tables rondes, le Secrétaire général de l’ONU a totalement ignoré, comme il le fait depuis deux décennies, le plan de règlement et le référendum, assenant, une nouvelle fois, le coup de grâce aux tentatives désespérées et vaines de l’Algérie et de son pantin, le groupe armé séparatiste le «polisario», de ressusciter ces plans caducs, enterrés par le Conseil de sécurité depuis 2001.

              Le Conseil de sécurité et la communauté internationale ont choisi la voie de la légalité internationale en optant irréversiblement pour une solution politique, réaliste, pragmatique, durable et de compromis, incarnée par l’Initiative d’autonomie, dont le sérieux et la crédibilité son réaffirmés dans les 16 résolutions adoptées par le Conseil de sécurité depuis 2007.
              Par Maroc diplomatique

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              • #8
                La question est simple : Cette phrase citée par l'APS et attribuée au SG de l'ONU est-elle réellement dans le rapport de Guterres
                Et ben Oui, depuis des lustres en tant que territoire inscrit au comité des 24 sous l'iniative du Maroc

                La question du sahara figure toujours au comité des 24 qui a est un organe de l'assemblé générale.

                Il figure au même titre que Gibraltar et la la Nouvelle Calédonie comme les îles vierges.

                Sans pour autant avoir le pouvoir de statuer

                Et le comité des 24 n'est qu'une chambre à palabre.

                Et le Secrétaire générale rappelle que le CS demande aux partie une solution mutuellement acceptable dans le cadre de l'autodétermination du peuple du sahara occidentale.

                Sur base de compromis

                C'est bien ce point qui prime sur tout autre considération.
                Le Maroc est chez lui et indébounonable.
                Tu perds ton temps et le régime algérien perds son temps et son argent

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                • #9
                  - la question du Sahara marocain

                  Sahara Occidental ou Sahara marocain? Sinon, l'ONU n'a pas à se mêler du Sahara marocain ni d'ailleurs qu'elle n'est pas intervenue pour le Rf.

                  Commentaire


                  • #10
                    Bravo petit !

                    La question du sahara figure toujours au comité des 24 qui a est un organe de l'assemblé générale.
                    Comité dont la dénomination est "Comité spéciale de décolonisation". CQFD.
                    Dernière modification par jawzia, 29 août 2020, 17h31.

                    Commentaire


                    • #11
                      - Le Maroc est chez lui et indébounonable.

                      Les sionistes israéliens tiennent la même fadaise! Bizarre tout de même cette analogie!:22:

                      Commentaire


                      • #12
                        Comité dont la dénomination est "Comité spéciale de décolonisation". CQFD.
                        Et alors,

                        Comité des 24,
                        Ou CSD c'est kif kif,
                        Là où ou cela m'intéresse de,
                        C'est de savoir si le comité des 24 est habilité à agir sur Le Maroc en terme contraignant.
                        J'ai une réponse ferme :NON

                        Peux tu prétendre le contraire vu que tu joues sur les mot

                        Commentaire


                        • #13
                          Toujours se rappeler que :

                          Affaire à l ONU sous le chapitre VI : solution politique négociable .

                          Commentaire


                          • #14
                            La seule solution possible: la liberation des otages et l'arrestation des bandis mercenaires. Autrement tôt ou tard le régime algérien sera jugé pour les crimes et les soufrances qu'il a causé à prés de 40.000 personnes qu'il garde sous des tentes depuis plus de 43 ans.

                            Commentaire


                            • #15
                              Affaire à l ONU sous le chapitre VI : solution politique négociable .
                              C'est ce qui tue les généraux vu que le Maroc est chez lui au sahara

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