La dictature marocaine n'a rien à envier à son sosie israélien dans ses exactions dignes du régime nazi ou sud-africain du temps de l'apartheid soutenu par les deux Etats fascistes précités.
- En pratiquant largement la coercition, les châtiments corporels, la torture, les traitements dégradants et inhumains sur les membres du Front Polisario avant l'accord de cessez-le-feu de 1990 et sur la population civile sahraouie jusqu'à nos jours, le Maroc a gravement violé et continue de violer les articles 31 et 32 de la quatrième Convention de Genève.
Aussi, en déportant les populations autochtones du Sahara occidental pendant la campagne militaire d'invasion du Sahara occidental et en procédant continuellement et à grande échelle au transfert de citoyens marocains dans le territoire occupé du Sahara occidental, le Royaume du Maroc viole aussi constamment, depuis 1975, l'article 49 de la quatrième convention de Genève.
Pendant de nombreuses années, note le communiqué, «le Royaume du Maroc a nié l'existence de cas de disparitions au Sahara occidental». Cependant, le rapport de l'Instance marocaine Equité et Réconciliation (IER) publié le 30 novembre 2005 mentionne un certain nombre de cas.
«Inexplicablement, il est rapporté que les victimes susmentionnées, découvertes dans les fosses communes, sont mortes en d'autres lieux et dans d'autres circonstances», constate-t-on.
En novembre 2016, dans ses observations finales sur le sixième rapport périodique du Maroc, le Comité des droits de l'Homme de l’ONU a recommandé à Rabat de faire la lumière sur les circonstances entourant tous les cas non résolus de disparition forcée, y compris ceux liés aux événements du Sahara occidental, et de procéder sans délai à des enquêtes en vue d'identifier, de juger les personnes responsables-.
El Moudjahid
- En pratiquant largement la coercition, les châtiments corporels, la torture, les traitements dégradants et inhumains sur les membres du Front Polisario avant l'accord de cessez-le-feu de 1990 et sur la population civile sahraouie jusqu'à nos jours, le Maroc a gravement violé et continue de violer les articles 31 et 32 de la quatrième Convention de Genève.
Aussi, en déportant les populations autochtones du Sahara occidental pendant la campagne militaire d'invasion du Sahara occidental et en procédant continuellement et à grande échelle au transfert de citoyens marocains dans le territoire occupé du Sahara occidental, le Royaume du Maroc viole aussi constamment, depuis 1975, l'article 49 de la quatrième convention de Genève.
Pendant de nombreuses années, note le communiqué, «le Royaume du Maroc a nié l'existence de cas de disparitions au Sahara occidental». Cependant, le rapport de l'Instance marocaine Equité et Réconciliation (IER) publié le 30 novembre 2005 mentionne un certain nombre de cas.
«Inexplicablement, il est rapporté que les victimes susmentionnées, découvertes dans les fosses communes, sont mortes en d'autres lieux et dans d'autres circonstances», constate-t-on.
En novembre 2016, dans ses observations finales sur le sixième rapport périodique du Maroc, le Comité des droits de l'Homme de l’ONU a recommandé à Rabat de faire la lumière sur les circonstances entourant tous les cas non résolus de disparition forcée, y compris ceux liés aux événements du Sahara occidental, et de procéder sans délai à des enquêtes en vue d'identifier, de juger les personnes responsables-.
El Moudjahid
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